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Tous les livres de Joyce Mansour

Premier Recueil de poèmes de Joyce Mansour Éd. Seghers, Paris, 1953

In-folio (423 x 330 mm). 11 compositions originales en couleurs dans le texte gravées sur cuivre par Roberto Sebastian Matta, dont 6 à pleine page. En feuilles, chemise et étui de l'éditeur en soie blanche (étui frotté et taché).

ÉDITION ORIGINALE limitée à 85 exemplaires sur vélin d'Arches, celui-ci l'un des 10 réservés aux collaborateurs. Tous les exemplaires sont signés par l'auteur et l'illustrateur et contiennent une suite des gravures tirée sur Japon nacré, chaque planche étant signée par l'artiste.

6ème recueil de cette poète sorti en 1969 aux editions Daily Bul

Marion Kalter Mansour (Joyce), égyptienne d’expression française. Ses vers abrupts, aussi libres qu’il se peut, sont pleins d’une imagerie éroticomacabre et cauchemardesque qui rejoint en intensité celle de Salvador Dali. Jules César (1954), les Gisants satisfaits (1956) et Rapaces (1960), qui réunit diverses plaquettes antérieures, sont ses principaux recueils, avec le Carré blanc (1965), où elle raffine ses audaces, mais aussi son art, et se montre capable d’écrire de longs poèmes moins agressifs, moins systématiques,...

es ascendants de Joyce Ades font partie de la colonie britannique installée au Caire, depuis plusieurs générations. Son père dirige une filature.

Après des études en Angleterre et en Suisse, elle retourne en Égypte où elle s'illustre dans la course à pied.

En 1947, son premier mariage s'achève tragiquement au bout de six mois quand son mari meurt d'une maladie incurrable.

Elle se remarie en 1949 avec Samir Mansour, issu de la colonie française du Caire. Dès lors, ils partagent leur vie entre Le Caire et Paris. Joyce Mansour s'initie à la culture française et commence à écrire en français.

En 1953, les éditions Seghers publient son premier recueil de poèmes « Cris » qui est remarqué par la revue surréaliste "Médium". Elle rencontre André Breton qui la compare à celle « que le conte oriental nomme la tubéreuse enfant ». Par son intermédiaire, elle fait la connaissance de Pierre Alechinsky, Wifredo Lam, Matta, Henri Michaux, André Pieyre de Mandiargues et participe aux activités des surréalistes1.

En 1954, les Mansour s'installent définitivement à Paris. C'est dans leur appartement que le 2 décembre 1959, en marge de l'exposition internationale du surréalisme dédiée à Éros, en présence de Breton et Matta, le plasticien québécois Jean Benoît présente son « Exécution du testament du Marquis de Sade ». Au cours de cette séance, Jean Benoît s'applique sur la poitrine un fer rougi portant les quatre lettres SADE2.

En 1965, la quatrième de couverture de « Carré blanc » la présente ainsi : « Joyce Mansour, Égyptienne, née en Angleterre, a séjourné en Égypte, vit en France. Spécialiste du saut en hauteur, elle a été championne de course à pied ».

Jean-Louis Bédouin voit dans la poésie de Joyce Mansour « Une puissance à l'image de l'antique terre-mère : c'est parce qu'elle engloutit la graine, qu'elle peut rendre le baiser d'une fleur ardente3. » Pour Alain Jouffroy, son absence de pudeur « marque une sorte de révolte, essentiellement féminine, contre le despotisme sexuel de l'homme, qui fait souvent de l'érotisme sa création exclusive4. »

Certains de ses recueils sont illustrés par les peintres Alechinsky, Enrico Baj, Hans Bellmer, Jorge Camacho, Lam, Matta, Pierre Molinier, Reinhoud et Max Walter Svanberg5.

Le 7 novembre 1984, pour une soirée au profit d'Amnesty International, elle joue dans la pièce de Virginia Woolf « "Freshwater" » dans une mise en scène de Simone Benmussa, au Théâtre du Rond-Point à Paris. Les écrivains Eugène Ionesco, Nathalie Sarraute, Alain Robbe-Grillet et Jean-Paul Aron sont les autres interprètes de cette pièce6.

En 1991, les éditions Actes Sud ont publié tous ses écrits, rassemblés avec l'aide de son mari, Samir Mansour.

C’est l’histoire de deux jumeaux qui viennent de naître. C’est l’histoire de Jules César, leur vieille nourrice noire. D’une vierge lubrique qui ouvre des perspectives, d’un bûcheron sanguinaire qui aime son métier et d’un grand singe au flair infaillible. Tout se passe sur une montagne qui ressemble à s’y méprendre à la Suisse, où de braves villageois vendent leur sang en même temps que des horloges. Jusqu’au jour où...

Conte fantasque et décalé, « Jules César » explore avec humour et cruauté les rapports du normal et de l’anormal, du bien et du mal, du rêve et de la réalité. Malmenant les mythes et les symboles, le spectacle pose avec impertinence la question de la quête de liberté.

Ça

"Jules César était méchante, vieille et plus négresse chaque année." Le personnage qui porte ce nom est la nourrice et la servante, dans une histoire paysanne dont les personnages sont le père et la mère, deux jumeaux, la fille lubrique d'un bûcheron homicide, un grand singe avide de chair humaine. Iles flottantes a pour cadre un hôpital genevois, et l'humour qui permet de transposer la réalité sinistre s'exerce aux dépens du personnel, des médecins, et de l'auteur. Dans ces deux textes, l'auteur en liberté exerce sa méchanceté et son insolence décalée. Son humour, aiguisé par le laminoir surréaliste, permet à Joyce Mansour d'exprimer sa propre vision du monde, une image savoureuse et d'une irrésistible drôlerie.

Note de l'éditeur

"Joyce Mansour

Issue de la colonie britannique installée au Caire, Joyce Mansour est née en Angleterre. Elle part en Égypte en 1947 pour se marier, mais ce premier mariage s'achève tragiquement au bout de six mois quand son mari meurt d'une maladie incurable.

Elle se remarie en 1949 avec Samir Mansour, issu de la colonie française du Caire. Dès lors, ils partagent leur vie entre Le Caire et Paris. Joyce Mansour s'initie à la culture française et commence à écrire en français.

En 1953, les éditions Seghers publient son premier recueil de poèmes Cris qui est remarqué par la revue surréaliste Médium. Elle rencontre André Breton qui la compare à celle « que le conte oriental nomme la tubéreuse enfant ». Par son intermédiaire, elle fait la connaissance de Pierre Alechinsky, Wifredo Lam, Matta, Henri Michaux, André Pieyre de Mandiargues et participe aux activités des surréalistes.

Jean-Louis Bédouin voit dans la poésie de Joyce Mansour : « Une puissance à l'image de l'antique terre-mère : c'est parce qu'elle engloutit la graine, qu'elle peut rendre le baiser d'une fleur ardente. » Pour Alain Jouffroy, son absence de pudeur « marque une sorte de révolte, essentiellement féminine, contre le despotisme sexuel de l'homme, qui fait souvent de l'érotisme sa création exclusive. »

Certains de ses recueils sont illustrés par les peintres Alechinsky, Enrico Baj, Hans Bellmer, Jorge Camacho, Lam, Matta, Pierre Molinier, Reinhoud et Max Walter Svanberg.

Le 7 novembre 1984, pour une soirée au profit d'Amnesty International, elle joue dans la pièce de Virginia Woolf Freshwater dans une mise en scène de Simone Benmussa, au Théâtre du Rond-Point à Paris. Les écrivains Eugène Ionesco, Nathalie Sarraute, Alain Robbe-Grillet et Jean-Paul Aron sont les autres interprètes de cette pièce.

Tous ses écrits, rassemblés avec l'aide de son mari, Samir Mansour sont publiés dans cette édition."

https://www.micheldemaule.com/fr/Livres-Parus/Joyce-Mansour-Oeuvres-completes/375.htm#prettyPhoto

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