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Marie-Jean-Léon Le Coq, baron d'Hervey de Juchereau, marquis de Saint-Denys, né le 5 mai 1822 à Paris où il est mort le 2 novembre 1892, est un sinologue français, connu surtout pour ses recherches sur le sommeil et les rêves, et les rêves lucides en particulier.
Professeur de langue chinoise à l'École spéciale des langues orientales, il est nommé commissaire spécial pour l'Empire chinois à l'Exposition universelle de 1867, où sont présentés pour la première fois des pavillons nationaux et où l’espace réservé à la Chine suscite particulièrement la curiosité.
En 1874, il succède à Stanislas Julien à la chaire des langues et littératures chinoises et tartares mandchoues au Collège de France et il est élu membre de l'Académie des inscriptions et belles-lettres en 1878. Il fut le professeur de Paul Pelliot.
Dès l’âge de 14 ans, Hervey de Saint Denys avait tenu un journal de nuit dans lequel il notait ses rêves au réveil. Il pensait tout d’abord y trouver matière à faire des dessins originaux, puis il découvrit que les rêves constituaient un sujet intéressant à étudier pour eux-mêmes. En même temps qu'il notait ses observations, il lisait tous les ouvrages, tant anciens que modernes, qu’il pouvait trouver sur le sujet. En 1855, il songea à proposer un mémoire sur la théorie du sommeil et des rêves à l'Académie des inscriptions, mais finalement y renonça. Ce n’est qu’en 1867 qu’il fait paraître anonymement son ouvrage, Les Rêves et les moyens de les diriger. Sous-titré Observations pratiques, c’est un livre profondément original en ce sens qu'il est né sur ses propres observations sur les rêves, commencées dans l’adolescence et poursuivies pendant de nombreuses années.
Pour qui cherche à s'initier à la littérature chinoise dans sa forme poétique la plus pure, ce livre est tout simplement l'introduction idéale. Les traductions d'Hervey Saint-Denis sont d'une grande élégance et d'un instinct très sur.
Biographie
Marie-Jean-Léon Le Coq, baron d'Hervey de Juchereau, marquis de Saint-Denys, né le 5 mai 1822 à Paris où il est mort le 2 novembre 1892, est un sinologue français, connu surtout pour ses recherches sur le sommeil et les rêves, et les rêves lucides en particulier.
Professeur de langue chinoise à l'École spéciale des langues orientales, il est nommé commissaire spécial pour l'Empire chinois à l'Exposition universelle de 1867, où sont présentés pour la première fois des pavillons nationaux et où l’espace réservé à la Chine suscite particulièrement la curiosité.
En 1874, il succède à Stanislas Julien à la chaire des langues et littératures chinoises et tartares mandchoues au Collège de France et il est élu membre de l'Académie des inscriptions et belles-lettres en 1878. Il fut le professeur de Paul Pelliot.
Dès l’âge de 14 ans, Hervey de Saint Denys avait tenu un journal de nuit dans lequel il notait ses rêves au réveil. Il pensait tout d’abord y trouver matière à faire des dessins originaux, puis il découvrit que les rêves constituaient un sujet intéressant à étudier pour eux-mêmes. En même temps qu'il notait ses observations, il lisait tous les ouvrages, tant anciens que modernes, qu’il pouvait trouver sur le sujet. En 1855, il songea à proposer un mémoire sur la théorie du sommeil et des rêves à l'Académie des inscriptions, mais finalement y renonça. Ce n’est qu’en 1867 qu’il fait paraître anonymement son ouvrage, Les Rêves et les moyens de les diriger. Sous-titré Observations pratiques, c’est un livre profondément original en ce sens qu'il est né sur ses propres observations sur les rêves, commencées dans l’adolescence et poursuivies pendant de nombreuses années.
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