Livres - Bibliographie

Angleterre, 1844

De retour de londres après sa première Saison, Lady Lucinda Luffen ham pressent que sa vie va bientot changer. Certes, nul n'a encore demandé sa main, mais, à Londres, elle a souvent dansé avec le vicompte Edward Gorridge, dont la résidence champêtre jouxte celle des Luffenham, et tout laisse a penser que, selon les voeu de leurs parents, il se déclare bientot... Mais un jour, d'une promenade a cheval, Lucinda rencontre un séduisant inconnu. Entre eux, d'emblée, le désir flambe. Mais, d'emblé aussi Lucinda sait qu ecet homme-là n'appartient pas au même monde qu'elle, et que, dans l'austère société victorienne, elle ne pourra jamais l'aimer sans exposer sa famille a un énorme scandal...

Angleterre, Régence. Elizabeth Harley est furieuse quand elle apprend que son ami d'enfance, dont elle est éprise, est envoyé à l'autre bout du monde par ses parents qui désapprouvent leur relation. Habillée en garçon, elle tente de le rejoindre pour lui dire adieu et s'aventure sur les quais mal famés du port de Londres. En fâcheuse situation, elle est secourue par un inconnu, Andrew Melhurst, qui, découvrant le pot aux roses, la ramène d'autorité chez elle et demande sa main pour, affirme-t-il, prévenir d'éventuels ragots ". Elizabeth, qui n'a aucune envie de convoler, se rebelle au grand soulagement de sa sœur Olivia, qui, au premier regard, est tombée follement amoureuse d'Andrew...

Angleterre, 1817

Lady Charlotte, une jeune veuve impécunieuse, est complètement désemparée quand son beau-père, qui l'hébergeait avec ses deux fillettes, vient à décéder. Car non seulement Cecil, l'héritier en titre, n'a que faire de son sort, mais il s'entoure d'amis aussi débauchés que lui qu'il loge au château. Parmi eux se trouve le vicomte Stacey Darton, un cousin de Cecil, dont le charme dévastateur et l'esprit brillant inspirent aussitôt à lady Charlotte une méfiance instinctive doublée d'une déraisonnable attirance...

Angleterre, 1837.

Pour subvenir aux besoins de son père malade, Diana Bywater trouve un emploi chez Harecroft, une entreprise familiale prospère qui vend des soieries et des parfums importés d’Inde. Bientôt, elle est courtisée par Stephen, le fils héritier, qui ne tarde pas à se déclarer. Afin de procéder aux présentations officielles, il invite Diana dans sa famille, où la jeune femme rencontre Richard, le frère de Stephen, un homme séduisant et secret, ainsi que lady Caroline, l’excentrique aïeule de la dynastie Harecroft. D’emblée, celle-ci trouve le visage de Diana étrangement familier.

New York et San Francisco, 1876. Quelle folie d'avoir voulu secourir cet inconnu ! Amber ne peut croire à sa malchance : elle qui espérait vivre l'aventure à bord du Young America, la voilà confinée, en quarantaine, dans la cabine de celui qu'elle a sauvé ! Pis encore, on l'a désignée malgré elle pour prendre soin de cet étranger. Un étranger dont la proximité, elle doit bien l'admettre, éveille en elle d'embarrassants émois, tant il est viril et magnifique. Pourtant, et malgré son trouble, elle s'efforce de jouer son rôle sans ciller. Jusqu'à cette nuit où, en proie à une terrible fièvre, l'inconnu la réveille d'un baiser brûlant. Emportée par son désir, Amber s'abandonne. Sans imaginer un seul instant que cet homme n'est pas un passager ordinaire... Résumé de Le trésor du Nabab : Chaque fois qu'Emma croise lord Dominique Besthorpe, son coeur se met à battre la chamade et ses yeux s'emplissent de larmes. Car Dominique, promis à une autre, n'est pas près de lui rendre son amour. Pis : il ne manquera pas de lui retirer aussi son amitié quand il saura qu'elle lui a menti !

Un fiancé peut en cacher un autre.

Angleterre, XIXe siècle

Jane a bien du mal à contenir sa colère. Le domaine de sa famille est menacé parce que son irresponsable de frère a perdu au jeu… et c’est elle qu’il vient trouver pour éponger ses dettes ! Et parce qu’elle a renoncé à se marier elle devrait lui sacrifier sa dot, une somme qu’elle destinait à un projet d’orphelinat ? Non, cette fois, Jane refuse d’être la sœur serviable et dévouée dont tous ont l’image. Elle compte bien remuer ciel et terre pour mener à bien son projet, même si le seul qui semble la comprendre est Mark Myndham. Un homme droit, intègre, pour qui elle nourrit la plus grande estime… mais aussi un sentiment plus trouble, qu’elle s’efforce de réprimer. Car, si ses conseils lui sont précieux, elle n’oublie pas que Mark est avant tout le fiancé de sa sœur…

** La soeur du vicaire - Judith Stafford **

— Ainsi, mon cher Daniel, vous désirez marier votre soeur et me demander de jouer les entremetteurs ? J'avoue que, de la part d'un prêtre, pareille initiative me surprend !

Amusé, le comte sourit à son interlocuteur. Ayant fait leurs humanités ensemble, tous deux se connaissaient et s'appréciaient depuis dix ans.

— Ma démarche n'est pas banale, j'en conviens, admit le jeune vicaire. Mais comme vous en jugerez bientôt, ajouta-t-il avec une moue éloquente, Séréna ne l'est pas non plus !

Titre original : Cupid and the Vicar

Description en VO :

She vowed never to marry, and he vowed never to marry her!

Serena Fenton was anything but serene, though she was eager to leave the London Marriage Mart for a quiet life in the country with her brother, the vicar. But the vicar longed to see her settled with his dear friend Marcus Browne, Earl of Granville. If any man could handle his headstrong but beautiful sister, Marcus could.

The vicar had not foreseen that Serena would be quite so bad or Marcus quite so good. The match seemed so utterly hopeless that there was only one thing left to do. Was it permissible for a vicar to play Cupid?

** Les mariés de Pluviôse - Marie Nichols **

Afin d'échapper à un mariage de raison, Kitty, une jeune aristocrate anglaise, s'enfuit de chez elle et embarque sur un navire en partance pour la France. Hélas, à bord, un mystérieux passager lui apprend que les révolutionnaires français viennent d'envoyer le roi à la guillotine et que Paris est à feu et à sang. Sans papiers ni domicile, Kitty éperdue n'a d'autre choix que d'agréer l'étrange proposition de l'inconnu : se faire passer pour sa femme...

La vengeance n'a qu'un prix : l'amour

L’année de ses seize ans, Sarah Jane est embauchée comme femme de chambre chez les Chevington. Jusqu’alors, elle n’avait connu que la ferme puis l’orphelinat.

Au château, Sarah Jane découvre le luxe : un monde qu’elle n’imaginait même pas. Elle se met à lire et rêver d’une autre vie. Pourtant, lorsqu’elle tombe amoureuse d’un mystérieux gentleman, qu’elle baptise du nom de Paris, cette liaison qui pourrait être le début d’une merveilleuse aventure ne fait que souligner l‘abîme social qui la sépare de son amant.

Enceinte, Sarah Jane est chassée du manoir. Sa seule richesse : le bijou ancien que lui a donné Paris. Sa seule arme : la volonté farouche de prendre sa revanche.

** Aux jardins de Miramar – Mary Nichols **

Une intense activité règne dans le port de Veracruz, écrasé de chaleur. Fascinée, Stella contemple les allées et venues de la foule. Soudain, elle aperçoit un visage familier et se raidit. Est-ce un mirage ? Non, l’homme qu’elle voit est bien Adrien Manfred celui qui l’a autrefois odieusement trahie et abandonnée…

** Le mercenaire du diable – Anne Herries **

Le mercenaire du diable… Comme ce surnom va bien au capitaine Felipe Domingo ! Un homme sans foi ni loi que Venetia redoute et méprise à la fois.

Que va-t-il se passer durant leur voyage jusqu’à Corfou ? Venetia ignore encore que le capitaine a décidé de la séduire… par jeu.

Les couleurs de l'amour (Emma and the earl) Paula Marshall

- Ma fille est un bon petit diable, dit le duc en souriant, et jusqu’à ce jour, aucune gouvernante ne lui a résisté ! Mais je compte sur vous pour relever le défi avec succès, miss Lawrence. Déconcertée, Emilia se troubla. Rien dans l’attitude de Dominic, dans ses propos formels, n’indiquait qu’il l’ait reconnue. Jadis, pourtant, tous deux avaient été fiancés ! Certes, en dix ans, elle avait bien changé. Mais était-il possible que ce fût à ce point ?

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Le rubis porte-bonheur (The ruby pendant) Mary Nichols

- Qu’on ôte de ma vue cet affreux tableau ! ordonna lady Martingale. Oh, ma fille, comment as-tu pu te laisser ainsi ridiculiser ? Ce costume, ces bijoux… quelle horreur ! Juliette la considéra avec surprise. La vicomtesse, d’ordinaire si calme, était livide. Et tout cela à cause d’un portrait qui la figurait en aristocrate française, parée d’un pendentif en rubis ! Assurément, le peintre avait seulement voulu s’amuser. Pourtant, songea Juliette avec inquiétude, une simple plaisanterie, même de mauvais goût, n’aurait pas autant bouleversé sa mère…