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Tous les livres de Kun-woong Park

Dans une cellule, un prisonnier de guerre, Chae-ho, ne parle pas, même sous la torture. L'homme se rappelle son passé. Son enfance marquée par les épisodes sombres de l'occupation japonaise, puis son passage dans les camps de travaux forcés tenus par les Japonais en Mandchourie, où beaucoup mourront de faim et d'épuisement. Après la proclamation de la libération de la Corée, Chae-ho revient dans son village natal pour découvrir que la femme qu'il a toujours aimée, Dallay, est désormais avec son ancien ami (qui a collaboré sous l'occupation japonaise). Un soir, le chef du village est assassiné (complot politique du sud) sous les yeux de Chae-ho, que l'on accuse d'être l'auteur du crime. Pendant qu'il sera torturé, tous les habitants du village seront exécutés par l'armée sud-coréenne qui les soupçonne de servir de base aux communistes : c'est le début d'une guerre fratricide.

Partisans du Nord et troupes du Sud, vont se retrouver nez-à-nez : un grand-père (partisan) va apercevoir son petit-fils parmi les soldats sud-coréens. Puis Chae- Ho retrouve Dallay qui est devenue, elle-aussi, un soldat partisan. Avant de se séparer Chae-Ho lui offre son écharpe rouge. L'hiver est rude et les partisans, les uns après les autres finissent par mourir, tués, soit par les sud-coréens, soit par le froid qui les paralyse. Chae-Ho va trouver refuge dans une maison occupée par une grand-mère aveugle. Lorsque Chae-Ho remarque l'écharpe qu'elle porte autour du cou, la grand-mère lui confie qu'un soldat sud-coréen lui a donné après l'avoir récupéré sur un cadavre. Chae-Ho part à la recherche du corps de sa bien aimée, Dallay. Il décide d'enterrer son corps au point le plus haut possible dans la montagne pour qu'elle puisse apercevoir, selon son souhait, son village natal. Il est alors attaqué par l'armée sud-coréenne et fait prisonnier par son vieil “ami” Hyek-su. Fidèle à ses principes jusqu'au bout, Chae-Ho mourra en prison.

pas de quatrième de couverture mais un "avant premier de couverture"

le livre est constitué de livrets collés 611 pages et d'une couverture à deux rabats le rabat "de garde" contient (outre le descriptif du dessinateur et de l’auteur du roman ayant servit à l'ouvrage),le texte suivant:

25 juin 1950. Les troupes Nord -coréennes franchissent le 38e parallèle, la guerre est déclarée. C'est le début de la fuite vers le sud pour des millier de sud-coréens.Un mois plus tard, le 26 juillet, prés du hameau de No Gun Ri, un bataillon de la 1er division e cavalerie américaine prend position prés d'un pont ferroviaire avec pour mission de tenir l'emplacement pendant trois jours au moins. Des centaines de civils sud-coréens trouvent un abri sous les arches du pont, avant de poursuivre leur fuite éperdue.

C'est le début du cauchemar: pendant trois jours et trois nuits, les soldats américain ouvrent le feu à la mitrailleuse sur les réfugiés, faisant plusieurs centaines de victimes.

Journal de résistance et journal de naissance, "Le livre de Jessie" a été rédigé à quatre mains, par un jeune couple, durant l'occupation de la Corée par le Japon.

Au jour le jour, de 1939 à 1945, ils y ont consigné leur fuite en Chine et le quotidien de leur survie entre les frappes aériennes permanentes et les abris de fortune. Ils y ont surtout raconté leur bonheur total et pourtant si douloureux, d'accueillir une petite fille au beau milieu du chaos.

"Je suis à présent un grand frêne robuste. Mes racines ont conservé les vestiges de cette époque. Il semblerait que certains souvenirs résistent à l'épreuve du temps."

Adapté d'une nouvelle de l'écrivain coréen Choi Yong-tak, Mémoires d'un frêne dépeint un moment dramatique de l'histoire contemporaine de la Corée, connu comme "le massacre de la Ligue Bodo".

Au cours de l'été 1950, au début de la guerre de Corée, les autorités organisent la liquidation physique de dizaines de milliers de civils, opposants politiques déclarés ou simples sympathisants, par crainte de la contagion communiste. Ce massacre de masse, mis en oeuvre par l'armée et la police coréennnes, a fait entre 100 000 et 200 000 morts. Par la suite, il a été délibérément occulté par l'histoire officielle de la Corée du Sud.

Ce n'est qu'à partir de la fin des années 1990 que des charniers ont été retrouvés et que certains exécutants de la tuerie ont été amenés à témoigner.

Le 9 avril 1975, à l’aube, dix-huit heures après avoir été condamnés à mort, huit hommes sont exécutés dans la prison centrale de Séoul. Leur crime ? Être sympathisants communistes et avoir prétendument espionné pour le compte de la Corée du Nord, l’ennemi honni. Mais personne ou presque n’est dupe du simulacre de procès dont viennent d’être victimes ces huit innocents – professeur, journaliste, étudiant ou petit chef d’entreprise. Dans la Corée du Sud répressive et autoritaire du dictateur Park Chung-hee, alors que la contestation populaire gronde, ils ont été choisis au hasard, comme boucs émissaires, pour frapper les esprits. Faire peur.

En 2002, une commission d’enquête menée par le tribunal de Séoul a conclu que cette affaire avait, en réalité, été montée de toutes pièces par les services secrets coréens.

Près de cinquante ans après les faits, Park Kun-woong revient sur les rouages de cette condamnation arbitraire et rappelle ce qu’a été le sacrifice de ces huit hommes, en relatant par le menu l’itinéraire de chacun d’eux à travers le regard de leurs proches. Il poursuit ainsi son travail de longue haleine visant à exorciser les errements des gouvernements coréens depuis l’indépendance de 1945.

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