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Tous les livres de Pierre Charras

Présentation de l’éditeur

Au fil des pages, le narrateur de Pierre Charras trace le portrait de celui qui fut son père, né en 1911.

Avec des mots justes et simples, il ressuscite les cartes postales nostalgiques d’un bonheur familial fragile. Persévérant et obstiné, il se lance à l’assaut de son enfance comme on gravit une montagne. Il se fait archéologue émotionnel de l’histoire paternelle, comme si les mots pouvaient pallier l’absence.

Hommage d’un fils à son père disparu, d’un enfant à ses parents, le roman de Pierre Charras est bouleversant.

En octobre 1814, Franz Schubert, 17 ans, dirige sa première messe, une messe qui sera décisive dans la destinée du jeune musicien. P. Charras imagine la vie de ce compositeur, son rapport à la création et décrit ses derniers jours.

Quatrième de couverture

Et j'ai découvert Thérèse, en même temps que je découvrais ma Messe en fa. Pendant les répétitions, j'avais écouté la messe et Thérèse et, là, je les entendais.

Alors, en pleine béatitude, j'ai senti l'amour s'abattre sur moi, comme d'autres sont foudroyés par la beauté, la foi. À moins que ce ne soit de ma propre musique que je sois tombé amoureux. Ou de l'amour lui-même. Ou de Dieu.

Bien que mort prématurément à trente et un ans, Franz Schubert aura eu le temps de composer plus de mille oeuvres, dont quelque six cents lieder. Par-delà les siècles, comme le génial témoin revenu d'un voyage dans le temps, Pierre Charras fait entendre au présent la voix du compositeur, au plus près du processus créatif, et dessine les contours d'une âme tourmentée.

Sandrine et Gabriel se connaissent depuis vingt-cinq ans. Pour éviter l'usure irréparable de leur couple, ils imaginent ensemble un jeu. Ils se donneront rendez-vous dans la rame du RER de 17h43, nom de code Zeus, à Nation. Sandrine décidera de descendre ou non de la porte arrière de la troisième voiture. 19 secondes, 18 secondes, 17 secondes : Pierre Charras déroule son intrigue au fil d'un impitoyable compte à rebours. Dix-neuf secondes suffiront pour que le train quitte le tunnel, émerge dans les lumières du quai, stationne et reprenne sa course. Dix-neuf secondes au terme desquelles on bascule sans préavis d'une banale affaire de rupture à une tragédie brutale, irréversible,..

Romain Vidal a fait carrière dans « le théâtre de boulevard » : une vie de pitre selon son père, médecin. Depuis toujours, il rêve de jouer le rôle de Tartuffe dans la pièce de Molière, mais on lui propose celui de l’Exempt, « le seul rôle qui n’en est pas un. Le personnage qui entre en scène, alors que tout est accompli. »

Avant la première, Romain explore les coulisses de soixante ans de vie et de quarante ans de métier : le trac, les désillusions, le bonheur de servir un grand texte, son amour pour Jeanne…

Un grand roman plein de pudeur, d’humour, d’humanité, à conseiller et à offrir à tous les amoureux de la littérature et du théâtre. Bravo, Monsieur Charras !

En huit nouvelles, Pierre Charras s'affirme comme un peaufineur de catastrophes et affineur de chaos. Menus et irrémédiables. On va sur du lisse, évolue en pleine tiédeur, nage en plein calme, puis soudain : l'écharde, la crampe. Le trou de vase. Notre monde est carié et c'est à l'affût de ces instants de rupture qu'il lance sa plume. Mine de rien, c'est le Rien qui nous accable. Dont acte : un "nid d'amour" qui, d'un coup, perd son charme; une fillette croisée dans le métro; une moliéresque cérémonie des prix; Bruno l'enfant perdu; un corps porté par une houle de douleurs; une nudité fatale, cliquée à Shanghaï. Instants pressants et vertiges intimes. Bienvenue donc au royaume d'un grand polisseur de malaise et as de la désillusion : Charras ou l'art de miner les bacs à sable.

écile est dans le train qui la ramène à Paris après une visite à son père hospitalisé quand elle rencontre un homme dans lequel elle semble reconnaître un professeur qui lui a fait passer, il y a quelques années, un examen de littérature française. Cet homme a profondément marqué l'adolescente qu'elle était alors, volant en quelques minutes, une parcelle de son cœur et c'est avec émoi qu'elle le regarde, assis par hasard dans le même wagon qu'elle. A l'arrivée, elle décide de le suivre pour savoir où il habite, sans espoir d'aller plus loin mais tout en continuant de fantasmer sur une possible histoire d'amour. Mais l'homme a repéré son manège car il a déjà remarqué la jeune femme dans le train et rêve de lui parler …

Marthe est femme de ministre et mère d'un jeune homme encore étudiant. Elle a 45 ans, une vie bien rangée et bien réglée et elle tente de faciliter la vie de son époux autant qu'elle le peut. Mais un jour, alors que ce dernier est en déplacement, elle reçoit un coup de téléphone d'un de ses collaborateurs, Monsieur Lacombe, qui lui annonce qu'un problème soudain requiert une solution immédiate et que cela ne peut attendre le retour de son mari. Elle décide donc de rencontrer Monsieur Lacombe dans un café et celui-ci lui présente des photos pouvant mettre en danger l'avenir de toute la famille de Marthe. Mais cet homme n'est qu'un vil maître-chanteur et ce n'est pas de l'argent qu'il veut … c'est Marthe et son corps qu'il désire et qui va devenir l'objet de la négociation …

Manuel n'était pas fait pour choisir. Et c'est par hasard qu'il se retrouve dans cette petite ville près d'un lac, répétiteur dans ce collège, locataire de Madame Argaud. On était heureux, les dimanches. Les souvenirs affluent à la mémoire de Manuel, lui qui n'a jamais vécu. Est-ce que le bonheur est possible lorsqu'on n'a pas su parler à ceux qui vous aimaient, au père disparu, à la tante Mariette, à tous les autres ? Entre le collège et la maison de Madame Argaud, Manuel va, et l'amour transforme sa vie. Mais pourquoi résumer une telle histoire ? On ne peut livrer les secrets de ce récit, bouleversant dans sa sobriété, qui emmène le lecteur loin, beaucoup plus loin qu'il ne l'imagine

Je me souviens que nous marchions lentement parce que je mangeais mon pain avec une pierre de sucre, puisque je ne supportais plus le chocolat, et que c'est moins bien que le chocolat, avec le pain, le sucre. Comme nous passions devant le magasin de jouets où j'avais vu les bateaux, une dame est sortie de la boutique avec un paquet sous le bras, enveloppé dans du papier cadeau. C'était le même que celui de mon bateau, que celui de Noël, que celui du père Noël. C'était fini. Le doute était là, qui s'est changé en certitude le lendemain, dans la cour de l'école.

" Il y a bien longtemps déjà qu'Antoine n'a plus peur. Il continue cependant à boire, un peu par habitude, un peu par paresse. C'est souvent la même chose... Un peu -beaucoup ! -par goût, bien sûr. En réalité, il boit comme il respire, sans trop savoir pourquoi. Il pourrait aussi bien arrêter : il n'a seulement pas essayé, voilà tout. "

" Il y a vingt-cinq ans, aujourd'hui, que j'ai repris mes bottes à semelles de plomb. Vingt-cinq ans que je me traîne sur la terre, à hauteur de misère. Pendant quelque temps, tout de même, j'aurai volé. Tout le monde, parmi ceux qui rampent, n'a pas eu cette chance. "

" On a honte de ses douleurs, on les cache, on les enterre, on les séquestre dans les placards. Et voici que quelqu'un exhibe les siennes et vient dire que tous les hommes en sont là, que, tous, ils mangent, dorment, aiment parfois pour quelque temps, avec le grand sérieux des animaux, sous le ciel plein d'étoiles et vide de Dieu. Et il dit cela à travers des images éblouissantes. Parce que, oui, Francis n'a pas beaucoup regardé de peinture dans sa vie, il n'y connaît rien, vraiment, rien de rien, mais là, bien sûr, il a tout de suite senti qu'il se trouvait en pleine beauté. "

A la fin de mai 1871, il y a eu un grand massacre dans Paris. Depuis, les rues ont été nettoyées. Les manuels d'Histoire aussi. Il manque près de trente mille morts à notre mémoire. Mais la ville n'a rien oublié. Il nous suffirait de vouloir l'écouter pour qu'elle nous montre les corps contre ses murs et, sous ses pavés, le sang.

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