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Toutes les séries de Jean-Paul Goux

3 livres

Dans une correspondance adressée à deux de ses amis, le narrateur de L'Embardée cherche à comprendre l'origine et la nature de ce qu'il perçoit et vit comme un désastre : la liquidation, par ses parents, de l'appartement extraordinaire aménagé par son arrière-grand-père dans l'un des nombreux immeubles jadis construits par lui dans la capitale, et qu'il a lui-même fréquenté enfant lorsque ses grands-parents l'occupaient, et plus tard, à vingt ans, durant tout un mois d'hiver...

Pour ce descendant d'une lignée d'architectes, architecte lui-même, la perfection n'a jamais eu d'autre visage que celui de ces rêves de pierre que s'employèrent jadis à matérialiser des hommes alors soucieux de "faire don" de la ville à ceux qui l'habitaient. Tout en réactivant de pénibles épisodes du roman familial, la découverte du destin réservé à un lieu très aimé vient rappeler au narrateur les saccages architecturaux commis par son père, dans la ville d'après-guerre, au nom de principes techniques et économiques dont la mise en vente et le démembrement de l'appartement ne représentent que le plus cruel, car le plus intime, avatar.

Dans son exploration de la face cachée, et souvent douloureuse, de toute filiation, L'Embardée conjugue désarroi et révolte, au fil d'une prose implacable et ardente dont la phrase déploie toutes ses magies, comme pour exorciser, s'il se peut, les pouvoirs que la mort s'arroge, de leur vivant, sur les menées et les désirs des hommes.

(Source : Actes Sud)

Tous les livres de Jean-Paul Goux

Quatre amis de longue date se retrouvent dans la propriété de Morgante, dont les jardins jouissent d'une réputation internationale. Ils ont pour mission, dans l'immense demeure, de dresser un inventaire des biens, ceux du jardin mais aussi ceux de la maison et de la bibliothèque, avant leur destruction définitive. Pourtant ils sont tenus par le faible espoir que cette mise en mémoire sauvera l'endroit de l'annihilation totale.

Ce lieu mystérieux et magique, où les jardins prennent peu à peu la place d'un personnage à part entière, devient bientôt le révélateur des vérités du passé et du présent qui lient les différents protagonistes. Ainsi se tissent, à travers les voix entremêlées, les drames et les passions du petit groupe, pris dans un inexorable huis clos.

(Source : Actes Sud)

Il y a vingt ans que Maren a quitté la maison forte. Aujourd'hui son père, qu'elle n'a pas revu depuis, veut lui parler. Sur la route du retour aux lieux anciens, Maren se souvient et s'interroge. Qu'est devenue la maison forte où son père s'est retiré ? Qu'en fut-il, durant tout ce temps, de sa vie ? Et que peut-il avoir à lui dire ? C'est sur l'invitation de Maren que son ami Wilhem se rend lui aussi à la maison forte. En chemin il songe à la relation singulière qui s'est nouée entre eux. Aux questions de Maren répondent ses propres interrogations, cependant qu'à la voix de Maren fait écho, infatigablement, la sienne. Peu à peu les sentiments de Wilhem se précisent, il comprend qu'il aime Maren et qu'il ne va la voir que pour le lui dire. D'une beauté envoûtante, ce roman en forme de quête et d'enquête, où la passion de savoir le dispute à la peur de dévoiler, où l'impressionnante densité de l'écriture se mesure à l'épaisseur du temps, est le roman de la deuxième initiation : celle qui contraint à déconstruire l'ancien théâtre des représentations patiemment échafaudé, à se déprendre de tout au moment même où l'on entre en possession de l'héritage. Il se nourrit d'un vertige dont l'écriture saisit ici avec une autorité inspirée toute la périlleuse énergie pour explorer les désordres troublants - et le chaos, parfois - obscurément au travail au coeur même des formes élaborées par l'homme : ses paysages, ses rencontres, ses sagesses.

Convoqués auprès du lit d’hôpital où gît un ami très cher qu’un accident cérébral a définitivement éloigné du monde, un couple bouleversé revisite dans la douleur les épisodes marquants d’une longue histoire commune, à la manière d’une enquête sentimentale d’où surgit le terrible soupçon que l’absence, désormais irrémédiable, qu’ils ont sous les yeux n’est que la forme ultime du destin auquel son abyssale solitude a condamné de son vivant un homme dont, sous le couvert de l’amitié et de “la vie comme elle va”, chacun s’est toujours employé à ignorer les tourments et à mésinterpréter les choix, les paroles et les gestes.

(Source : Actes Sud)

Après la disparition de Chaumes, un architecte de jardins, Wilhem, le confident et ami de toujours, et Maren, la jeune femme que Chaunes a aimée, se retrouvent. Leurs deux voix se relaient pour évoquer le défunt et l'histoire des Cravanche, la famille maternelle de Chaunes, qui a pris une part active dans la vie politique de la France des années 1920 à la fin des années 1950.

A travers la geste d'une dynastie d'orateurs et d'hommes d'Etat, La Commémoration interroge avec une rare acuité le statut du politique - de l'éthique au discours. Cependant que face à cette parole omniprésente et dominatrice, le jardinier Chaunes tente d'ériger un contre-pouvoir par la seule vertu de son œuvre.

(Source : Actes Sud)

D'abord romancier, Jean-Paul Goux s'est fait historien, ethnologue et sociologue pour composer ce portrait de la classe ouvrière, au fil d'une enquête menée au milieu des années 1980 dans la région de Montbéliard. Anciens ouvriers des forges et des filatures, travailleurs de l'automobile (les usines Peugeot), les hommes qu'il a rencontrés sont les maillons d'une histoire collective dont la trame se confond avec celle de la révolution industrielle qui s'achève sous nos yeux. Et c'est en écrivain qu'il s'est mis à l'écoute des voix qui composent cette mémoire vivante.

A l'heure du village mondial, de la délocalisation, des restructurations, de la spéculation et de l'omnipotente prédation du grand marché unique, c'est avec un sens renouvelé de l'importance des hommes, de leur travail et de leurs lieux de vie qu'on appréciera un ouvrage qui remet le temps de l'humain au cœur du paysage économique.

(Source : Actes Sud)

Vivien, le narrateur, est profondément troublé lorsque après tant d’années riches de leurs mémoires partagées, Julie, sa compagne architecte, évoque des souvenirs très précis de chantiers qui n’ont pour lui aucune réalité, et qu’il met en doute. Le monde clos de leur entente amoureuse se fragilise, soudain menacé par la traversée inquiétante de ces « sourdes contrées » que fabrique à notre insu le Temps qui passe. Qu’il s’agisse d’un être ou d’un projet d’architecture, quelle est la réalité de nos souvenirs dès lors qu’ils sont aussi nourris de nos rêves et de nos rêveries ? ce sont ces troublantes confusions que scrute Jean-Paul Goux dans ces « notes » teintées d’une mélancolie non dénuée d’ironie, et dans une langue somptueusement poétique. Né en 1948, Jean-Paul Goux est l’auteur d’une œuvre littéraire d’exception. L’essentiel des titres est rassemblé cjez Actes Sud. La Commémoration (1995 ; Babel, 2005), La Maison forte (1999), L’Embardée ou les Quartiers d’hiver (2005). Et dans la collection Babel Les Jardins de Morgante (1999) ainsi que Mémoires de l’enclave (2003). Chez Champ Vallon, La Jeune Fille en bleu (1996) et La Fabrique du continu. Essai sur la prose (1999)

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