Igor Bergler
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Note moyenne : 6.8/10Nombre d'évaluations : 5
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Avant de parler du livre je remercie les Éditions Fleuve et l'équipe Babelio pour m'avoir permis cette lecture.
Alors qu'il donne une conférence à Sighisoara la ville de naissance de Vlad Tepes, le professeur Charles Baker est interrompu par la police qui l'emmène sur le lieu de découverte de cadavres. Les trois corps mutilés sont disposés en croix et mis en scène comme pour les protéger des vampires. Coïncidence, le professeur a écrit un livre sur les vampires. Les corps portent également des tatouages éphémères représentant un diable, une référence à la Bible du Diable, le Codex Gigas. Deuxième coïncidence, le même diable que sur la carte de visite du professeur. Mais c'est sur les traces d'un autre livre que va le mettre un soi-disant cousin avant de mourir de ses blessures, la première Bible imprimée par Gutenberg. Accompagné d'une enquêtrice d'Interpol, le professeur va se lancer dans un véritable jeu de piste.
Avec une Bible à retrouver ainsi que les sabres ayant appartenu à Vlad Tepes, une société secrète peu crédible et des confréries d'artisans perpétués depuis le moyen-âge, l'intrigue présente de multiples facettes : peut être un peu trop ! On a la nette impression que l'auteur a voulu en faire trop pour présenter un récit de qualité, mais c'est l'effet inverse qui s'en dégage à la lecture.
De surcroit, très souvent l'auteur se lance dans de nombreuses explications sur des différentes parties de l'Histoire, de différents types d'armes moyenâgeuses,... des explications qui ne font pas progresser l'intrigue et qui nuisent fortement à la dynamique de lecture. Et comme si cela n'était pas suffisant l'auteur s'épanche à plusieurs reprises sur la vie personnelle du protagoniste principal qui ne sert pas une fois de plus à l'avancée de l'intrigue. Le lecteur est vite lassé par ces longueurs qui ne servent pas le récit et au bout de deux cent pages finit par sauter ces paragraphes au risque de laisser échapper une information importante.
Le duo de personnages principaux fonctionne plutôt bien ; les personnages de premier plan tout comme les personnages secondaires sont assez bien dépeints. Mais avec l'étalement de sa vie personnelle on a un peu de mal à s'attacher au personnage du professeur et c'est dommage car c'est celui qui devrait convaincre le plus le lecteur. Le personnage du commissaire fait cliché.
Avec les nombreux passages explicatifs, et les descriptions des différents lieux la plume de l'auteur se veut quelque peu lourde. Ce manque de dynamisme jour sur l'attention du lecteur qui peut passer à coté de points essentiels au développement de l'intrigue.
Au final un sentiment plus que mitigé pour ce roman qui s’éloigne à certains du thriller et se rapproche plus du roman d'aventure mâtiné dans le final d'une pointe de fantastique qui là encore ne convainc pas. Une centaine de pages de moins aurait peut être pu donner une lecture plaisante.
Afficher en entierJe suis tombée sous le charme de La bible perdue avec sa magnifique couverture rouge sang, j’étais prête à affronter ce thriller ésotérique où Vlad Tepes devient Dracula. Un livre dense où l’on est amené à voyager dans toute l’Europe centrale et bien entendu en Transylvanie, du Moyen-âge à aujourd’hui. On va suivre le professeur Charles Baker tout au long d’une enquête époustouflante qui mêlent les genres du polar. On y trouvera des éléments dignes du Da Vinci Code avec énigmes à décoder, des secrets à décrypter. La part belle est faite au côté historique et c’est là que le bas blesse car cela à bien failli me causer une panne de lecture, non pas que je sois insensible au long travail de recherche que cela a dû occasionner mais je suis restée hermétique à toutes ces longueurs, ces montagnes d’informations qui m’ont coupé dans mon élan. Même si l’intrigue en elle-même est intéressante trop d’interruptions finissent par nuire et par lasser. Les chapitres sont courts et mis à part le défaut vu plus haut, le rythme est plutôt rapide. On enchaîne les rebondissements, les courses poursuites et beaucoup de suspense. La personnalité de Vlad l’Empaleur est suffisamment intrigante sans oublier la touche de fantastique qui est bienvenue. Alors même si les personnages principaux semblent de prime abord assez clichés, j’ai fini par les adopter. L’auteur ne manque ni de culture, ni d’imagination ce qui rend son roman inclassable tant il touche à tout mais comme on dit « le mieux est l’ennemi du bien » et je pense que ce roman aurait gagné en faisant plus dans la simplicité. Beaucoup de mouvements donc, pour ce roman qui tient la route avec une fin ouverte qui m’a laissée dans la frustration la plus totale peut-être y aura-t-il une suite. Bonne lecture.
http://latelierdelitote.canalblog.com/archives/2020/11/30/38654972.html
Afficher en entierL'auteur regarde du côté de Dan Brown et de Steve Berry (sans égaler ce dernier). Il raconte les aventures d'un homme à l'intelligence supérieure qui tombe dans les pièges comme un perdreau de l'année, qui s'amuse alors que des meurtres atroces s'accumulent, qui fait étalage de sa science et de ses connaissances. Ces tartines de culture représentent sans doute l'équivalent de 200 pages laborieuses qui n'apportent rien à l'histoire sinon faire démonstration de l'intelligence du héros (du Wikipedia...), sinon publier un pavé (la mode), sinon régurgiter ses recherches (incapacité à évaluer les importances ?).
Quant à la fin... Je reste sur ma faim.
Afficher en entierCommençons par le titre. Il ne réprésente que 5 pourcents du roman. Un roman qui fait plus de 750 pages. Spoiler(cliquez pour révéler)Je l'aurais appelé les sabres perdus car on parle plus d'eux et il les cherche plus que la bible. Le livre nous fait un résumé des evenements vers la fin. Le héros est riche, fait tomber toutes les filles et intelligents ( enfin intelligents, c'est un grand mot). Ca en devient agaçant. On a des cours d'histoire qui sert à rien au récit, juste à le rallonger. On a des chapitre qui sert à rien. Un chapitre pour dire qu'une personne surveille une autre. Un chapitre sur les gouts en chemise de luxe du héros. j'ai sauté des passage car clairement je m'en moquais et cela a rien touché à ma compréhension. J'ai deviné beaucoup d'élément scénaristique. Le protagoniste ... est inintéressant. l'intrigue est nul. Tout ça pour ça. Ca a tellement trainé dans l'intrigue que 100 pages avant la fin, tu as un personnage qui est obligé de tout t'expliquer pour que tu comprennes ou cela te mène. Les egnimes servent à rien. Vu qu'on lui donne ce qu'il recherche sans effort. Il y a un élément fantastique prévisible mais qui n'aboutit à rien et il est expliqué en deux pages à la fin... L'épilogue ... mouais bof. Ah le héros il lui suffit d'appel une personne pour que son problème soit regler vu qu'il connait des gens hauts placés ... Donc la tension, y en a pas. l'organisation secrète n'est pas du tout une menace. C'est a peine un but pour le protagoniste. Et les cadavres, le héros ca lui fait rien, le récit en a rien à faire non plus, y a même pas d'enquête sur leur mort. Christa d'interpol sert juste a suivre le héros pour qu'il a une personne a qui faire ses cours d'histoire. Elle est utile à la fin si on veut. Spoiler(cliquez pour révéler)Le héros et ses déductions inutiles ... Exemple : Il a le meme chargeur que moi comment un serveur peut se payer un tel téléphone. En fait, le récit est vide. En 200 pages, tout aurait pu être résolu.
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