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Toutes les séries de Jacques Finné

3 livres
2 lecteurs

«Avec Frankenstein, le vampire constitue l'un des thèmes principaux que nous ont légués les Romantiques anglais. Son influence culturelle et son retentissement popu­laire sont bien plus importants que ceux de tous les autres archétypes du XIXe siècle — y compris Faust, Prométhée et Don Juan. En fait, je vois en lui le personnage mythique le plus durable et le plus fécond de toute la littérature anglo-saxonne. »

James B. Twitchell

Et pourtant, malgré l'abondance de matière, pas plus le vampire que les autres membres de sa famille, goules, loups-garous, n'ont connu, en France, un destin digne de leur importance : quatre anthologies thématiques seulement, une goutte d'eau puisée dans l'océan. Trois saigneurs de la nuit en extrait une autre goutte, sans pour autant assécher la source. Mais, avec ces huit récits (pour la plupart inédits en langue française et, de toute façon, proposés ici dans une traduction nouvelle de Jacques Finné), nous pensons offrir au lecteur d'appréciables frissons nocturnes. Ils sont dus à la plume d'auteurs parfois familiers au lecteur français (Richard Matheson), parfois inconnus (Clémence Housman, dont c'est l'unique incursion dans le fantastique), parfois scandaleusement méconnus (Charles L. Grant, Manly W. Wellman, Hugh B. Cave). Et que notre lecteur ne se désespère surtout pas, une fois lue la dernière page de l'anthologie : il reste un océan à vider, s'il le désire.

Jacques Finné est né à Bruxelles, en mars 1944. Spécialisé dans la démonologie et la littérature fantastique, comme le prouvent ses nombreuses publications : une remarquable étude sur la littérature fantastique, des anthologies (onomastiques, thématiques et géographiques), des tra­ductions, entre autres la première en français d'Aycha et Allan de Rider Haggard (même collec­tion) et une version intégrale de Dracula. Pour la présente collection, il a composé une anthologie de J.S. Le Fanu, Le mystérieux locataire (il en prépare une autre), et préside à l'édition intégrale de tous les contes fantastiques de Henry James (deux volumes déjà parus : Les fantômes de la jalousie et Owen Wingrave). L'Age d'homme, à Lausanne, après avoir publié une de ses études sur l'opéra, va bientôt faire paraître sa Bibliographie de Dracula.

Tous les livres de Jacques Finné

Un livre, une ville, une femme, trois hommes, six maudits! Six destins, liés à des degrés divers à l'occultisme. Six différences, six façons d'aller à l'encontre des normes sociales, politiques, religieuses, économiques, culturelles d'une majorité, d'une époque, d'une vision du monde,m des hommes et des choses. En somme, six vies exemplaires. Et pourquoi pas:six réhabilitation...

Jacques Finné reprend dans cet ouvrage, en le résumant, le texte de sa thèse de doctorat qui elle-même formait, dit-il, une sorte d'adieu à sa jeunesse nourrie de littérature fantastique que l'âge adulte entreprend d'expliquer, c'est-à-dire d'organiser.

C'est donc une recherche aux sources subjectives, se poursuivant de façon empirique, allant du concret : le récit, à l'abstrait : la théorie. Celle-ci malheureusement n'entraîne pas la conviction.

Dans une première partie retraçant l'historique de la critique des œuvres fantastiques, l'auteur expose les études désormais classiques de Louis Vax et Roger Caillois, commente les travaux de Hubert Matthey composant les lois du genre fantastique qui doit unir le réalisme et le merveilleux et ceux de Peter Penzoldt dont l'approche se fait structurale. J. Finné enfin aborde Tzvetan Todorov et le structuralisme proprement dit qui le séduit et qu'il refuse en même temps.

De cette hésitation à choisir une démarche critique, dont on reconnaît parallèlement l'intérêt, provient sans doute la question, qui ne peut qu'être posée, de la valeur, autre que documentaire, des conclusions auxquelles aboutit l'ouvrage considéré.

Partant d'une définition du fantastique comme « récit où intervient... un thème fantastique » et ne faisant qu'esquisser cette thématique alors que ses implications symboliques et psychanalytiques sont très diversifiées, l'auteur décide de mettre plutôt en évidence l'organisation du récit et, tout en se défendant d'être structuraliste, construit un schéma du récit fantastique s'organisant autour de « l'explication du mystère » qui n'est autre, finalement, qu'une structure. Mais celle-ci ne s'appuyant pas sur une méthode éprouvée - ni Souriau n'est cité, et ses « Deux cent mille situations dramatiques », ni Greimas - n'emporte pas une adhésion sans réserve.

A moins bien sûr que le genre fantastique lui-même résiste à une investigation véritablement rigoureuse...

La bibliographie rassemblée, bien qu'on regrette l'absence de G. Durand, dont les Structures anthropologiques de l'imaginaire permettraient un élargissement de la recherche, ne peut que favoriser d'autres études sur ce thème.

(source : BBF)

Les gens heureux n'ont pas d'histoire. Certains autres non plus. Des quatre as de la littérature fantastique (fantôme, vampire, loup-garou, goule), personne, jusqu'à présent, ne s'est intéressé au dernier. Pas une étude. Pas une anthologie ― sauf une, toute récente, dans la même collection. Pas un articulet.

Ce livre est un acte de contrition tardive. Il vient tard. Il vient aussi à temps, car la goule va mourir, dévorée petit à petit par le zombi ― et son mythe avec elle.

Née dans les déserts impitoyables d'Afrique du Nord, elle a forcé les portes de l'Occident, au xviiie siècle, pour devenir l'horreur nécrophage qui écœure les écrivains eux-mêmes. Les plus grands lui ont rendu hommage, certes (Hoffmann, Maupassant, Lovecraft, Howard, Smith, Long, Bloch, Grant, Ray…), mais il s'agit souvent d'un hommage isolé, comme une dîme à payer au fantastique. La goule sent mauvais, dans tous les sens du terme, mais elle existe, ignorée, méprisée.

Un exil humiliant. Il fallait un jour l'étudier de près, cette créature abjecte. A l'heure où l'on encense les pires tyrans de l'humanité, pourquoi laisser la goule à sa solitude plus odieuse que ses mœurs ?

LA PREMIÈRE ANTHOLOGIE MONDIALE SUR CETTE MAL-AIMÉE DU MONDE FANTASTIQUE : LA GOULE - Femmes de sang est une réparation tardive. Qui découvrirait une seule anthologie sur les goules chez les libraires les plus spécialisés ?

En voici enfin une, centrée sur ce thème fantastique qu'ont superbement ignoré les spécialistes, qu'ils soient français, allemands ou anglo-saxons.

Pire : aucun chercheur ne s'est jamais penché sur le destin si peu ordinaire d'une créature si peu ordinaire. Née en Mésopotamie, peaufinée par les écrivains arabes, la goule a pénétré en Occident au xviiie siècle, via la traduction des Mille et une Nuits, par Antoine Galland, qui a fixé ses caractéristiques une fois pour toutes : « Les goules sont des démons errant dans les campagnes. Elles habitent d'ordinaire les bâtiments ruinés, d'où elles se jettent par surprise sur les passants qu'elles tuent et dont elles mangent la chair.

Au défaut des passants, elles vont, la nuit, dans les cimetières, se repaître de celle des morts qu'elles déterrent. » Créature anthropophage et nécrophage, écœurante, dérangeante dans nos conceptions morales et religieuses, la goule ne pouvait attirer qu'un petit nombre d'écrivains. Qui pourrait citer un seul roman ou trois nouvelles de goules ?

C'est pourquoi cette anthologie est unique en son genre. Le comble de ce mythe cabossé, c'est qu'il est déjà en train de mourir, implacablement remplacé par le zombi contemporain ― qui a déjà dévoré le zombi folklorique.

Femmes de sang « devait » paraître, ne serait-ce que sous forme d'une gerbe que l'on dépose sur une tombe. En fin de compte, la goule, faut-il la craindre ou la plaindre ?

Malgré sa relative jeunesse, la littérature fantastique nord-américaine est sans doute l'une des plus riches du monde. Elle ne se limite pas à certains noms connus de tous (Poe, Lovecraft, King, etc.), et le seul index atteint le millier d'auteurs - souvent peu ou trop mal connus (Fred Chappell, Shirley Jackson, Joyce Carol Oates, Thomas Tryon...)

Jusqu'à ce livre, il n'existait aucun traité spécialisé dans ce domaine. Ce guide indispensable, le voici ! Par les résumés et les commentaires, il permettra à chacun de sentir ce qu'il désire lire... et ce qu'il ne lira jamais.

Ce livre est le guide que j'aurais aimé trouver dans ma jeunesse, quand j'étais encore puceau du fantastique. Il colmate une brèche d'importance.

L'Amérique fantastique (de Poe à Lovecraft, 17 contes d'inquiétude, de peur et d'épouvante) (1973), anthologiste FINNE Jacques

Ed. André Gérard, Anthologies, 1973.

Pas d'ISBN

Genre : Fantastique

Sommaire :

L'ère des promesses (1973) de FINNE Jacques [Préface]

Les Invités de l'île au gibet (1855, Guest from Gibbet Island) de IRVING Washington

Peter Rugg, le disparu (1824, Peter Rugg, the Missing Man) de AUSTIN William

La Fille de Rappacini (1844, Rappaccini's Daughter) de HAWTHORNE Nathaniel

Le Visionnaire (1835, The Visionary) de POE Edgar Allan

Le Phare (1953, The Lighthouse) de BLOCH Robert

La Lentille de diamant (1858, The Diamond Lens) de O'BRIEN Fitz-James

La Table de pommier (1922, The apple-tree table) de MELVILLE Herman

Le Fantôme d'Elisabeth Mary (1891, The Widower Turmore) de BIERCE Ambrose

De Grey (1868, De Grey: A Romance) de JAMES Henry

La Chambre du sud-ouest (1903, The Southwest Chamber) de WILKINS-FREEMAN Mary E.

Le Cri (1908, The Screaming Skull) de CRAWFORD Francis Marion

La Couchette supérieure (1886, The Upper Berth) de CRAWFORD Francis Marion

L'Ombre et l'éclair (1903, The Shadow and the Flash) de LONDON Jack

La Chambre au papier jaune (1892, The Yellow Wall-paper) de GILMAN Charlotte Perkins

Le Masque (1895, The Mask) de CHAMBERS Robert W.

L'Emblème jaune (1895, The Yellow Sign) de CHAMBERS Robert W.

La Maison de la sorcière (1933, The Dreams in the Witch House) de LOVECRAFT Howard P.

Cette anthologie, la troisième du genre, présente un bouquet aux fleurs bigarrées, différentes, bien que, de chacune d’entre elles, émane un même arôme puissant, enivrant et mortel.

Le choix est vaste. À qui la préférence ? Aux Belles Dames sans Merci, comme la princesse Bessenyei, hautaines, sûres de leurs charmes, impitoyables, qui se nourrissent du sang de leurs amants… ou d’autre chose ? À la belle Russe excentrique venue du froid ? À la jeune indifférente, parfois plus à craindre que les broyeuses de cœur ? À moins de se laisser séduire par une lady dont la sympathie tient lieu de beauté, ou bien par une amoureuse transie qui voudrait que son amant se protégeât contre elle. Et comment rester insensible à une fillette qui pleure la faim ? Quant à Maryse-au-masque, superbe fleur parmi tant de superbes fleurs, est-elle plus dangereuse dans le souvenir que dans la mort ?

De 1896 — un an avant Dracula — à 1975, huit femmes vampires aux sensualités maléfiques qui feront rêver au cours de nuits plus noires que la plus noire des nuits.

Ce recueil est proposé, présenté et traduit par deux des principaux spécialistes du fantastique et de la littérature vampirique, Jacques Finné et Jean Marigny.

La période dite victorienne correspond à l'apogée de la Ghost story au Royaume-Uni, comme aux Etats-Unis. Jacques Finné dans le prolongement du choix opéré dans Les Fantômes des Victoriennes, que nous rééditons simultanément, a retenu huit récits qui montreront, une fois encore, que durant le règne de Victoria les femmes écrivains n'avaient rien à envier à leurs homologues masculins.

Les auteures retenues ont été plus ou moins célèbres, Gertrude Atherton, La femme et la Mort, (56 livres publiés), Gertrude Bacon, La grotte, (première en de nombreux domaines), Mrs. Alfred (Louisa) Baldwin, Sérénade muette, (dont les " aurait pu " jalonnent la vie), Mary Elizabeth Braddon, L'étreinte de glace, (romancière à succès, auteure de 90 romans et 150 nouvelles), Amelia B. Edwards, Une nuit dans la Forêt noire, (touche à tout de génie), Edith Nesbit, Le pavillon, (pionnière de la littérature pour enfants, où on la cantonne toujours), Margaret Oliphant, Le portrait, (pilier du Blackwood magazine et romancière reconnue), Mrs. Henry (Ellen) Wood, Dormir... peut-être rêver... (l'une des auteures les plus vendues et traduites de sa génération : cinq millions d'exemplaires).

Si un bon nombre d'entre elles ont été très célèbres ou populaires, saluées par leurs confrères (Wilkie Collins, Henry James et bien d'autres) toutes mériteraient d'être tirées de l'oubli où elles sont tombées, et tout particulièrement Margaret Oliphant qui dans Le portrait retrouve la grâce dont La fenêtre de la bibliothèque témoignait déjà.

Ce Dictionnaire des littératures vampiriques — le tout premier en langue française — est centré, avant tout, sur les œuvres disponibles en français et suit l’évolution du plus grand mythe de la littérature depuis ses débuts (les poètes, John William Polidori) jusqu’à ses métamorphoses contemporaines (la bit-lit et son troupeau d’écrivains, surtout d’écrivaines). Entre ces deux extrémités chrono­lo­giques sont traités tous les auteurs qui ont contribué à la survie et à l’évolution du mythe, depuis l’aristocrate hautain et monstrueux (Lord Ruthven, Dracula et certains personnages d’Anne Rice) jusqu’au vampire aseptisé, mis à la mode par Stephenie Meyer.

Ainsi défilent les vampires « classiques », monstrueux et séducteurs (monstrueuses et séductrices, surtout), les vampires honteux de leur monstruosité, les vampires « réhabilités », les vampires parodiques (ils existaient déjà avant Dracula), les vampires « relatifs » et les vampires du futur, qui entrent dans le domaine de la science-fiction.

En outre, les auteurs ont traité certains thèmes particuliers comme : théâtre vampirique, littératures vampiriques allemande et italienne, vampires et roman criminel, etc.

Ouvrage de référence qui ne peut que séduire et passionner les aficionados de Dracula et de ses semblables, ce Dictionnaire des littératures vampiriques est le fruit d’une étroite collaboration entre deux des plus éminents spécialistes du thème du vampire en littérature.

Fascinantes Victoriennes ! Depuis 2000, Jacques Finné a rassemblé, en trois volumes, trente superbes histoires surna­turelles rédigées par des auteures émancipées de leur carcan social. En voici treize de plus ― une goutte d'eau puisée dans l'océan. Elles offrent à la lectrice, au lecteur leur lot de revenants, de rêves, de malédictions, de mains vengeresses, d'objets hostiles, de mythologies, païenne ou chrétienne... Les nouvelles réunies ici montrent combien la notion de ghost story a évolué au point que certains protagonistes mettent en doute la réalité du fantôme qu'ils ont rencontré ! Elles offrent aussi différentes toiles de fond, du Royaume-Uni à l'Italie (comme pour prolonger le courant gothique) en passant par le Tyrol, la Belgique... et même New York. Cette nouvelle anthologie consacrée aux Victoriennes s'éloigne des courants modernes de la science-fiction ou de la fantasy, certes, mais quels délicieux effluves de nostalgie elle répand !