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Jean Bayet (Jean Alexis Bayet) est un latiniste français, né à Versailles le 12 novembre 1882 et mort à Paris le 5 décembre 1969. Professeur de langue et littérature latines à la Sorbonne, il fut directeur général de l'Enseignement en 1944 et directeur de l'École française de Rome de 1952 à 1960. En 1948, il devint membre de l'Académie des inscriptions et belles-lettres ; spécialiste de littérature latine et de religion romaine, il a eu, par ses travaux et les thèses qu'il a dirigées, un rôle déterminant dans le développement d'une école française d'histoire de la religion romaine particulièrement active dans la deuxième moitié du XXe siècle.
Enfant, il fut accablé d'une infirmité aux jambes qui rendait sa marche pénible et qui le fit souffrir toute sa vie ; il dut renoncer à la carrière militaire qu'avait suivie son père.
Il entre à l'École normale supérieure en 1912, obtient l'agrégation de lettres et devient membre de l'École française de Rome, de 1917 à 1920.
Il enseigne d'abord dans l'enseignement secondaire (au lycée Charlemagne et au lycée de Laon), tout en continuant la préparation de ses thèses de doctorat sur Les Origines de l'Hercule romain et l'étude critique des principaux monuments relatifs à l'Hercule étrusque, qu'il soutient en 1926. Il est nommé ensuite à la faculté des lettres de Caen, avant de passer à la Sorbonne en 19321.
A la Libération, il est nommé directeur général de l'Enseignement et participe à ce titre aux travaux de la commission Langevin-Wallon.
Il est élu à l'Académie des inscriptions et belles-lettres le 3 décembre 1948. Il fut également membre de l'Accademia dei Lincei et de la Pontificia Accademia Romana di Archeologia.
Il est directeur de l'École française de Rome de 1952 à 1960 (il succède à Albert Grenier et il est remplacé par Pierre Boyancé). En 1954-1955, il préside l'Unione internazionale degli Istituti di archeologia, storia e storia dell'arte in Roma.
À son retour, il prend sa retraite (1961). Ses dernières années sont assombries par la maladie qui le fige progressivement dans l'immobilité.
Biographie
Jean Bayet (Jean Alexis Bayet) est un latiniste français, né à Versailles le 12 novembre 1882 et mort à Paris le 5 décembre 1969. Professeur de langue et littérature latines à la Sorbonne, il fut directeur général de l'Enseignement en 1944 et directeur de l'École française de Rome de 1952 à 1960. En 1948, il devint membre de l'Académie des inscriptions et belles-lettres ; spécialiste de littérature latine et de religion romaine, il a eu, par ses travaux et les thèses qu'il a dirigées, un rôle déterminant dans le développement d'une école française d'histoire de la religion romaine particulièrement active dans la deuxième moitié du XXe siècle.
Enfant, il fut accablé d'une infirmité aux jambes qui rendait sa marche pénible et qui le fit souffrir toute sa vie ; il dut renoncer à la carrière militaire qu'avait suivie son père.
Il entre à l'École normale supérieure en 1912, obtient l'agrégation de lettres et devient membre de l'École française de Rome, de 1917 à 1920.
Il enseigne d'abord dans l'enseignement secondaire (au lycée Charlemagne et au lycée de Laon), tout en continuant la préparation de ses thèses de doctorat sur Les Origines de l'Hercule romain et l'étude critique des principaux monuments relatifs à l'Hercule étrusque, qu'il soutient en 1926. Il est nommé ensuite à la faculté des lettres de Caen, avant de passer à la Sorbonne en 19321.
A la Libération, il est nommé directeur général de l'Enseignement et participe à ce titre aux travaux de la commission Langevin-Wallon.
Il est élu à l'Académie des inscriptions et belles-lettres le 3 décembre 1948. Il fut également membre de l'Accademia dei Lincei et de la Pontificia Accademia Romana di Archeologia.
Il est directeur de l'École française de Rome de 1952 à 1960 (il succède à Albert Grenier et il est remplacé par Pierre Boyancé). En 1954-1955, il préside l'Unione internazionale degli Istituti di archeologia, storia e storia dell'arte in Roma.
À son retour, il prend sa retraite (1961). Ses dernières années sont assombries par la maladie qui le fige progressivement dans l'immobilité.
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