Judith Kerr

« Quand Hitler s’empara du lapin rose » est un bon roman jeunesse, idéal pour une mise en matière et pour appréhender la Seconde Guerre Mondiale et toutes ses conséquences pour un jeune public. En effet, la guerre n’est véritablement pas au centre de ce roman, le sujet n’étant qu’effleurer. Le plus important ici c’est la famille et son unité où comment vivre et fuir la guerre lorsqu’on est de confession juive.

L'album est sur le chat Mog et les renards. C'est une super histoire.

Un très bon livre, assez simple d’apparence, mais qui n’en reste pas moins touchant. Qu’il aborde ici le thème de l’exil provoqué par la guerre plutôt que la vie en Allemagne durant cette même guerre ne m’a pas dérangée, d’autant plus qu’il est autobiographique. De même, le fait d’avoir un enfant comme personnage principal (et donc vivre l’exil par son regard) apporte une certaine fraîcheur à l’histoire, sans occulter la dureté de cette vie d’errance.

On retrouve une Anna un peu plus âgée, certes bien installée à Londres, mais qui doit continuer de faire face à la dureté de son quotidien – je parle aussi bien des bombardements que de leur simple survie, à elle et à sa famille : être immigré n’a jamais rien de simple… C’est un second tome aussi bon que le premier quoique forcément différent puisque quelques années séparent les deux tomes, saisissant, et qui peut être lu à n’importe quel âge.

Un livre bien agréable à lire et rafraichissant. Une famille juive doit s'exiler et fuir l'Allemagne devant la montée du nazisme. On suit leur périple en Suisse et en France, l'auteur s'attache surtout à nous montrer que malgré leurs conditions de vie difficiles on peut surmonter à peu près tout en restant soudé et en se serrant les coudes. Ce que réussit à faire Anna et sa famille, Anna qui découvre d'autres pays, d'autres gens, langues et coutumes avec tout l'enthousiasme et la fraîcheur de ses 10 ans..

Un deuxième tome tout aussi intéressant que le premier. On retrouve Anna plus âgée et sa famille qui survivent vaille que vaille, malgré les bombardements, la dureté de leurs conditions de vie et leur situation d'immigrés.

Même si j'ai un peu moins accroché que pour le premier tome, j'ai bien aimé ce roman. Personnages très attachants, belle histoire, un regard un peu différent sur la seconde guerre mondiale que ce qu'on a l'habitude de lire.

Dans ce livre, on voit l'exil d'une famille juive en 1933 ainsi que la montée du nazisme.

Une histoire très touchante d'autant plus qu'elle est autobiographique.

Je pense qu'il est adressé à un public plus jeunesse que je ne le suis ^^

J'ai particulièrement apprécié le "réalisme" de ce livre, on voit que l'auteur est passée par ces étapes plus ou moins difficiles car elles sont décrites avec une justesse sans pareil. L'immersion dans l'univers d'Anna n'en est que plus intense!