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Tous les livres de Jean-Marie Mignon

Deux amis d'enfance, fils de parents aisés, unis pour faire les quatre cents coups et prêts à s'empoigner pour la conquête d'un jupon, voient leur avenir professionnel tranquillement se dessiner. Damien a intégré un cabinet d'avocats d'affaires et Jean-Joseph a endossé la responsabilité commerciale de la scierie familiale. Si le premier, entreprenant et délesté de bonnes manières, se jette dans la vie avec bonheur, le second, encore très attaché au regard de ses parents, navigue à vue dans les décisions à prendre. Quand Ariane et Sophie apparaissent, les deux garçons s'efforcent, chacun puisant dans son arsenal de séduction, d'avoir le dernier mot. Entre les chevauchées amoureuses dans la forêt, son accession à la direction de l'entreprise et l'accident d'une jeune Manouche dans lequel il se sent profondément impliqué, Jean-Joseph plonge doucement dans une tragédie qui n'en a pas l'air. Mais il ne sait pas encore qu'il y a toujours, dans cette folie pleine d'éclats, un apaisement après la tempête.

Bastien a bien du mal à s'endormir dans le train de nuit qui le ramène dans sa ville natale. Vingt-six mois auparavant, il entrait à l'Ecole des mines. Pas suffisant pour stopper la conscription. Impuissant, hier, à construire sa vie, il tente aujourd'hui d'échafauder ce que pourrait être son retour. Il trouvera probablement un travail à la mine d'uranium de la région, le tout premier chaînon d'une nouvelle filière industrielle. Mais si sa carrière professionnelle s'annonce bien tracée, une tout autre épreuve l'attend. Il est rongé par une souffrance qu'il ne peut plus laisser traîner au fond de lui : il ne sait rien de son père. Ses parents ont divorcé alors qu'il avait cinq ans et que sa mère était enceinte de sa sœur. Cette dernière ne porte même pas le nom de son père. Malgré l'insupportable silence familial sur le sujet, il n'a jamais perdu espoir de le revoir un jour, ou tout au moins de savoir ce qui s'est passé. Ecartelé entre sa volonté de combler les vides de son enfance et sa crainte d'ouvrir les pages d'une histoire familiale déchirante, il s'installe, dès son retour, dans une ferme isolée près de la mine. Pour l'adulte qu'il est devenu, Fontcombe constitue un refuge qui lui permettra de se réconcilier avec le passé et de trouver la sérénité, peut-être même l'amour. Une émancipation douloureuse mais exaltante. Jean-Marie Mignon trace le portrait poignant de ces hommes et de ces femmes aux prises avec les malheurs de l'histoire et les tourments du coeur. Un récit juste, à l'émotion intacte.

Août 1939. Le dernier jour des vacances, Marielle découvre qu’elle est enceinte. Trois jours plus tard, Jacques, son mari, est envoyé sur le front et il laisse le foyer aux mains de sa femme. En proie à une profonde solitude, Marielle se tourne vers Germaine, sa belle-soeur, le seul soutien qui lui reste. Liées par leur statut d’épouses sans époux, elles vont s’épauler dans l’adversité. Rapidement, toute la ville bascule dans un univers de turbulences, de privations et de restrictions ; les relations sociales se réduisent et la vie d’une femme seule avec un enfant s’avère particulièrement douloureuse. Les mois s’égrènent… Désillusions, espoirs, découragements. Marielle finit par s’accommoder de l’absence de son mari, une absence qui grignote insidieusement sa vie et son coeur. Aux yeux de tous, elle devient une femme de prisonnier, portant l’honneur d’une famille et d’un homme absent. Animée par une sourde énergie, elle dépassera les critiques, les rumeurs pernicieuses et les conventions sociales pour trouver son propre chemin. Lorsque Jacques rentre enfin de captivité, il découvre une Marielle autonome, réfléchie, plus décidée que celle qu’il avait laissée sur le quai de la gare, six ans plus tôt. Elle sait désormais ce qu’elle attend de la vie. Elle a même usé de son droit de vote, tout neuf, aux élections municipales ! Dans ce premier roman, Jean-Marie Mignon signe le remarquable portrait d’une héroïne qui, comme beaucoup de femmes à cette époque, a vécu, à travers les événements dramatiques, une tragédie intime et sociale.

René Depastaud demeure inconsolable de ne pas avoir d'enfant avec Lucite. Ce qu'il vit comme un échec se fait ressentir encore plus cruellement le jour du mariage de sa nièce, une cérémonie où il renoue avec sa cousine Amandine qu'il a perdue de vue depuis l'adolescence. De belles retrouvailles qui dissiperont sa mélancolie. Au matin de cette nuit d'été festive passée dans la demeure de Grandmont, un incident fortuit va engendrer une véritable secousse familiale, de celles qui n'en finissent plus d'apporter leur lot de surprises et de révélations. Amandine et René n'auraient-ils pas réveillé un épisode très sensible de la saga des Depastaud ? Surtout qu'ils ont appris qu'on s'était appliqué à les élever dans les non-dits, les faux-semblants et les secrets.

Toujours très active, cette utopie républicaine a connu une histoire faite d'enthousiasmes et de réussites, mais aussi d'incompréhensions et de critiques, voire de rejets.

Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, se développe en France un courant d'idées qui cherche à promouvoir la diffusion de la connaissance au plus grand nombre pour que chacun puisse assumer son rôle de citoyen : l'éducation populaire. Sous cette appellation se trouvent intriqués, à partir de cette période, quatre grands domaines d'intervention : activités complémentaires de l'école, formation permanente, action culturelle et engagement dans la cité.

Toujours très actif aujourd'hui, ce mouvement a connu une histoire faite d'enthousiasmes et de réussites, mais aussi d'incompréhensions et de critiques, voire de rejets. D'abord perçue comme une éducation culturelle touchant à la vie tout entière, l'éducation populaire a ensuite connu différentes phases : mise en place de la formation permanente puis de l'animation socioculturelle et, à partir des années 1980, développement de l'éducation civique.

C'est cette riche histoire que propose de découvrir cet ouvrage. Son auteur montre le rôle essentiel joué par l'éducation populaire au sein de la société : il s'intéresse à l'éthique sociale qui la fonde, à quelques figures marquantes, à des institutions et organismes qui s'en réclament, à des programmes et actions inscrits dans la vie nationale et internationale, aux populations touchées par les acteurs du mouvement. Témoignant d'une certaine forme d'utopie républicaine – celle d'une société fraternelle et de progrès –, l'éducation populaire épouse les grandes questions de société de son temps et participe, selon Jean-Marie Mignon, de l'ensemble des mythes fondateurs qui permettent à la société française de conserver son unité.

Après 30 ans d’existence, l’animation est devenue un système avec ses institutions, ses équipements et ses acteurs intervenant sur le triple registre de la régulation, de la promotion et de la valorisation dans des situations où les enjeux sont à la fois culturels, sociaux, économiques et politiques. On parle désormais de la profession d’animateur tout court (et non plus d’animateurs socioculturels) pour désigner des professionnels salariés essentiellement du secteur associatif et des collectivités territoriales (avec des statuts, des qualifications et des formations multiples). De fait, l’animation relève autant d’une science de la conception (du projet à venir) que de l’analyse (du projet réalisé). À la conjonction d’organisations de jeunesse, d’éducation populaire et d’institutions publiques, l’animation, comme pratique est ouverte à un avenir. Elle est donc un lieu de conflits sur son sens, ses finalités et ses enjeux.

Une vision claire de l'histoire de cette discipline et de ses mutations, et présentation concrète des différentes filières vers lesquelles les animateurs peuvent s'engager. Une référence indispensable.

À la confluence d'un double héritage, laïque et confessionnel, au croisement de l'éducation populaire, du travail social et des occupations de loisirs, l'animation est le fruit d'une histoire complexe. D'où la difficulté qu'elle a toujours eue à se constituer en profession. Mais, précisément, la professionnalisation est bien le maître mot aujourd'hui : initialement fondée sur un engagement militant pour l'accès de tous à la culture et aux loisirs, l'animation devient progressivement un emploi salarié comme un autre et attire de plus en plus de candidats. Les municipalités les recrutent en nombre. L'objectif de ce livre est de donner une vision claire de cette histoire et de ces mutations, de présenter concrètement les différentes filières vers lesquelles les animateurs peuvent s'engager, ainsi que de cerner leurs principaux employeurs. L'auteur explique ainsi que les métiers sont de plus en plus spécialisés par rapport à la pratique de l'animation de base : à l'issue de sa formation, l'animateur peut s'investir dans de multiples domaines, en choisissant par exemple de devenir agent de développement en milieu rural ou urbain, de gérer une maison des jeunes et de la culture, de valoriser le patrimoine ou de faire de la médiation sociale... Une vaste palette de métiers, dont beaucoup sont en devenir. Largement actualisé dans cette nouvelle édition, cet ouvrage est une véritable référence pour tous ceux qui s'engagent dans cette voie et pour leurs formateurs.

Les animateurs, évalués à 50 000 personnes, appartiennent à la catégorie des travailleurs sociaux. Ils remplissent des fonctions socio-éducatives multiples auprès des jeunes défavorisés mais aussi des personnes âgées. Le livre résume en 75 entrées l'essentiel des aspects réglementaires, éducatifs et institutionnels nécessaires à la pratique de cette fonction. Il entend constituer un véritable instrument de travail, au quotidien, pour une profession souvent méconnue. Cette 2e édition entièrement actualisée tient compte des nouvelles dispositions relatives à cette profession.

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