Toutes les séries de Michel Viau
Saviez-vous que Benjamin Franklin est à l’origine de la première imprimerie francophone d’Amérique du Nord ?
La bande dessinée québécoise, souvent désignée par le sigle BDQ, est pleine de surprises. Apparue dans les journaux satiriques du XIXe siècle, son histoire est riche et singulière : des revues religieuses de la Grande Noirceur aux expérimentations psychédéliques des années 1970, c’est tout le Québec moderne qui transparaît en filigrane.
BDQ est plus qu’un simple essai sur la bande dessinée : Michel Viau est une éminence grise de la BD et nous raconte ici la grande Histoire du Québec en mots et en dessins, avec pour résultat un ouvrage de recherche précis et fascinant, regorgeant d’anecdotes et d’images d’archives.
Elle, c'est MacGuffin. Rien que MacGuffin. Lui, c'est Alan Smithee, mais ce n'est pas son vral nom. Ensemble, ils forment un duo détonnant d'agents très spéciaux œuvrant au sein de la S6 (Section Spéciale de Sécurité et des Services Secrets Supranationaux), une organisation secrète qui veille au maintien de l'équilibre mondial.
L'été 1967 s'annonce radleux.
Montréal est l'hôte de l'Exposition universelle.
Solxante-deux pays participent à cette grande manifestation fraternelle.
Mais une sinistre menace plane sur la fête. Parmi les 50 millions de visiteurs qui sillonneront Expo 67 au cours de l'été, MacGuffin et Alan Smithee doivent retrouver un homme porteur d'un terrible secret et empêcher que le monde ne sombre dans un chaos nucléaire.
Tous les livres de Michel Viau
Le 7 janvier 1922, des employés de la mairie de Montréal découvrent le corps de Raoul Delorme, tué de six balles dans la tête. Les soupçons se portent sur son frère aîné, Adélard, déshérité par son père, mais aussi gestionnaire de la fortune de son frère et prêtre catholique. Le policier Georges Farah-Lajoie mène l'enquête tout en affrontant la puissance du clergé catholique.
Si vous avez connu Croc, alors vous dévorerez Les Années Croc. Cette anthologie vous fera redécouvrir les moments les plus savoureusement délirants d’un magazine mordant. Il vous permettra aussi de jeter un œil sur les dessous de Croc, révélés par ceux qui, sous la houlette de Jacques Hurtubise, Hélène Fleury et Pierre Huet, en ont cousu les pages avec leurs mille facéties. C’est que Croc a rassemblé de nombreux humoristes, dessinateurs et autres créateurs qui ont marqué le paysage culturel québécois, notamment Claude Meunier, Roch Côté, Michel Rivard, Jacques Grisé, Serge Grenier, Yves Taschereau, Jean-Pierre Plante, Sylvie Desrosiers, Stéphane Laporte, Guy A. Lepage, Pierre Lebeau, Daniel Langlois, François Parenteau, Gité, Serge Gaboury, Réal Godbout, Pierre Fournier, Garnotte, Bado, Jacques Goldstyn et Jean-Paul Eid.
Si vous n’avez pas connu Croc, alors vous plongerez avec délectation dans une époque où l’on n’avait pas peur de provoquer et de rire, même quand c’était loin d’être drôle ! En parcourant ces pages, c’est tout un pan de l’histoire du Québec que vous revivrez à travers le regard corrosif que le magazine portait sur l’actualité.
Les Années Croc vous invite en plus à découvrir les planches sur lesquelles les héros québécois les plus emblématiques, comme Red Ketchup, Jérôme Bigras, Les Jean-Guy et Les Ravibreur, ont esquissé leurs premiers pas.
Les Années Croc retrace une épopée, celle du magazine qu’on riait.
« Ce bouquin est un piège. Impossible de ne pas y mettre l’orteil sans finalement y plonger et s’y noyer. Comme à la publication de chaque numéro du défunt magazine Croc, on y furète, on y farfouille, on y vadrouille. […] Et en prime, on sera victime de ce curieux paradoxe : se sentir gavé et en vouloir encore. »
Louise Richer, Directrice de l’École nationale de l’humour
21 meurtres et 3 évasions spectaculaires...
Montréal est la deuxième ville la plus violente en Amérique du Nord, derrière New York, quand Richard Blass, âgé de 23 ans à peine, se retrouve à la tête d’une bande criminelle. Jeune et rebelle, il s’oppose au pouvoir détenu par la mafia italienne dans le centre de la ville de Montréal. Son gang, essentiellement composé de francophones, empiète de plus en plus sur le territoire de la Mafia, ce qui déclenche des conflits dangereux et irréversibles...
(Source : Éditions Glénat)
Le 28 juillet 1920, le corps de Blanche Garneau, jeune femme issue d’un milieu modeste, est découvert dans les taillis qui longent la rivière Saint-Charles, à Québec. L’enquête piétine. À cause des errements de la police, ce qui n’était qu’un fait divers va devenir un violent débat de société.
Des journalistes en mal d’attention, des militants prohibitionnistes et des adversaires politiques vont tour à tour utiliser l’assassinat de cette femme pour tenter de faire tomber le gouvernement de Louis-Alexandre Taschereau, jusqu’à en oublier la question principale : qui a tué Blanche Garneau ?