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Tous les livres de Kéthévane Davrichewy

description de l'éditeur :

Au collège, Salomé parle de ses futures vacances de Noël avec son père, et Etienne sait que rien n'ai vrai. Son père est mort et enterré. Tout ce que dit Salomé, c'est menti. Il décide de lui écrire pour qu'elle lui réponde pour de vrai. Ils sont amis depuis l'enfance, vrai, ils ont onze ans, vrai, et ils voient la vie en rose, faux. Car leur vie est dingue, à leurs trousses comme une guerre perdue d'avance. Parce que le père fou d'Etienne a pour habitude de s'enfermer dans la salle de bains, parce que Salomé refuse d'accepter la disparition de son père, mais aussi parce que, tous les deux, ils n'arrêtent pas de se disputer et de ce cacher la vérité. Un jour, Salomé reçoit la plus belle déclaration d'amour jamais faite sur terre. Etienne lui propose d'aller au cinéma attraper des poux. Ça y est, tout tourne, c'est le grand voyage sur les routes sans billet de retour, l'heure des baisers dans la bouche et des chagrins oubliés. Tout est écrit, il ne reste plus qu'à agir. Là, plus personne n'a le droit de mentir.

Lou a peur du noir, des araignées, des forêts profondes, du bruit, des greniers et des chauves-souris. En plus, elle est allergique à la poussière, aux plumes et à tous les animaux en général. Alors elle se demande vraiment pourquoi ses parents ont acheté une maison à la campagne. Cette maison est sinistre, exactement comme Lou l'avait pensé. Mais ce qu'elle n'aurait jamais pu imaginer, c'est que quelqu'un y habite déjà. Enfin, une sorte de quelqu'un. Une créature mince, barbue, très exigeante sur la température de son bain. Et douée de certains pouvoirs...

Un livre pour les enfants qui aiment déjà lire tout seuls.

Bob compte les jours sur son calendrier. Dans sept jours, Papa viendra le chercher et ils iront pêcher. Bob voudrait que Léonard joue à écrire les jours avec lui, mais Léonard préfère les dinosaures. Alors ils se disputent, et après, Bob a mal au ventre. Parfois aussi, Bob grinche parce que Maman ne répond pas tout de suite à ses questions. En fait, Bob aimerait être le commandant du bateau et donner les ordres.

Sauf que ce n'est pas toujours possible. Et s'il laissait le vent pousser le bateau ? Un livre pour les enfants qui aiment déjà lire tout seuls.

Abel a 17 ans et il a tout essayé.

Toutes les drogues. A présent, il est esclave de son corps : il lui faut sa dose, et puis encore une autre dose. Sauf qu'à L'Arche il n'aura plus rien. On l'enferme en salle de sevrage pendant quinze jours. Puis il doit réapprendre à vivre. Sans les drogues. Jardinage, bricolage, menuiserie, maçonnerie, thérapie de groupe. Un mois, deux mois, six mois... A L'Arche, la seule échappée est en soi-même. Alors Abel convoque ce passé qui l'a mené jusqu'ici.

Un père qu'il n'a jamais connu. Une passion pour le dessin que personne n'a jamais vraiment prise au sérieux, à part Lou. Lou et ses chaussures rouges à lacet, ses jambes sur l'herbe verte, ses rêves de danseuse. Et puis, Antoine, qui a cru découvrir un monde meilleur dans les drogues. Antoine, qui s'est trompé de chemin et a entraîné Abel avec lui. Abel a 17 ans et il est en manque. Plus que jamais, il voudrait retrouver Lou et Antoine.

Ils se sont promis de ne pas changer. Mais, à présent, plus rien ne pourra être comme avant...

En ce jour anniversaire de ses quatre-vingt-dix ans, la première pensée de Tamouna est pour Tamaz, son amour de jeunesse. Cet homme, qu'elle a rencontré l'été de ses quinze ans à Batoumi, et qu'elle n'a cessé d'attendre, devrait être le quarante et unième convive de la fête familiale qui se prépare. La longue journée anniversaire est comme la métaphore de la vie de Tamouna. Entourée des siens, elle a laissé ouverte la vanne des souvenirs, et peu à peu, l'image de la doyenne qu'elle est devenue se superpose à celle de la jeune fille exilée. L'arrivée tardive de Tamaz en éternel amoureux achève de créer le trouble.

Thalie a dix-sept ans et passe le bac dans quelques semaines.

Un jour, sa cousine Mathilde lui présente un ami : Maxence de Creusolles. Il a vingt-cinq ans et travaille dans le cinéma. Il a une réputation de snob et de tombeur. Thalie l'a trouvé très antipathique mais ne cesse de penser à lui. Elle apprend, quelques jours plus tard, que Maxence a demandé son numéro de téléphone. Comment peut-on attendre aussi fébrilement un coup de fil qu'on ne souhaite pas ? se demande-t-elle.

Et qui est Maxence ? Un séducteur ou un fragile ? Pourquoi jette-t-il sans cesse des coups d'œil inquiets autour de lui ? Pourquoi déteste-t-il qu'on lui parle de son père ?

Un jeune homme que son père, veuf inconsolable, garde dans une chambre d'où l'on ne voit que le ciel afin de le préserver du bonheur et donc du malheur, tombe amoureux de la lune et décide de partir pour l'épouser. Une jeune fille prête à tout pour être la femme d'un prince, prête même à être amputée de son passé. Un homme qui a fait un rêve si extraordinaire, que toute personne à qui il le raconte veut posséder ce rêve et en perd la raison. Un contemplatif, qui a passé la moitié de sa vie à regarder les flammes dans l'âtre, en souriant, et qui est néanmoins si futé qu'il vient à bout de neuf géants redoutables... Voilà quelques uns des héros de ces contes géorgiens, dont la particularité est de toujours commencer par cette phrase " il était une fois mais qui peut le savoir ! "

Depuis l’enfance, Alice et Cécile ont toujours tout partagé. Adolescentes, vibrant à l’unisson des années 80, elles chantaient Patti Smith, se passionnaient pour la poésie et rêvaient à de jolis lendemains. Vingt ans plus tard, elles ne se voient plus. Comment une amitié si forte a-t-elle pu laisser la place au silence et à l’indifférence ?

Un roman émouvant, sur la perte de l’enfance, dans lequel deux voix de femmes s’élèvent avec délicatesse.

Contrairement à son cousin Arthur, Lou n’aime pas les animaux. Elle en a peur. Alors pourquoi est-ce à elle que ses parents et sa grand-mère ont offert un bébé labrador ? Lou ne veut pas de cette boule de poils qui la suit partout, qui fait pipi et caca dans toute la maison et qui mâchouille tout ce qu’elle trouve. Il faut que ce chien quitte la maison. D’abord, l’amour, ça ne se commande pas. Lou a raison, l’amour ne se commande pas... C’est pour ça qu’il réserve des surprises.

A quinze ans, dali a l'impression de porter sa famille à bout de bras.

elle étouffe sous le poids de cette tribu encombrante, composée de femmes d'origine géorgienne, sans le sou et sans homme. alors pour fuir, sa mère en mal d'amour, sa grand-mère et ses deux petites soeurs, dali se réfugie dans sa chambre sous les toits. par la lucarne, elle espionne son voisin d'en face, l'observe quand il dort, l'épie quand il joue de la guitare, le guette quand il réfléchit ou fait des grimaces devant son miroir.

un soir, elle lui écrit une lettre. puis des dizaines, dans lesquelles elle livre son amour, mais aussi son mal être, ses secrets, ses joies. grâce à ses lettres, dali change. jusqu'au jour oú sa grand-mère invite le voisin d'en face à venir dîner.

Juliette a dix-sept ans. Elle a obtenu une bourse pour étudier dans une grande école d'art à new york. régulièrement, elle passe devant l'immeuble de robert redford. elle se raconte des histoires, comme on s'en raconte quand on n'est encore jamais vraiment tombée amoureuse. et puis un jour, elle rencontre taddei, qui est guitariste. il est un peu plus âgé qu'elle, il est intimidant, il a des yeux très noirs. sans qu'ils aient échangé un mot, il vient l'attendre à la sortie de son école. Le lendemain aussi. et le surlendemain. et tous les jours. juliette est follement amoureuse. et elle ne comprend pas pourquoi ses amis la regardent de travers. ally, qui d'habitude joue les filles libérées, lui dit sans cesse de se méfier. michael et leonard sont fuyants, ou sarcastiques. sont-ils simplement jaloux ? y a-t-il autre chose ?.

Mon prénom est Lou. Mais lorsque j'étais petite, on m'appelait " Miss Catastrophe ". C'est bien simple : je fais gaffe sur gaffe. C'est plus fort que moi: je ne peux pas m'empêcher de dire ce qu'il ne faudrait pas dire. C'est ainsi que mes parents se sont disputés dernièrement avec certains de leurs amis. C'est ainsi également que Marine (ma meilleure amie) a décidé de se venger de moi et d'aller séduire Pablo dont je suis secrètement amoureuse.

Pourquoi tant de haine ? Il faut dire que mon jeu préféré, c'est écouter aux portes lorsqu'on me croit endormie. Confortablement installée (avec oreiller et couette, cela va sans dire), j'écoute les conversations des adultes. Sauf que là, j'ai entendu quelque chose de très grave. Quelque chose que j'aurais préféré ne jamais avoir entendu. Et cette fois je vais devoir me taire. Vraiment. Même si, parfois, il y a des secrets bien trop lourds à porter pour une fille de 12 ans.

La maison familiale est trop vaste pour une femme seule. En ce jour de déménagement, les quatre enfants, devenus adultes, s’y retrouvent pour la dernière fois. Leur père est mort. Dans les pièces vides qui résonnent, les propos en apparence anodins se chargent de sous-entendus. Ces quatre-là se connaissent trop pour donner le change, d’autant que leur mère, profitant qu’ils soient pour une fois ensemble sans enfants ni conjoints, soulève la question de l’héritage.

Deux ans plus tard, rien n’est résolu : les frères et sœurs ne se parlent plus guère, et surtout pas de leur passé. Sur l’insistance de leur mère, ils ont pourtant accepté de se retrouver en Grèce, le pays de leur origine, dans la maison où l'aîné vient de s'installer.

Ce voyage est, pour chacun d’entre eux, l’occasion de revenir sur l’ambivalence de leurs relations. Comment en sont-ils arrivés là, eux qui étaient tout les uns pour les autres ?

Excellant à pointer la dissonance dans les voix de ses quatre protagonistes, qui chacun livre sa version des faits, Kéthévane Davrichewy, comme si elle assemblait les pièces d’un puzzle, révèle petit à petit les motifs d’un drame familial, et propose une belle variation sur la perte de l’innocence.

Ce n'est qu'un vieux chapeau. Mais il paraît que la nuit, son ombre se soulève du portemanteau et glisse sur le mur. Et des danseurs apparaissent. Dès que le chapeau se pose sur leur tête, ils s'animent. Thomas ne croit pas à cette histoire, même si c'est un vieux monsieur qui la lui a racontée. Mais ce vieux chapeau, il l'a trouvé. En fait, il l'a presque volé. Et ce soir, il est posé sur la tête de Kika, son ours en peluche. Et si le vieux monsieur avait dit vrai ?

Martin adore se transformer. Plus tard, il sera magicien. Il aime surtout se transformer en licorne. C'est une transformation qui demande beaucoup de travail, et ça, maman ne l'accepte pas toujours. Elle dit que c'est l'heure du bain et ensuite, que c'est l'heure de dîner. Comme s'il s'agissait de choses importantes. Quand comprendra-t-elle qu'il est beaucoup plus important d'être une licorne?

Tom avait deux rêves : avoir sa chambre pour lui tout seul et être sûr qu'Alice l'aimait.

aujourd'hui, il devrait être le plus heureux de tous les petits garçons. Alice l'a demandé en mariage et, comble de bonheur, sa maman lui a annoncé qu'ils allaient emménager dans une grande maison !

mais Tom est tourmenté.

il pose des questions du genre : " est-ce que le bonheur peut être double ? " ou " qu'est-ce qui se passe après quand les rêves se réalisent ? "

le soir, dans la pénombre, il discute avec son grand-frère martin des peurs et des secrets qui font grandir.

Nino a un meilleur ami, mais elle ne le voit que l'été, en vacances. Il s'appelle Moussa. Il est Africain d'origine. Il veut partir en Afrique pour retrouver son papa. Il lui a même demandé si elle voulait bien partir avec lui....

Nino a dit oui, mais elle n'est pas sûre de pouvoir tenir parole. Et elle trouve le secret de Moussa très difficile à garder.

Avec sobriété et naturel, la romancière entre de plain-pied dans l'enfance de " l'autre Joseph " : fils du préfet de Gori, il est élevé au milieu des gamins des rues, fascinés comme lui par les légendes bibliques et les bandits caucasiens. Même s'il partage avec le petit Djougachvili des rêves d'héroïsme et de grandeur, son camarade – exalté, batailleur et arrogant – l'agace. D'autant qu'on ne cesse de souligner leur ressemblance physique, frappante en effet. Des rumeurs ne circulent-elles pas sur une liaison entre le préfet Davrichewy et la mère de Sosso ? Comme autant de ponctuations rythmant les tumultueuses aventures des deux jeunes gens, des chapitres plus personnels interrogent le destin familial : qu'en aurait-il été des Davrichewy si, depuis sa tendre enfance, Joseph n'avait pas été obligé de prendre en compte son encombrant camarade – et supposé demi-frère ?

(Source : 10/18)

Il y a des jours où Nestane se passerait bien d'avoir des origines géorgiennes. Par exemple quand elle doit céder sa propre chambre pendant un mois à un garçon inconnu, sous prétexte qu'il vient de " là-bas ".

D'accord il a le même âge qu'elle, mais ça ne peut en aucun cas faire oublier son horrible blouson Walt Disney. Nestane trouve que Guiorgui Gougoulachvili est moche, qu'il a l'air bête et qu'il " sent l'Union soviétique " .

Dire qu'il va falloir emmener cet olibrius voir la tour Eiffel, alors qu'elle pourrait rêvasser tranquille à ce qui se passera peut-être entre Antoine et elle à la prochaine boum...

Nestane est si en colère qu'elle ne voit rien. Ni que Giuorgui se moque éperdument de la tour Eiffel. Ni qu'il comprend bien mieux le français qu'elle ne le croit. Ni qu'il a des tas de choses intelligentes à dire. Notamment au sujet d'Antoine.

La ville lumière a été maintes fois célébrée, rêvée, inventée par les poètes. Mais si la capitale compte vingt arrondissements, dans le cœur du Parisien, il n'y en a qu'un : le sien !

Demandez-lui d'où il vient, il vous répondra : "Je suis du XX", "de la Butte", "de Javel", "de Bastille", ou "des Batignolles".

Vingt romanciers d'aujourd'hui racontent avec cœur, verve, tendresse, humour ou poésie leur "petit coin de Paris" pour notre bonheur de marcher dans leur pas et de réinventer avec eux, cet éternel rêve de Paris.

Amie du compositeur interprète Alex Beaupain, l'auteure dresse le portrait intime du musicien à travers le récit de sept soirées. Elle évoque les doutes et les questionnements artistiques, dévoile la genèse de ses chansons et montre comment l'amitié, la transmission et la mémoire nourrissent son oeuvre.

Comme les films, nos vies se déroulent sur des bandes-son.

Les chansons d'amour, celles en français qui nous hantent, celle en anglais qu'on ne comprend pas toujours, celles qu'on écrit parce qu'on sait pas comment vivre, la voix sans paroles d'un clavecin qui fait pleurer, une flûte qui imite le chant des oiseaux, toute cette musique nous accompagne et recèle la foule des sentiments qu'on ne veut, qu'on ne peut exprimer.

Le juke-box, c'est six auteurs et des centaines de mélodies, de L'offrande musicale de Bach à Smells Like Teen Spirit de Nirvana. Six histoires d'amour, d'indignation, de révolte qui se répondent, s'opposent, s'harmonisent. Dans chacune d'elles la musique sert de clé; clé de l'amour, du pouvoir, de souvenir, de découverte de soi.

Dans les années 1980, tous les étés, la scène se rejoue à l’aéroport de Moscou, escale obligatoire au retour des vacances en Géorgie : les douanières fouillent les valises, terrorisent les filles et menacent leur mère, Daredjane, de ne pas la laisser repartir à Paris, lui rappelant qu’ici, elle est toujours soviétique. Mais Daredjane tient à ce que Kessané et sa sœur gardent un lien avec leurs grands-parents et avec son pays natal, qu’elle a quitté pour s’installer en France. Son mari, Tamaz, finissait par les retrouver et la famille reprenait le cours limpide des jours, dans leur pavillon du Vésinet.

Bien longtemps après, Daredjane contemple tristement le portrait de Tamaz, mort depuis dix ans déjà. Elle se sent étrangère dans la belle maison de Kessané, devenue journaliste, à qui elle reproche sa dureté. La mort du père a fait voler en éclats l’harmonie passée, les sœurs, si proches, se sont éloignées l’une de l’autre.

Tout était si simple avant, et si romanesque : le coup de foudre de Tamaz pour Daredjane, venue se produire au Théâtre des Champs-Élysées avec le ballet de Géorgie ; la détermination de la belle danseuse à le rejoindre à Paris ; le premier flirt de Kessané, son aînée, avec ce jeune voisin d’Abkhasie…

Élucidant les raisons de ce désamour à la clarté des souvenirs heureux, la subtile romancière excelle à suggérer les failles, à scruter les dissonances et surtout les silences : si on ne parlait pas de politique, c’est pourtant sur fond d’exil et de guerre que s’est écrite l’histoire de cette famille apparemment si ordinaire. Comme autant d’ondes de choc, les drames de leur pays d’origine viennent se mêler au drame intime que vivent ces trois femmes désormais confrontées à leur solitude. Nous nous aimions est un très beau roman sur l’empreinte ineffaçable de l’enfance.

Le jour de ses sept ans, Papa Loup et Maman Loup annoncent à Lucas qu'il doit choisir son futur métier. Facile : plus tard, Lucas veut être loup. Comme son papa et comme sa maman. Sauf que c'est impossible, la forêt est devenue trop petite et il n'y a plus assez à manger. Lucas ne pourra pas être loup comme ses parents. Alors Papa Loup et Maman Loup lui offrent un baluchon. Le moment est venu de quitter ses parents. Lucas se met en route. Dans son baluchon, il emporte le vent qui ne parle qu'allemand.

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