Commentaires sur ses livres

Fin de la seconde guerre, l’Allemagne est l’allié du Japon.
Ludwig quitte l’Allemagne pour le Japon, il est traducteur interprète. Sa vie conjugale est un fiasco, il rêve d’une vie meilleure loin des horreurs de la guerre, son statut lui permet en parti d’éviter les combats.
Au Japon, les tensions règnent sous les bombardements américains, il retrouve son ami d’enfance, des souvenirs remontent et se dévoilent.
 
Entre temps, il se lie avec une jeune japonaise, des liens forts se tissent. Et tout bascule dans l’impensable. La situation en Allemagne est tendue, elle capitule sous la pression des opposants, et sa situation au Japon tourne au vinaigre.
 
Alors comment dire, les dessins de Cinna sont plutôt intéressants, pas tous exceptionnels mais ils mettent bien en avant les différentes situations vécues par Ludwig.
Avec un petit côté érotique pas trop prononcé et juste ce qu’il faut.
 
Contrairement au script moins net, plus flou à comprendre, J’ai eu du mal avec les transitions, à commencer par la scène de départ où Ludwig est dans la voiture et la fameuse femme en rouge. Ensuite, ses traductions où il se rend compte des atrocités perpétrer par son pays, comme si depuis le début sa naïveté est décalée. De toute façon, je ne comprends pas trop le but de ses traductions en japonais. Puis vient son flirt, et tout s’enchaine rapidement jusqu’au moment de la déflagration finale.
 
Le côté sentimental est noyé dans la guerre atroce et le nazisme. La fin surréaliste est bien pensée mais je ne capte pas au premier abord la signification du Hibakusha. C’est seulement en lisant l’explication finale de Thilde Barboni que tout s’imbrique.
 

J’étais bien parti, c’était exotique, mystérieux, prometteur…
Et puis j’avoue, je ne suis pas fan d’Histoire et encore moins à ce qui touche à la seconde guerre.
Du coup, quand cette curieuse rencontre a plus basculé dans les évènements guerriers et mondiaux, j’ai un petit peu décroché.
Narration et dessins ont beau être bien fait, je me suis détaché de l’histoire…

Belle harmonie du texte et des dessins. Une judicieuse utilisation des couleurs pour illustrer magnifiquement le destin d’un homme qui,

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tardivement, s’humanise et s’ouvre à l’amour. Les auteurs réussissent à introduire un souffle d’irréel et à conférer une intemporalité à un récit ancré dans une des pages les plus sombres de l’histoire de l’humanité.

Hibakusha est une bande-dessinée qui m’intéressait de prime abord par sa couverture (qui est juste sublime), mais également pour son résumé en raison du contexte de Seconde Guerre Mondiale du côté Japonais. Etant donné que l’histoire prend place dans un contexte particulier, elle aborde plusieurs thèmes forts, tels que la guerre, le génocide, l’amour. Le lecteur fait la connaissance du personnage principal, Ludwig Mueller, qui exerce en tant que traducteur-interprète allemand. Ce dernier va devoir quitter sa famille en Europe pour se rendre au Japon dans le cadre d’une mission. Ce qu’il va apprendre sur place va bouleverser ses convictions, mais c’est surtout sa rencontre avec une femme japonaise qui va l’amener à reconsidérer certaines choses. L’histoire se déroule pendant l’année 1945 qui marque la fin de la guerre et tout ce qui en résulte, notamment Hiroshima. Il s’agit de l’événement autour de laquelle s’articule la bande-dessinée, ce dont j’ai réellement pris conscience à la toute fin.

Je dois reconnaître que j’ai été assez insensible à l’histoire, mais surtout des personnages auxquels je ne suis pas parvenue à m’identifier ni à réellement m’y intéresser. Cependant, les dernières planches ont réussi à me nouer la gorge et à m'époustoufler. La fin se révèle marquante et scelle cette histoire dans une tonalité douce-amère. Le récit a beau traiter de sujets difficiles, l’atmosphère de cette BD est toute en délicatesse, ce qui se remarque essentiellement à travers les couleurs choisies. Néanmoins, j’ai terminé cette bande-dessinée avec un avis en demi-teinte, en raison de mon désintérêt pendant une bonne partie de l’histoire que la fin n’a pas réussi à me faire oublier.

Très belle bande dessinée, aussi bien graphiquement que pour son histoire narrant avec poésie la dureté d'Hiroshima pour aller jusqu'à l'adoucir.

Une superbe bande dessinée aux couleurs harmonieuses.Malgré la noirceur de l'histoire(seconde guerre mondiale, Hiroshima), son atmosphère est très zen....sensuel.

Une très belle histoire, dans laquelle on retrouve de nombreux thèmes : l'amour, la guerre, les hommes en otages de ces guerres, le génocide, le destin.

Un traducteur allemand se retrouve presque par hasard à Hiroshima. Il doit abandonner sa famille en Europe, alors que la seconde guerre mondiale tire à sa fin. Il retrouve son ami d'enfance qui l'a blessé grièvement, ce qui lui valu d'être reformé.....le destin !
Et surtout, il rencontre une femme, peu avant la capitulation du Japon.....

C'est beau, c'est triste, et cela pose beaucoup de questions....