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Tous les livres de Jean-François Copé

Jean-François Copé avait promis d'arrêter la langue de bois, il tient promesse ! C'est la première fois qu'un député en exercice dénonce avec autant de vigueur les dérèglements du parlement. Celui qui n'a jamais caché son ambition avance des propositions audacieuses pour rendre nos institutions plus démocratiques et plus efficaces. Sans rien dissimuler des coulisses du pouvoir, Jean-François Copé raconte sa sortie du gouvernement par Nicolas Sarkozy et sa reconversion au parlement. Il nous fait partager la découverte de cet univers et les tensions politiques inhérentes : jeux de faux-semblants dans l'hémicycle, délires de l'obstruction, faiblesse des moyens d'investigation des assemblées, rivalités avec les cabinets ministériels... Le président du groupe majoritaire à l'Assemblée nationale évoque aussi le nouveau rapport de pouvoir entre le Président et les parlementaires. Retraçant la révolution institutionnelle en cours, il prend à contre-pied tous ceux qui présentent Nicolas Sarkozy comme un " monarque absolu ". Et si, contre toute attente, ce quinquennat marquait le passage à un régime présidentiel où les députés ont enfin leur mot à dire ?

Jean-François Copé, candidat à la présidence de l'UMP, a anticipé la polémique : il dit lui-même vouloir "à dessein" "briser un tabou" en dénonçant l'existence d'un "racisme anti-Blancs" dans certains quartiers difficiles, dans son livre Manifeste pour une droite décomplexée (Fayard), dont Le Figaro Magazine, à paraître vendredi, publie des extraits.

M. Copé se défend de reprendre au FN cette expression empruntée à l'extrême droite, que d'autres membres de l'UMP n'adoptent pas. François Fillon, de son côté, préfère "apporter des réponses", alors que la gauche dénonce des propos "très graves".

Pour la première fois, un ministre raconte sa traversée du quinquennat. Jean-François Copé abandonne la langue de bois et dévoile ce qu'il a vécu au jour le jour depuis qu'il est entré au gouvernement. Comment il a attendu fiévreusement que le téléphone sonne les jours précédant sa nomination. Comment il prépare ses interventions télévisées. Comment il a vécu de l'intérieur les grandes crises - retraites, canicule, banlieues - qui ont secoué la majorité. Comment il a affronté la polémique sur son appartement de fonction. Comment, ministre du Budget, il négocie avec ses collègues des coupes parfois douloureuses. Bref, les mille et une choses de la vie qui constituent l'envers du décor ministériel. Rapports de force, gestion des ambitions, liens entre argent et politique, jeu avec les médias, Jean-François Copé n'élude aucune des réalités souvent cachées par les dirigeants. A un an de la présidentielle, il en profite pour établir un diagnostic sans tabou de la France d'aujourd'hui. Et lancer quelques propositions chocs.

Un des plus jeunes maires de France a découvert sur le terrain ce qu'on ne lui avait pas enseigné à l'ENA : Jean-François Copé, 35 ans, qui préside aux destinées de Meaux depuis plus de quatre ans, raconte son expérience avec humour et sans détours. Pour la première fois, un maire dévoile l'envers du décor, son combat de tous les jours, ses erreurs comme ses joies, ses illusions comme ses remords. Elu local, mais aussi secrétaire national du RPR, il décrit en détail et sans pudeur la vie au quotidien d'une collectivité de 50 000 habitants confrontée notamment aux problèmes du chômage et de la violence urbaine. Il dit tout : comment il interrompt un mariage lorsqu'il voit un drapeau algérien brandi par certains invités, comment il rate son premier banquet des anciens en changeant le menu habituel, comment il est traité à la fois de " Dieu vivant " et de " femme de ménage ". Son récit qui met en lumières des drames dont la télévision ne se fait jamais l'écho, fournit un tableau saisissant du couple que forment le maire et ses administrés. Au fil des pages et des anecdotes, il évoque les problèmes que subissent des Français chaque jour plus nombreux, et qu'un Etat républicain digne de ce nom doit désormais résoudre.

Depuis cinq ans, Lionel Jospin est Premier ministre. Il avait réclamé un « droit d'inventaire » concernant les années Mitterrand. Il était difficile de résister à la tentation de lui retourner le compliment. Jean-François Copé, 37 ans, maire de Meaux, secrétaire général adjoint du RPR, appelle donc au devoir d'inventaire : Pourquoi l'insécurité a-t-elle explosé ? Qui a relancé l'immigration clandestine ? Qu'attend-on pour moderniser le système éducatif ? Les 35 heures ont-elles réellement créé des emplois ? L'avenir des retraites a-t-il été garanti ?

En cinq ans, la France est devenue le plus mauvais élève de la zone euro, souligne Jean-François Copé, l'un des principaux auteurs du programme de l'opposition, souvent présenté comme un hussard de Jacques Chirac. Les Français ont le droit de savoir pourquoi.

A la suite de l'affaire Bygmalion (mai 2014), Jean-François Copé quitte la scène politique. S'imposant une cure de silence, il retrouve sa ville de Meaux, voyage en France et à l'étranger, prend le temps de rencontrer et d'écouter les Français. Dressant symptômes et diagnostics du malaise du pays, il propose des solutions qu'il souhaite concrétiser en utilisant la réforme par ordonnances.

« Je ne souhaite à personne de vivre ce que j’ai vécu lors de ce bureau politique de l’UMP le 27 mai 2014. Ce jour-là, j’ai touché la haine du doigt. Pour ramener la paix, il fallait un bouc émissaire. Et le bouc émissaire, pas de chance, c’était moi ! »

Non, ce livre de Jean-François Copé n’est pas un plaidoyer pour lui-même. C’est le fruit d’un travail de résilience – du silence et du fond – pour une reconstruction, la sienne, et surtout celle d’un pays qu’il aime passionnément, la France.

En perdant presque tout, l’ancien ministre, l’homme pressé, le chef de parti, qu’on a si souvent caricaturé, a recouvré un bien fondamental, la liberté. Alors, il voyage à travers le pays, va à la rencontre des Français, et revient aujourd’hui, différent et plus proche.

Il a vu la France des « boucs émissaires » et des « pointés du doigt ». Sans a priori, il a écouté les Français. Il en est revenu avec deux mots clés : la bienveillance et le pragmatisme. Jean-François Copé pose ici, avec calme et fermeté, un diagnostic et formule des propositions audacieuses. Car il en est certain, le temps est venu du Sursaut français.

Député-maire de Meaux, Jean-François Copé a été ministre du Budget sous Jacques Chirac. Il a présidé la majorité des députés à l’Assemblée nationale entre 2007 et 2010 avant d’être chef de l’opposition de 2012 à 2014, à la tête de l’UMP. Il est l’auteur, notamment, d’Un député ça compte énormément (Albin Michel, 2009) et de Manifeste pour une droite décomplexée (Fayard, 2012).

La Fnac :

Deux textes, deux mises en gardes urgents : l’IA va-t-elle dynamiter la politique ?

Pour Laurent Alexandre les effets de l’irrésistible progression de l’IA vont tout bouleverser.

À l’origine on pensait qu’Internet deviendrait le principal outil de la promotion de la démocratie, au contraire le web est devenu un outil majeur de désinformation et de contrôle policier, allié des régimes les plus autoritaires. Le pouvoir est désormais tout entier dans une poignée de mains : Washington et ses GAFA, le parti communiste chinois et ses BATX.

Le capitalisme cognitif – c’est-à-dire l’économie de la connaissance, de l’IA et du big data va modifier radicalement la hiérarchie des nations. L’Europe est en péril, la France ne réagit pas, le politique est coupable !

Jean François Copé, dans un second texte, répond aux inquiétudes et anathèmes de Laurent Alexandre. La politique doit devenir plus importante que jamais pour réguler notre pouvoir démiurgique sur la nature et nous-même et donc décider de l’avenir de l’Humanité. Des initiatives précises sont à prendre à tous les niveaux : manipulations génétiques, sélection embryonnaire, IA, la fusion neurone – transistor... Il faut sauver la politique pour sauver l’homme.

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