Cher Lecteur,
Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.
Soixante ans après, une équipe de braqueurs allemands terrorise la population et plus particulièrement les employés des parfumeries Martinaud. Et encore plus précisément, ces vols de parfums « premiers prix » (pas même le nec plus ultra du parfum), perturbent Ernest Cafuron qui a sa Linda chérie qui y travaille.
Je vous ai posé le tableau mais va comprendre le lien dans tout ça, va comprendre comment l’auteur nous a ficelé son intrigue…
« Il venait de prendre une décision. Il avait joué avec les Allemands en livrant le petit muet à la Gestapo (…) Il remplit une valise de ses effets les plus chers. Une deuxième valise l’attendait dans sa cave, recouverte de tout un amas d’ustensiles divers. Celle-là était bourrée à craquer de billets de banque. »
Ce polar ne tient pas de place avec ses 70 pages. Il est donc facile de le caser dans une salle d’attente ou sur un quai de gare. En une heure de temps, j’ai plongé dans l’enfer nazi et les horreurs de cette sale guerre, et ai terminé mon apnée sur le dicton « tout se paye un jour ».
https://polar.zonelivre.fr/jean-louis-nogaro-la-guerre-a-son-parfum/
La guerre a son parfum
en plus ce que j'ai trouvé de sympa c'est que l'histoire ne se passe pas dans une grande ville comme généralement dans beaucoup de livres mais dans un petit village dans une belle région le Mont du Pilat dans le Massif central
La morte des tourbières