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Tous les livres de Koffi Kwahulé

A 13 ans, Bintou affiche une haine farouche pour toute forme d'autorité. Fille d'une banlieue violente et métissée, elle rêve d'une carrière de danseuse du ventre et dirige une bande de garçons décidés à tout pour lui plaire. En l'absence de son père qui se terre dans sa chambre depuis qu'il a perdu son emploi, c'est l'oncle qui voudrait lui imposer sa loi... Mais Bintou n'est pas prête à se soumettre. Il faudra donc faire appel au couteau ancestral pour meurtrir les chairs et enchaîner les âmes.

"Comme il ne dit rien, comme il ne fait rien, comme il ne fait que danser, je lui demande comment il s'appelle. Comme ça. Pour dire quelque chose. Il me dit Djê, Djê Koadjo, mais les copains m'appellent Babyface. Je demande Quoi ? Il répète Babyface, avec la voix de l'enfant qui s'attend à une punition, et, pour la seconde fois, je craque, je fonds, je coule... Babyface ! On dirait la caresse d'une houppette dans le creux des cuisses. Babyface ! Comment peut-on ne pas aimer un mec qui s'appelle Babyface ? "

description de l'éditeur :

Quelque part en Afrique, un groupe de femme, les recluses, décide de se parler, première étape pour briser ensuite un silence imposé. Car elles ont en commun la blessure du viol de guerre. Par cette violence, tout s'est renversé : un voisin ou un juge sont devenus complices ou bourreaux ; certaines cachent ce qu'elles vivent comme une souillure à un futur mari ; d'autres travestissent la réalité pour contenir la folie d'un époux. Pourtant, c'est bien l'amour qui ouvre cette histoire. Et c'est encore un hymen célébré dans l'euphorie qui la clôt. Non que Koffi Kwahulé minimise la réalité qu'il montre à l'aide de témoignages. Mais il dégage ces situations dramatiques de tout pathos, s'autorise même l'humour. Il propose une pièce flamboyante,à l'écriture caressant une oralité indomptable, à l'image de ces femmes. Un texte dont on ne ressort pas indemme.

Pour célébrer avec éclat 25 années au service de la littérature dramatique, 25 auteurs de Théâtrales offrent ici une œuvre inédite. Venus d'horizons géographiques ou culturels différents, familiers de notre catalogue, ces écrivains racontent le monde, creusent le réel et participent à la vitalité du théâtre d'aujourd'hui. Pour chacun, ces pièces marquent une étape dans leur démarche d'écriture et confirment l'originalité et les qualités de leur langue. Usant du monologue ou du dialogue, du récit direct ou du flash-back, en passant par la satire, le loufoque, la mise en abyme ou l'absurde, ils proposent des pièces courtes originales. La diversité des formes s'accompagne aussi d'une variété des thèmes : la faim et la pauvreté ; la famille dévoyée ; les rapports Nord-Sud ; les questions politiques et de sociétés ; la guerre et ses traumatismes ; les deux extrémités de la vie, enfance et vieillesse ...

Voici donc 25 inédits, véritables petits bijoux de théâtre.

On y reconnaîtra tout à la fois la patte formelle de l'écriture de chaque auteur, son sens de la dramaturgie, l'exploration de ses thèmes récurrents. Tous les passionnés de théâtre et de littérature, lecteurs ou acteurs, pourront ainsi naviguer avec plaisirs entre les univers personnels de ces poètes.

Bon voyage !

Les pièces sont présentées selon l'ordre d'entrée de leur auteur au catalogue

Détail des textes :

La Situation actuelle, de Karl Valentin

C'est l'après-guerre en Allemagne : le temps des vaches maigres. Ou plutôt des joues creuses, le clown Valentin rit jaune de cette triste situation : un sommet de l'humour noir.

Louis, d'Yves Reynaud

Ou comment vivre dans ses souvenirs pour une vieille dame, peut se révéler dangereux face aux gens mal intentionnés, ou doux pour se rappeler cet amour de Louis...

Les Silences d'Eulalie, de Denise Bonal

Face aux vaines formules toutes faites, aux mots affadis que la société n'entend plus et aux déblatérations d'adultes peu inspirés, Eulalie, 16 ans, décide brusquement de faire silence.

J'ai faim, d'Yves Lebeau

On l'appelle l'Ombre. Si maigre que la lumière des néons lui transperce le ventre. Il rôde dans Paris la nuit. Il a vingt ans. Elle, sa copine, dix-huit ans, loue son corps pour payer la dose quotidienne de cette Ombre qu'elle aime. L'épicier baisse son rideau de fer à minuit. Il veille. L'Homme aime marcher la nuit. Il sera pris.

Elles sont parties, de Daniel Besnehard

Le désarroi de l'auteur après le départ de ses deux actrices favorites... et la rébellion du vieux brouillon de l'auteur récalcitrant !

Disparitions, de Philippe Minyana

La maison. La famille. Les amis. Les enfants. Les ancêtres. La vie qui passe : les joies, les drames, les frondaisons. L'écriture qui se tend. Et le temps qui s'écoule, qui disparaît...

Si d'aventure..., de Christian Rullier

Le départ d'un adolescent vers un internat mystérieux, un camp militaire ? Les adieux à la mère, aux potes, à cette giclée de vie minable... à moins que tout cela ne soit qu'un rêve...

Imbroglio, de Michel Azama

Un amant, peintre. Une femme éplorée. Tous deux se retrouvent dans l'appartement de leur amour commun, qui les a quittés...

De la pizza sauvage, de Françoise Pillet

Dialogue avec un singe et 24 personnages fictifs... Ou comment un camion de pizzaïolo peut devenir le centre de l'univers !

La Bonne Distance, de Noëlle Renaude

Cloches, S. D. F., crèves-la-dalle autant de noms d'oiseaux pour ces naufragés de la rue devant lesquels nous passons : voilà le regard d'une société gênée par la présence de ces êtres autour desquels s'insinue la bonne distance.

Anniversaire en Toscane, de Sergi Belbel

Projetant un voyage en Toscane pour fêter leur anniversaire de mariage, un couple évolue dans une chambre, une salle de bains, une morgue, un abri anti-bombardement...mettant au jour des peurs fantasmées et profondes : le changement, l'infidélité, la mort... Une intrusion forte , le téléphone portable, ponctue et alimente la dislocation de leur relation.

Les Pirates, de Gregory Motton

Se faire arraisonner par des pirates de pacotilles au bout d'une jetée lorsqu'on est capitaine d'un yacht de luxe... est-ce bien raisonnable pour un marin ?

Les Récifs, de Michel Marc Bouchard

Fin de l'après-midi. On entend les vagues, quelques mouettes et le vent. Rencontre. Un vieil homme raconte, un jeune homme le corrige. Un drame familial nous est conté, tout en retenue, sans jamais se faire juge.

Solitaires, de Xavier Durringer

Trois solitudes, trois misanthropies ou finalement trois humains en détresse ?

Les Créanciers, de Koffi Kwahulé

Rythmée et parabolique, cette pièce mène dans la moiteur de l'univers de la boxe et dans l'antichambre d'un eldorado qui se refuse à une Afrique dupe de ses multiples créanciers.

Rapt, de Jean-Pierre Cannet

Un journaliste, objet d'échange entre un pouvoir cynique et des activistes avides de passer un message : qui tire les ficelles ?

Quelque part au milieu de la nuit, de Daniel Keene

Une fille vient chercher sa mère pour un voyage qu'on imagine peu à peu sans retour, une tendre incursion dans ce drame d'une mémoire qui doucement s'efface, pour se figer quelque part au milieu de la nuit.

Le Tampon vert, d'Aziz Chouaki

C'est le jour de la mort du père. Anissa et Farida, tenantes d'une certaine tradition se heurtent à l'émancipation assumée de Zora. Obscurantisme contre désinvolture ? Tout n'est pas aussi simple, manichéen.

Il faut manger, d'Howard Barker

Duel psychologique autour d'une assiette de ragoût. Comme tous les jours, Charles demande à son Servant de goûter son repas : sur le bord, au centre, puis entre le centre et le bord de l'assiette. Persuadé qu'on cherche à l'empoisonner, il voit en Servant un ancien comédien et un conspirateur pervers.

Ouvre les yeux, de Bruno Castan

Pour voir son enfance en face, mieux vaut ouvrir les yeux...

Les Numéros, d'Hanokh Levin

Toutes les misères humaines, toutes les détresses, tout l'humour de Levin, dans une salle d'attente.

Ce matin, la neige, de Françoise Du Chaxel

Souvenirs de guerre, de résistance... et puis l'amour fou, fugace, ancré dans la mémoire...

Le Grillon, de Suzanne Lebeau

"Il court pour échapper à l'éternité

qu'il n'a pas sur retenir"

Dis-moi que tu m'aimes, de Sylvain Levey

"J'ai tout fait pour te plaire

Je le regrette.

J'ai pris ta main. J'ai osé"

Noires, de Roland Fichet

"L'animal qui toujours fonce vers la laideur, qui peut atteindre le plus haut degré dans la laideur a un nom : l'homme. L'animal qui barbouille le visage du monde de laideur a un nom : l'homme blanc."

On ne sait jamais trop, d’une année l’autre, quand défile le carnaval chinois dans le quartier de Saint-Ambroise, entre la place Léon-Blum et le boulevard Richard-Lenoir. C’est en tout cas l’hiver, un jour de janvier ou février. Et c’est là que tout advient.

C’est ce jour-là, au milieu des couleurs criardes, au son des gongs et des cymbales, que revient le funeste Guillaume-Alexandre Demontfaucon, alias Nosferatu, individu irréconciliable qui prêche même la nuit du haut de son balcon sa haine des Chinois, porté par le souffle de Nabucco à plein volume.

Un jour comme tous les autres pour Ézéchiel qui, depuis la mort de son père, écoute Back to Black en boucle entre les murs de sa chambre. Ézéchiel qui occupe les longues journées qu’il ne passe plus au lycée à « prier », comme il dit, sur fond de fantasmes flamboyants et débridés. Sa mère, femme ardente désormais absente à tous comme à elle-même, fait une fois de plus semblant d’aller travailler. Sora’shilé, la grande sœur qui maintient le lien comme elle peut, continue pour Ézéchiel le récit de sa vie perchée « dans une cabane dans les arbres ». Tandis que l’imprévisible Melsa Coën, « jolie liane noire souriante », s’empare peu à peu des rêveries d’Ézechiel.

Jusqu’au jour où Ézéchiel sort enfin de chez lui…

Dans ce roman qu’on croirait écrit dans l’énergie syncopée de l’improvisation, tout commence par le rythme, dans le grand balancement du désir et de la répulsion qui porte les personnages de cette nouvelle dramaturgie urbaine.

Toujours est-il que je ne me sens à l'aise qu'avec les Blancs racistes ; avec eux je suis confiant, je sais à quoi m'en tenir, je sais où je mets les pieds. Tout de suite je me dis : "Voilà un Blanc." En revanche, je me méfie de ceux qui ont un ami sénégalais ou camerounais, les Monsieur-moi-je-connais-bienles-Noirs, les Monsieur-moi-j'ai-passé-vingt-ans-en-Afrique, qui n'écoutent que Miles Davis ou Tiken Jah Fakoly, qui ne jurent que par la spontanéité et l'élégance naturelle des nègres ; ceux-là je m'en méfie. Ils me foutent mal à l'aise. Je ne mets pas en doute leur sincérité, mais ils me foutent mal à l'aise, c'est tout. " Voici un roman fou qui révèle, plus que les sages, notre monde, au premier, au deuxième, au trentième degré !... Cent histoires s'enchâssent, mille facettes composent ce roman-mosaïque qui se passe surtout entre Paris et un village africain où règne une désopilante folie. Roman-rhapsodie, Monsieur Ki chante et nous enchante pour caresser à rebrousse-poil notre temps...

Quelque part en Afrique, une guerre fratricide a détruit tout le pays. Les vainqueurs, deux clowns sanguinaires, ont réussi à prendre la brasserie qui a résisté au massacre. Cette source de revenus du nouveau pouvoir, plus avide de profit que de démocratie, dépend d'une européenne avec laquelle il faut composer...

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