Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre
navigation
sur
notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces
outils,
nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des
publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et
l'art.
Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans
ces
domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des
offres
pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien
vouloir
désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à
vous
fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et
tendances de
la
littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités
et
cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre
option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée,
sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement,
cliquez ici.
Piero Chiara (1913-1986) est l’un des très grands écrivains de l’Italie d’après guerre. C’est d’abord un conteur qui raconte sa propre vie : autodidacte, il fait tous les métiers, circule entre l’Italie et la France ; mal vu par le fascisme, il est contraint pendant la guerre à se réfugier en Suisse. Homme de loi mineur comme le héros du Préteur de Cuvio, il prend sa retraite le plus tôt possible pour se consacrer au roman. Son premier livre, Il piatto piange, publié en 1962 grâce à son mi Vittorio Sereni, connaît un grand succès, comme les suivants : La spartizione, Il balordo, La stanza del vescovo, etc, qui tirent à des centaines de milliers d’exemplaires. Ces livres restituent la vie des pays limitrophes du Lac majeur entre les deux guerres ; l’écriture y est déliée, pleine d’humour et d’imagination, fertile en péripéties boccaciennes. On en fait des films, et lui-même est un éditorialiste connu au Corriere della sera. Ces succès le desservent aux yeux des doctes ; c’est pourtant lui-même un écrivain savant, spécialiste incontesté de Casanova qu’il traduit en Italien, du XVIIIe siècle en général, mais aussi de Pétrone, de Boccace, de Gongora ; un critique d’art et un poète important. Mondadori, en 2007, publiera tous ses romans dans un premier volume des Meridiani (plus de 1 500 pages), en attendant un second volume de récits.
Le préteur de Cuvio est un roman rapide, à la limite de l’épure, dont la constante drôlerie ne voile pas la profondeur
Biographie
Piero Chiara (1913-1986) est l’un des très grands écrivains de l’Italie d’après guerre. C’est d’abord un conteur qui raconte sa propre vie : autodidacte, il fait tous les métiers, circule entre l’Italie et la France ; mal vu par le fascisme, il est contraint pendant la guerre à se réfugier en Suisse. Homme de loi mineur comme le héros du Préteur de Cuvio, il prend sa retraite le plus tôt possible pour se consacrer au roman. Son premier livre, Il piatto piange, publié en 1962 grâce à son mi Vittorio Sereni, connaît un grand succès, comme les suivants : La spartizione, Il balordo, La stanza del vescovo, etc, qui tirent à des centaines de milliers d’exemplaires. Ces livres restituent la vie des pays limitrophes du Lac majeur entre les deux guerres ; l’écriture y est déliée, pleine d’humour et d’imagination, fertile en péripéties boccaciennes. On en fait des films, et lui-même est un éditorialiste connu au Corriere della sera. Ces succès le desservent aux yeux des doctes ; c’est pourtant lui-même un écrivain savant, spécialiste incontesté de Casanova qu’il traduit en Italien, du XVIIIe siècle en général, mais aussi de Pétrone, de Boccace, de Gongora ; un critique d’art et un poète important. Mondadori, en 2007, publiera tous ses romans dans un premier volume des Meridiani (plus de 1 500 pages), en attendant un second volume de récits.
Le préteur de Cuvio est un roman rapide, à la limite de l’épure, dont la constante drôlerie ne voile pas la profondeur
Afficher en entier