Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
717 447
Membres
1 025 942

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Tous les livres de Pierre Cabanne

Pierre Cabanne a recueilli en 1966 les souvenirs et les confidences du grand perturbateur de l'art du XXe siècle, alors âgé de presque quatre-vingts ans. En annexe une liste des principales oeuvres, une filmographie, une liste des expositions, interviews et entretiens auxquels Marcel Duchamp a participé.

Tome 1 d'une série de quatre ouvrages sur l'oeuvre de Picasso.

Dans une chambre de Carcassonne aux fenêtres closes dont les murs étaient recouverts de tableaux surréalistes de Max Ernst, Dali, Magritte, Masson ou Dubuffet, Fautrier, Klee, vivait couché depuis une terrible blessure de guerre, le 27 mai 1918, le poète Joë Bousquet. Il y demeura près de trente ans, jusqu’à sa mort, le 28 septembre 1950. Son impressionnante collection, sans cesse enrichie, enchanta ses rêves et ses jours consacrés à l’écriture et à l’amour. Évoquer cette collection, aujourd’hui dispersée, mais dont les photos des oeuvres majeures sont réunies dans ce livre, c’est écrire l’histoire de leurs découvertes à travers l’amitié et la complicité des peintres. Certains vinrent le voir, ainsi Dali, précédé par sa femme Gala alors épouse d’Eluard, Malkine, Max Ernst l’ami le plus proche dont Bousquet eut vingt-huit magnifiques tableaux, Yves Tanguy l’autre grand favori, Magritte venu de Belgique, Bellmer d’Allemagne avec sa bouleversante “Poupée”, Miro, Arp, Chirico, mais aussi Fautrier, Michaux. Dubuffet qui rend visite au poète en 1945 exécutera trois portraits de lui et l’initiera à l’art brut. Grâce à Jean Paulhan, son ami, conseiller et éditeur, avec qui il échangea près de cinq mille lettres, Bousquet découvrit peu avant sa mort Victor Brauner et Wols.

Témoignage incisif sur vingt années de politique culturelle sous de Gaulle, Pompidou et Giscard. de Malraux à Jean-Philippe Lecat. Des maisons de la Culture au Centre Pompidou en passant par le scandale du Trianon.

Il y a un cas Derain.Ses contemporains, Picasso, Braque, Matisse, Chagall, Léger n'ont connu aucune éclipse. Mais Derain, on ne lui a pas seulement tenu rigueur d'avoir, sous l'Occupation, participé au voyage des artistes dans l'Allemagne nazie : son évolution de peintre, sa conception ou ses écrits sur l'art furent au centre de débats animés.Prenant prétexte d'une grande rétrospective qui sera une découverte pour beaucoup, Pierre Cabanne entreprend de comprendre pourquoi adhésion comme rejet furent à ce point mesurés à Derain. Est-il plus heureux et plus novateur dans ses toiles fauves ? Plus intelligent et plus lucide dans ses nus ou ses paysages classiques ? Plus souple et plus sensuel dans ses crayons ou ses nus à la sanguine ? Plus coloriste et raffiné dans ses décors et costumes de ballets ? Plus sensible dans ses portraits anguleux ou opulents.C'est que chez Derain aucune période, aucun style, aucune technique ne domine, aucun courant ne vient en profondeur irriguer telle ou telle partie de son œuvre. À travers ses différentes époques, celle-ci garde sa tenue : un peu extérieure parfois, distante du sujet, mais toujours singulière et ne se référant qu'à la seule peinture.

En 1907, Picasso peint Les Demoiselles d'Avignon. Un an plus tard, le Cubisme est né, avec pour chefs de file Georges Braque et Pablo Picasso. Commence alors une aventure qui va révolutionner l'art du XXe siècle par son audace et sa richesse créatrice. Une infinité de talents se regroupent autour du tandem fondateur Braque/Picasso : d'abord Fernand léger, Juan Gris, puis Delaunay, Villon, Marcoussis, Marie Laurencin, Lhote, La Fresnaye, Gleizes, Metzinger, Picabia, et les sculpteurs Brancusi, Archipenko, Lipchitz, Henri Laurens. Soutenue par le marchand d'art Kahnweiler, encensée par les poètes Apollinaire, Roger Allard, Max Jacob, Salmon, Reverdy, cette avant-garde qui, au début, scandalise son époque, parvient pourtant à s'imposer et se voit reconnue comme un des mouvements les plus importants de l'histoire de l'art.

Une vision synthétique d'une oeuvre qu'Umberto Eco considère comme l'une des plus significatives de notre époque.

Guide des Musées de France

Recense 1700 Musées et décrit leur contenu

Artistique

-les commentaires d'un critique d'art permettent d'apprécier le patrimoine muséologique français

-des étoiles indiquent l'intérêt artistique des musées et des œuvres

-plus de 60 articles de spécialistes font découvrir la vie et l'organisation des musées

Touristique

7 cartes et un classement géographique général invitent à voyager dans la France des musées

Pratique

-l'adresse, le numéro de téléphone, les dates et heures d'ouverture de chaque musée facilitent la visite

Thématique

-Outre l'index général des artistes et hommes célèbres et celui des villes à musées, deux annexes répondent aux questions :

Où peut-on voir l'oeuvre de... Braque ? Chagall ? Hartung ?

Où peut-on voir les collections de ... Dentelle ? Armes ? Photographies ? Instruments de musique ? ....

This definitive book presents Daumier's drawings, paintings, sculptures and lithographs, along with an insightful text by the distinguished French art historian Pierre Cabanne.

Le dictionnaire des arts" de Pierre Cabanne est le premier à paraître à l'aube du troisième millénaire. Il se veut donc le plus complet en ce qui concerne l'art du vingtième siècle, sans pour autant négliger le passé.--------------------------L'auteur a également choisi de présenter dans cet abécédaire tous les acteurs de l'art: artistes , mouvements, mais aussi ses lieux, principaux historiens d'art, critiques et grands collectionneurs. Une somme de plusieurs milliers de notices permet au lecteur, qu'il soit professionnel ou simple amateur, de trouver rapidement les principales informations, qu'il s'agisse d'art summérien ou d'art conceptuel. De plus, une utile bibliographie, présentée en fin de notice, guidera les recherches du passionné.Résolument informatif mais néamoins agrémenté de soixante-quatre pages couleur, le DICTIONNAIRE DES ARTS de Pierre Cabanne saura vite trouver sa place dans toute bibliothèque.

Pierre Cabanne est un ami de longue date de Chu Teh-Chun dont il suit l'oeuvre depuis son arrivée à Paris. Son texte nous permet d'entrer dans cette oeuvre qui se situe aux confins des cultures occidentale et orientale.

La seconde moitié du XVIIIe siècle voit naître les lieux de rencontre entre écrivains et artistes, qui sont à l'origine d'une littérature de commentaire sur les oeuvres exposées. L'histoire des rapports, bons ou mauvais, entre la littérature et les arts, ainsi que les influences, les correspondances ou les résonances réciproques des oeuvres littéraires, picturales, ou plastiques.

Si Picasso et Matisse sont en tout opposés, ils ne cessèrent jamais, dès leur première rencontre en 1905, d'avoir l'un pour l'autre des sentiments mêlés de crainte et de curiosité souvent admirative. Aucun des deux n'a jamais évoqué, sauf en de très rares occasions et en peu de mots l'attention qu'il portait à l'autre ; leurs ouvres parlent, elles sont les témoignages, particulièrement dans les années cubistes 1907-1914, de ce qui les rapprocha, les enrichit ou les opposa.

Pierre Cabanne analyse dans cet ouvrage l'étrange relation entre deux figures dominantes de l'art du XXe siècle : Matisse et Picasso. Une relation entre attirance et rejet dont ne peut être exclue la famille Stein (Léo, Michael et Gertrude ont à tour de rôle et de façon très personnelle organisé leurs rencontres, orienté leurs rapports...) Le coeur de cette relation se situe dans les années 19071914 au cours desquelles Matisse pousse ses recherches sur le chemin d'un « cubisme instinctif » (selon Apollinaire).

La rencontre entre Picasso et Matisse a marqué l'histoire de la peinture. Leurs rapports oscillent entre amitié et compétition et trouvent leur pleine expression dans l'exposition Matisse-Picasso de 1918. « Ce n'était pas la réconciliation de deux rivaux mais le rapprochement de la révolution de la forme et de celle de la couleur » écrit Pierre Cabanne.

Matisse aurait confié à Max Jacob : « Si je ne faisais pas ce que je fais je voudrais peindre comme Picasso... », « Tiens, répond le poète, comme c'est curieux ! Savez-vous que Picasso m'a fait 1a même réponse en ce qui vous concerne... »

La première décennie du XXème siècle a vu s'achever un monde, celui des grands collectionneurs capables d'amasser des trésors, pour le seul plaisir de la convoitise et de la possession, dans d'immenses hôtels aux dimensions palatiales. Si l'on excepte les deux fabuleux collectionneurs moscovites Stchoukine et Morosov, et dans de moindres proportions, Thyssen, le Dr Barnes, J. Paul Getty, Peter Ludwig ou Panza di Biumo, on ne collectionnera plus jamais comme le firent, avec une insatiable boulimie, Catherine II, le cardinal Fesch, les Hartford-Wallace ou les Jacquemart-André. Mais le collectionnisme demeurera, au moins jusqu'à la Première Guerre mondiale, l'apanage d'une classe sociale à gros revenus, un moyen pour certains de se hisser au niveau envié de connaisseur, parfois en se démarquant de ses origines, ambitionnant d'intervenir dans le marché. Concurrencé par le collectionneur-marchand dont l'exemple le plus brillant fut, dans les années 30, le fameux Paul Guillaume. Le collectionneur montre aujourd'hui les oeuvres que jadis il tenait cachées, mais reste discret. Industriel, homme d'affaires, producteur de films, couturier, avocat, promoteur, il minimise le rôle de l'argent. Certes les menaces existent : celles du contrôle fiscal et celles des voleurs. Le collectionneur est un homme connu, repéré, engagé ; son adhésion à la contemporanéité ne s'est néanmoins pas faite sans surprises, et on ne passe pas sans risques de Picasso, longtemps considéré dans sa famille et son milieu comme un fumiste, à Lavier et à Boltanski dont nul n'oserait désormais suspecter le sérieux.

Objet de l'un des plus grands mystères de l'histoire de l'art, Vermeer est sans aucun doute le maître de la peinture intimiste hollandaise du Siècle d'or. La rareté de son œuvre (il n'en reste que 36 tableaux) n'en rend que plus précieuse la récente authentification de la " Jeune Femme assise au virginal ". Sa vie elle-même est une énigme dont ne subsistent que peu de traces. Mais c'est au cœur de chacune de ses toiles que se logent les interrogations les plus subtiles et les plus passionnantes autour du maître de Delft. Qui se cache derrière ce personnage secret ? Comment chaque peinture, aux sujets pourtant simples, devient-elle sous la main de l'artiste un immense chef-d'œuvre ? Ressituée dans le contexte historique, religieux et social de cette ville de marchands et d'industries de luxe qu'est Delft au XVIIe siècle, présentée dans sa globalité et mise en parallèle avec les toiles de ses contemporains, l'œuvre de Vermeer prend, dans cet ouvrage, toute sa dimension et sa grâce. Elle place son auteur parmi les plus grands génies de la peinture occidentale.

Philippe Hiquily n'est pas seulement un sculpteur original, il est différent. Marqué par la guerre d'Indochine, il passe cinq années à l'académie de l'Ecole des Beaux-Arts (1947-1951). Nourri de Germaine Richier, il fait sa première exposition à la Galerie Palmes à Paris en 1954, et figure parmi les premiers artistes, dans les années soixante, à se faire connaître simultanément à Paris - où il reçoit le prix de la Critique à la première biennale de 1959 -, et à New York où il expose à la galerie The Contemporairies. Dès le début des années soixante, il entre dans de nombreuses collections américaines, notamment celle d'Ahan Stone, célèbre marchand new-yorkais. A la même époque, à la demande du grand décorateur Henri Samuel, il crée des meubles-sculptures, qui rejoignent les plus grandes collections internationales de mobilier. Hiquily se situe alors au confluent du surréalisme et du nouveau réalisme mais n'adhère ni à l'un ni à l'autre. Il est, et restera, à contre-courant, utilisant le cuivre, le fer, la tôle et le laiton découpés puis patinés pour créer d'étranges figures anthropomorphes, androgynes, dont le corps, à tête d'épingle, est limité à son ossature, hérissée d'antennes graciles, de tentacules ou de greffes menaçantes. Humour, provocation et érotisme marquent les Accouplements de 1973, qui réalisent l'union insolite de l'anatomie réinventée et de l'objet manufacturé ; le ready-made de Duchamp est désormais intégré sans violence au corps humain : La Motocyclette (1964), La Voyeuse (1972), La Comparera (1973), La Banquière (1989-1990)... Ainsi se développe un ballet de formes humanoïdes en fer ou laiton fortement érotisées, liées sans références précises à une primitivité aux simulacres provocants. Dans les années soixante-dix et quatre-vingt, il exécute des bronzes intégralement reproduit dans cet ouvrage.

L'existence de Van Gogh est l'une des plus dramatiques de l'histoire de la peinture.

Vincent n'est ni un être de légende, ni un héros, ni un illuminé, et sa "folie" n'existait que pour ceux qui ne comprirent rien à son âme torturée, hantée, à cette torche brûlante rongée par la seule passion où il put s'accomplir : celle de peindre.

Pendant 18 ans, souvent 2 fois par jour, Vincent écrivit à son frère, et cette monumentale correspondance, derrière laquelle se lit toute une vie, livre son vrai visage, dans le don total qu'il fit à son œuvre, dans sa communion avec elle.

L'élan créateur chez Van Gogh n'est autre que le désir d'exister par le seul moyen où il pense pouvoir se déclarer irremplaçable ; sa voix va bien au-delà de son art, elle touche à cette recherche angoissante de la vérité où chaque homme tente de donner un sens à son propre destin.

Présente les oeuvres peintes d'Alekos Fassianos, né en 1935 à Athènes. Ses tableaux se caractérisent par le mélange de figures de la Grèce antique et de la modernité, souvent posées et à l'aspect héroïque, les couleurs vives, les lignes d'un dessin stylisé et le mouvement des cheveux ou des tissus ondulant dans le vent.

L'histoire de l'art est marquée par les scandales : depuis Masaccio et jusqu'aux représentants de l'art corporel, tout changement dans la conception de l'œuvre d'art a fait scandale. Cela a été vrai six siècles durant au Vatican, et c'était toujours vrai lorsqu'on accusait Courbet de menacer l'ordre public, les impressionnistes d'avoir le cerveau dérangé. A quoi sert donc le scandale, se demande Pierre Cabanne, sinon à transformer le désordre en ordre ? Et quel enseignement y a-t-il à en tirer lorsque celui-ci participe de la normalité, lorsque provocation et spectacle sont de banals outils publicitaires et qu'entre art et publicité la frontière devient indiscernable ? Cette réflexion passionnante sur l'évolution de l'idée qu'une société se fait de l'art est le dernier texte de Pierre Cabanne, qui a pu corriger les épreuves peu avant sa mort. en janvier 2007.

Classicisme et baroque se partagent l'Europe au XVIIe siècle. Né en Italie, le baroque de la Contre-Réforme privilégie la courbe, la surcharge, le mouvement, la prolifération des sujets qui débordent du cadre. Le classicisme lui oppose la ligne droite, la rigueur, la raison. S'exprimant surtout dans l'architecture, ce phénomène essentiellement français, s'oppose à l'internationalisme du baroque qui s'exprime en Italie, mais aussi en Espagne, en Flandres, dans l'Empire germanique et en Amérique du Sud.

Articulé de manière à la fois chronologique - il s'étend du Bernin à David, en passant par le Caravage, Poussin, Rembrandt, Velázquez, Vermeer et Gainsborough - et thématique, ce livre révèle la particularité de cette période où plusieurs tendances artistiques s'expriment simultanément, tantôt de manière complémentaire, tantôt dans un affrontement qui dit les incertitudes du temps.

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode