Jonathan Luna

Bien avant que Stephen king écrivait "Dôme", en 2009... les Frères Luna avaient emprisonné, en 2006, les habitants d'un village au nom de Pennystown (à prononcer comme vous l'entendez) sous une coupole infranchissable et inviolable... voilà, c'est dit !

Jonathan et Joshua racontent une histoire originale, audacieuse de guerre des sexes sur fond d'invasion extraterrestre. Les dessins très "lisses", presque aseptisés, ne plairont pas à tout le monde, d'autant que cette approche d'illustration (représentative des frères Luna) ne permet pas de faire ressortir les expressions faciales ou les émotions p.e. Mais moi je suis conquise depuis longtemps :)

Bon, c’est globalement pas trop mal fait. Mais pour l’instant, rien de très nouveau ou de très original dans le propos. Depuis les débuts de la SF, la possibilité qu’un androïde se rebelle, qu’un robot ait une âme, existe.

Récemment, de Real Humans à Black Mirror, ce genre de propos est développé.

Et là, ça fonctionne plutôt bien mais ça n’a rien de novateur. Le cheminement est assez classique et sans surprise.

De plus, les dessins assez mécaniques, anguleux, sans relief ne m’ont pas super accroché. On dirait du dessin sur ordinateur par quelqu'un qui ne maîtrise pas totalement… Les décors sont fades et les couleurs banales…

Pour autant, le point fort vient du monde créé, de la communication par la pensée à toute cette automatisation. A la fois crédible, assez inventif et qui tient sur la distance…

Le tout se lit donc sans souci parce que ça reste bien écrit, c’est très bien construit, mais ça reste classique.

L’histoire d’Ada se poursuit, les réactions d’Alex, tout ça…

Globalement, ce n’est pas intéressant.

Pour l’histoire en elle-même, Ada a beau être un robot, on est dans une sorte d’histoire d’amour mièvre… Pour la libération des robots, ça bavasse beaucoup, inutilement, pendant des pages…

D’ailleurs, pour la forme, c’est un peu la même chose : quelque soit l’action ou le propos, ça prend des pages et des pages à s’étaler pour ne pas dire grand-chose de profond ou d’intéressant.

Le dessin a toujours un trait aussi figé, froid, lisse, linéaire, et ne m’accroche pas du tout. Je passe les cases, les pages, sans m’intéresser vraiment aux détails (souvent inexistant, d’ailleurs) pour en arriver, au final, à survoler les bulles qui s’étendent pour dire la même chose…

J’ai beau avoir fait les deux tomes, je n’éprouve aucun besoin de lire le troisième : ce qui peut arriver à Ada m’indiffère hélas totalement…

Le moins qu’on puisse dire, c’est que je ne suis pas convaincu du tout…

L’histoire n’est pas particulièrement originale de l’épée qui donne des pouvoirs, les représentants des quatre éléments qui usent et abusent de leur pouvoir…

Ça pourrait passer mais plein de détails ont gêné ma lecture.

La rigidité et la froideur des dessins pour le visuel – je ne suis pas super fan de manga mais j’en ai lu plusieurs où l’action était super bien représentée par les mouvements et lignes de vitesse. Là, il faut faire un gros effort pour imaginer l’action…

L’histoire, outre qu’elle n’est pas super originale, est particulièrement bavarde… Il y a des kilomètres de texte pour expliquer ce qui tiendrait en cinq fois moins de place, alourdissant le tout.

Au final, je me suis forcé à tourner les pages pour au moins finir ce premier tome qui ne m’a franchement pas emballé…

Une intrigue intéressante quoique de facture classique, dans laquelle les frères Luna, comme à leur habitude, se concentrent au maximum sur les personnages, leurs doutes, leurs atermoiements, leurs prises de risques malgré un manque flagrant d'informations dont ils disposent et cette pesante impression que le monde entier s'en prend à eux. Orientée par les nombreux dialogues, l'histoire propose toutefois quelques passages sanglants et/ou violents dans un ensemble cependant décevant du point de vue graphique, avec des visages d'une fadeur extrême et des décors limités que l'encrage pastel ne parvient pas à magnifier. Difficile de se passionner du coup pour un script dense et tendu mais manquant d'originalité dans sa conception et son déroulement.

Je suis étonnée par ce premier tome, et pas dans le bon sens du terme. Le début était intéressant, j'étais curieuse de voir s'il y avait une raison "particulière" à la situation du personnage principal. Mais non, très décevant. Je m'attendais vraiment à autre chose. Arrivé à l'introduction de la "fille" en question, le scénario m'a complètement perdue. Un comics sans intérêt pour moi.

Comme beaucoup de ces histoires de Super-Héros actuels, sortant des franchises Marvel ou DC, je trouve en général que ça commence bien mais que ça part toujours en sucette pour finir en eau de boudin.

On n'y coupe pas.

Départ intéressant que cette société où les super-héros ont des agents et vivent de sponsor, nominations comme aux oscars, problématique de sortir avec une personne normale, prédiction, gros méchant qui veut détruire ultra...

Et puis ça vire assez rapidement n'importe quoi, pas de suivi, ça part ailleurs, ce qui est posé ne sert à rien...

Comme en plus, les dessins sont simplistes, voire maladroits parfois tellement ils paraissent vite fait, on ne peut pas se raccrocher à ça...

Donc, intérêt pendant 100 pages, déception pendant les autres...

Une histoire interessante, des personnages énigmatiques, du suspense qui laisse placer un peu de mystère autour du père de Dara, on pas encore toute les informations. Avoir si la suite est aussi bien que ce tome.

Une suite dans la linier du premier tome et qui nous apprend plus sur les différents personnages.

Ce tome est toujours dans la linier des précédent, quelque petit flash back sur les personnages qui nous permettent de mieux les cerner.