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Mon dieu... je déteste ! La narration est illisible. L'auteur se perd en élucubration dont le lecteur se moque. C'est très mal écrit !
Impossible d'aller au delà du premier chapitre.
Manuel de dramaturgie à l'usage des assassins
J'ai lu un ovni, une autofiction comme le désigne l'auteur.
J'ai eu un peu de mal avec l'humour noir et le cynisme au début mais une fois que j'ai accepté n'avoir aucune idée de ce que je lisais, j'ai fini par apprécier.
De même, les chapitres peuvent surprendre. Tantôt très courts, tantôt pas si longs que ça, parfois paragraphes, parfois pièce de théâtre, parfois jeu de rôle. C'est vraiment éclectique.
Comme il s'agit d'autofiction, on ne parle qu'en initiales, en noms de code, en métaphore, en allégorie. Les morts continuent de parler et de commenter, les corps de dédoublent, les membres se perdent et se retrouvent...
Il y a bien un détective, des clients, des enquêtes mais ce qui prévaut dans cet univers surréaliste ce sont des réflexions sur le deuil, l'amour, la sexualité, l'intimité. Ne soyez donc pas étonnés de croiser des personnages comme Confiance, Tristesse ou encore Dépréciation.
L'amour viendra petite!
Manuel de dramaturgie à l'usage des assassins