Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre
navigation
sur
notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces
outils,
nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des
publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et
l'art.
Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans
ces
domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des
offres
pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien
vouloir
désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à
vous
fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et
tendances de
la
littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités
et
cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre
option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée,
sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement,
cliquez ici.
Jeanne Galzy (Montpellier, 1883 - Montpellier, 1977) était une romancière et biographe française, membre du jury du Prix Femina.
De son vrai nom, Louise Jeanne Baraduc, elle est la fille d'un négociant et d'une poétesse non éditée. Elle grandit dans un milieu protestant et fait des études supérieures, fait rarissime pour une jeune fille à l'époque. Elle est notamment Sévrienne et agrégée.
Enseignante, elle souffrait d'une maladie des os qui l'envoya en convalescence à Berck. Elle se servit de cette expérience pour écrire Les Allongés, qui reçut le Prix Femina en 1923. Elle reprit l'enseignement, mais, victime de rechute, se voua à l'écriture.
Avec L'Initiatrice aux mains vides, elle livra un roman d'amour lesbien entre une professeur et une élève, à ranger entre Olivia de Dorothy Bussy, Jeunes Filles en uniforme de Christa Winsloe, et les œuvres de Violette Leduc ou Jeanette Winterson. Jeunes Filles en serre chaude (1934) se voulait le portrait des élèves de l'École normale supérieure de Sèvres avant 1914.
Jeanne Galzy devint membre du jury du Prix Femina en 1964, et le resta jusqu'en 1977. En 1969, elle commença une tétralogie se déroulant dans le milieu protestant au début du XXe siècle, La Surprise de vivre. On y retrouve sur plusieurs générations le désir lesbien en butte à la morale bourgeoise, spécialement dans la société protestante du Midi.
Elle a donné son nom à un bâtiment de l'Université Montpellier III et à un Club de loisirs pour le troisième âge de la même ville.
Elle est inhumée au cimetière protestant de Montpellier.
Biographie
Jeanne Galzy (Montpellier, 1883 - Montpellier, 1977) était une romancière et biographe française, membre du jury du Prix Femina.
De son vrai nom, Louise Jeanne Baraduc, elle est la fille d'un négociant et d'une poétesse non éditée. Elle grandit dans un milieu protestant et fait des études supérieures, fait rarissime pour une jeune fille à l'époque. Elle est notamment Sévrienne et agrégée.
Enseignante, elle souffrait d'une maladie des os qui l'envoya en convalescence à Berck. Elle se servit de cette expérience pour écrire Les Allongés, qui reçut le Prix Femina en 1923. Elle reprit l'enseignement, mais, victime de rechute, se voua à l'écriture.
Avec L'Initiatrice aux mains vides, elle livra un roman d'amour lesbien entre une professeur et une élève, à ranger entre Olivia de Dorothy Bussy, Jeunes Filles en uniforme de Christa Winsloe, et les œuvres de Violette Leduc ou Jeanette Winterson. Jeunes Filles en serre chaude (1934) se voulait le portrait des élèves de l'École normale supérieure de Sèvres avant 1914.
Jeanne Galzy devint membre du jury du Prix Femina en 1964, et le resta jusqu'en 1977. En 1969, elle commença une tétralogie se déroulant dans le milieu protestant au début du XXe siècle, La Surprise de vivre. On y retrouve sur plusieurs générations le désir lesbien en butte à la morale bourgeoise, spécialement dans la société protestante du Midi.
Elle a donné son nom à un bâtiment de l'Université Montpellier III et à un Club de loisirs pour le troisième âge de la même ville.
Elle est inhumée au cimetière protestant de Montpellier.
Afficher en entier