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Commentaires sur ses livres

Marien Defalvard

Par NilsWorld le 12 Mai 2012 Editer
NilsWorld
Que dire de ce roman sorti d'un autre temps ? Marien Defalvard a la clase ou ne l'a pas. Proust moderne ou écrivain sans avenir, les critiques se livrent une vraie bataille, hallebardes en avant.

"Ca commence par un enterrement, ça finit par un enterrement" : pas très joyeux tout ça. Cependant on retrouve cette ambiance assez proustienne en fait, les souvenirs mijotés dans la tristesse d'"un mois de Novembre qui ne finit pas".
A propos du livre :
Du temps qu'on existait
Du temps qu'on existait
Par Plassans le 12 Mai 2023 Editer
Plassans
Le succès médiatique de ce roman est en grande partie dû à son auteur, qui l'aurait écrit à quinze ans, à l'âge où d'autres maîtrisent à peine la syntaxe d'une phrase simple. Il est vrai que Defalvard semble avoir déjà tout assimilé de la littérature qui l'a précédé, avec un style aux accents proustiens, rousseauistes, mallarméens ou encore verlainiens. Au moins, on ne pourra pas lui reprocher d'avoir une écriture monotone et commune : chaque page est une flamboyante démonstration de virtuosité stylistique. Hélas, malgré son goût prononcé pour les énumérations, les allitérations, les rythmes ternaires, les termes rares et les descriptions lyriques des phénomènes météorologiques, malgré son talent indéniable et sans doute exceptionnel pour son jeune âge, Marien Defalvard signe ici un roman désespérément vain. A la différence du Proust de Combray, qui semble être son modèle plus ou moins avoué, Defalvard ne parvient pas à dépasser le stade du souvenir ou de l'état d'âme égotiste, son narrateur est au mieux agaçant, au pire soporifique, aigri et pédant. Pour tout dire, le moment le plus palpitant du roman est la description, sur cinq pages, d'une partie de Monopoly...Certes, ce roman est un bien bel objet littéraire, mais il est surtout terriblement prétentieux, suffisant et exaspérant, à l'image de son auteur, venu écumer les plateaux de télévision à l'automne 2011 comme pour se gargariser de sa supériorité sur le commun des mortels.
A propos du livre :
Du temps qu'on existait
Du temps qu'on existait
Par MasseJulietta le 22 Avril 2023 Editer
MasseJulietta
Une curiosité littéraire qu’on entame avec allégresse avant de s’enfoncer dans le gouffre sans fond des délires stylistes d’un auteur qui se prend au sérieux. Ecrit avec un dictionnaire des synonymes et le pari (tenu) de gagner le concours de la phrase la plus longue, Du temps qu’on existait ne s’embarrasse ni d’une intrigue, ni de susciter l’intérêt d’un lecteur anesthésié à force de descriptions à rallonge, de métaphores ésotériques, de digressions insupportables. Le style se veut flamboyant, proustien, il est juste alambiqué.
Et c’est ainsi tout au long des 359 pages. Une succession de phrases souvent incompréhensibles. Une lecture épuisante et vaine. A fuir !
A propos du livre :
Du temps qu'on existait
Du temps qu'on existait
Par Amelie95 le 3 Septembre 2013 Editer
Amelie95
que se passe-t-il dans ce roman? pas grand chose... point positif: le style de l'auteur est assez fluide!
A propos du livre :
Du temps qu'on existait
Du temps qu'on existait
Par martine7 le 24 Mars 2013 Editer
martine7
un livre très bien écrit, un vocabulaire dense et de très beaux paysages et portraits, avec parfois un humour incisif ! j'ai surtout apprécié les passages sur Brest et la description des Monts d'Arrets et le petit village de Bolazec. Cependant le mal être du personnage central est assez lourd à supporter...
A propos du livre :
Du temps qu'on existait
Du temps qu'on existait
Par oboys le 1 Décembre 2012 Editer
oboys
Prix de Flore. Prix du premier roman. Peut-être. Mais qu'est-ce qu'il se passe dans ce roman ? C'est à peu près aussi vivant que dans "A la recherche du temps perdu". ça pourrait être un compliment. Mais je pense que le style d'écriture a évolué depuis un siècle. Bref ce n'est pas mon style.
A propos du livre :
Du temps qu'on existait
Du temps qu'on existait

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