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Cette simple évocation a fait miroiter en moi la perspective d'une oeuvre littéraire palpitante, d'un polar à l'accent écossais inimitable,
à l'ambiance Military Tattoo accompagnant un haggis juteux et un single malt décapant.
Or, c'est l'atmosphère d'Hollyrood Park, ses collines, ses coins sauvages au coeur de la ville qui m'ont happée en premier lieu et plongée dans les émotions des vacances de l'été dernier. Calme, sérénité, air revigorant... Ambiance fraîche et campagnarde alors que le reste de l'Europe souffrait sous la canicule.
Pourtant au coeur de ce paradis de contemplation et ce havre de paix, une jeune femme sans histoires est retrouvée morte dans le froid d'une nuit glaciale. La première mort ressemble à un fait divers d'hiver. Je garde mon calme.
Mais le rythme s'échauffe. D'autres morts suivent, s'imbriquent, s'entrechoquent. Les policiers Luc Callanach et Ava Turner se battent contre le temps. Les poisons ingérés laissent bien peu de marge de manoeuvre et d'indépendance à leurs victimes. Mon pouls bat fort. Je cours contre la montre moi aussi. Le page turner est enclenché. Et là, ce n'est plus moi qui contemple, trop occupée à reprendre mon souffle, mais le serial killer qui jouit de voir ses proies s'éteindre à petit feu. Il est le seul à avoir le temps. Il a la recette d'une mort parfaite.
Au fil des chapitres, l'ambiance typique écossaise disparaît au profit des bas-fonds des quartiers mafieux et chauds de la nuit de n'importe quelle ville occidentale.
C'est là que ça se corse ou que ça s'écosse (Oui, bon je sais... c'est facile...) Tout va trop vite. Le dénouement, les rencontres, les suspicions, les hypothèses, les gentils et les méchants, les morts et les vivants. Je me perds dans le sprint final et j'en viens à regretter ma balade écossaise des débuts.
J'ai essayé de reprendre le fil grâce à la saveur d'un bon verre de gin de l'Isle of Harris et de la voix chaleureuse de Josie Duncan.
En vain.
Je referme ce polar un peu déçue par une fin un peu brouillon qui n'efface toutefois pas la qualité du scénario des débuts.
Une mort parfaite
http://latelierdelitote.canalblog.com/archives/2021/08/03/39082747.html
Une mort parfaite
Juste la fin pour moi un peu trop spectaculaire
Une proie idéale
La Perfection du crime
http://latelierdelitote.canalblog.com/archives/2019/06/29/37439445.html
Une proie idéale
Avec un rythme soutenu et un déroulement captivant, un thriller où la résolution de l’enquête n’est pas courue d’avance. Des chapitres ni trop longs, ni trop courts où un tueur redoutable qui nous livre ses secrets en même temps que l’on voit les investigations menées avec beaucoup de difficultés.
Un récit aux protagonistes attachants et à la construction bien pensée. Il nous emmène sur plusieurs intrigues sans jamais nous perdre. Une fin où la tension atteint son apogée et conclue parfaitement le récit.
La Perfection du crime
J’ai apprécié la structure de l’histoire. En effet l’auteure alterne les points de vue concernant les enquêteurs mais aussi le meurtrier.
Nous connaissons assez rapidement son identité mais l’auteure se concentre davantage sur son mode opératoire et sur sa psychologie.
Certaines situations sont bien décrites mais j’aurais peut-être apprécié avoir plus de détails pour les scènes importantes.
Les idées sont intéressantes et s’enchaînent bien sans que cela ne soit trop surréaliste. Au final l’homme pourrait être notre voisin, collègue de travail, ou ami. C’est assez déstabilisant lorsqu’on y pense.
Si le roman se déroule en Ecosse, pays que j’aimerais visiter un jour, malheureusement je n’ai pas voyagé…
En effet Helen Fields se concentre essentiellement sur l’enquête et en oublie de nous décrire les paysages, les habitants ou les coutumes et la routine de ce pays. C’est frustrant et dommage…
Le retournement de situation est bien mais déjà vu dans certains romans ou séries. On ne s’y attend pas ce qui est tout de même une bonne chose.
Ce roman est le premier d’une série dans laquelle on retrouve l’inspecteur Callanach et sans doute les autres protagonistes. Personnellement je lirai avec grand plaisir les prochaines enquêtes si j’en ai l’occasion.
Les protagonistes deviennent attachants au fil de l’enquête et j’ai hâte de découvrir ce que l’auteure leur réserve pour les prochaines enquêtes.
En résumé, un livre que je vous conseille si vous avez envie de découvrir un roman policier original.
Cela vous permettra aussi de connaître la plume de cette auteure et peut-être aurez-vous envie de lire ensuite les prochaines enquêtes !
http://fais-moi-peur.blogspot.com/search/label/affaire%20n%C2%B0393
La Perfection du crime
Ce roman nous plonge dans l'insondable horreur, le crime et la noirceur dans ce qu'ils ont de pire et calculé. On sent très vite quelque chose de dérangeant chez ce meurtrier qui va bien au-delà du vice, de la violence.
Impossible de ne pas être mal à l'aise devant les scènes de perversion, d'humiliation qui enflent au cours de ce récit. Luc et sa coéquipière Eva, glissent vers quelque chose de retors qui leur échappent. On aime leurs failles, leur côté un peu cassé et indéniablement humain. Leurs confidences échangées nous en apprennent beaucoup sur eux-mêmes et nous les rendent attachants.
L'écriture de l'auteur est intelligente, sensible et bien dosée. On est effrayé, stupéfait par la personnalité et le profil recherché. Les mises en scène de crime de façade brouillent les pistes auxquelles s'ajoutent des menaces suffisamment discrètes pour être perturbantes...
Eva est en danger, l'intrigue débraye, s'emballe, s'enraye. On passe du préoccupant à l'incontrôlable sentiment que tout doit s'arrêter, et ce, quelle que soit l'issue.
Ce roman joue avec nos émotions, décortique nos peurs, nous rend vulnérable, dépendant... Et vous ne soupçonnez pas encore à quel point !
La Perfection du crime
Luc Callanach doit enquêter sur le meurtre atroce de l'avocate Elaine Buxton. Mais son enquête va se révéler plus complexe qu'il n'y paraît et les corps vont commencer à s'accumuler. Mais derrière cette façade déjà bien sombre , une sordide réalité se cache .
Que dire de ce livre si ce n'est qu'il nous plonge dans une indicible horreur.
La plume incisive de Helen Fields nous plonge dans la psyché d'un tueur sanguinaire et particulièrement violent.
Dès le départ on comprend que cette histoire sera sombre et tortueuse.
On découvre qu'un tueur en série enlève des femmes et les fait passer pour mortes ( en en tuant d'autres qui leurs ressemblent) pour pouvoir les garder à sa merci.
On comprend dès lors que ce qui attend ces femmes sera profondément violent.
On ne peut qu'être attrapé par cette histoire.
Helen Fields nous captive grâce à sa plume et à la puissance de ses mots et de son histoire.
On ne peut rester de marbre face à ce que l'on découvre.
On suit en parallèle l'enquête menée par Luc et ses collègues.
On les voit se débattre face au manque d'éléments probants.
Ils naviguent en eaux troubles dans cette affaire qu'ils pensent n'être qu'une affaire de meurtre. Ils ne se doutent aucunement que des femmes sont actuellement captives d'un homme tourmenté.
J'ai adoré suivre cette histoire . J'ai aimé plongé dans la tête d'un tueur mais aussi suivre les péripéties qui attendent les enquêteurs.
Je trouve que l'auteure a parfaitement su équilibrer ces deux points du vues. Cela permet au lecteur d'être totalement pris dans l'histoire et d'être constamment au cœur de l'action.
Je ne peux pas trop en dire mais je peux dire que cette affaire va se révéler très tortueuse et que ses implications sont parfois surprenantes.
On ne sait jamais par avance où chaque élément va nous emmener.
Ce roman est le premier de Helen Fields que je lis et je peux d'ores et déjà dire que ce ne sera sans doute pas le dernier.
J'ai aimé son univers sombre et intrigant et sa plume efficace, rythmée et incisive.
J'espère que ce roman ne restera pas sans suite et que je pourrais un jour retrouver Luc et sa collègue Ava dont la relation ambiguë nous promet encore des moments très intéressants.
Je croise les doigts pour une suite.
La Perfection du crime