Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre
navigation
sur
notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces
outils,
nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des
publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et
l'art.
Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans
ces
domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des
offres
pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien
vouloir
désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à
vous
fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et
tendances de
la
littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités
et
cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre
option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée,
sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement,
cliquez ici.
Ranuccio Bianchi Bandinelli né le 19 février 1900 à Sienne, en Toscane et mort le 17 janvier 1975 à Rome est l'un des principaux archéologues et historiens de l'art italien du XXe siècle.
Bianchi Bandinelli est issu d'une ancienne famille de l'aristocratie siennoise. Ses premiers travaux portèrent sur les centres étrusques de Clusium (1925) et Soana (1929).
Ecoeuré du fascisme italien, bien qu'il soit l'homme qui montra Rome à Hitler sous Mussolini, il passa au marxisme et au communisme après la Seconde Guerre mondiale.
Comme antifasciste, il joua un rôle important immédiatement après la guerre. Il fut directeur des beaux-arts et des antiquités (Antichità e Belle Arti, 1945-1948).
A partir de ses chaires à l'université de Florence et à celle de Rome, il dirigea toute la nouvelle génération d'archéologues italiens sensible à l'histoire classique basée sur le matérialisme dialectique. Il a également enseigné à l'université de Groningen, aux Pays-Bas.
Dans les années 1950 et 1960, il entreprit l'écriture de textes sur l'art classique afin de mettre celui-ci à la portée d'une large audience. Il fonda l'Enciclopedia dell'arte antica en 1958.
Il prit sa retraite de façon anticipée en 1964.
Au milieu des années 1960, il fut sollicité afin d'écrire les deux volumes consacrés à l'art romain pour la prestigieuse collection "L'Univers des formes".
En 1967, il fonda les Dialoghi di archeologia avec ses étudiants, une des revues les plus innovantes, sinon controversées, sur l'antiquité classique.
Un de ses domaines de prédilection était l'interrelation entre les arts hellénistique, étrusque et romain.
Il a formé les plus influents des chercheurs italiens, parmi lesquels Giovanni Becatti, Antonio Giuliano, Mario Torelli, Andrea Carandini et Filippo Coarelli. Son mémoire sur le fascisme italien fut publié en 1995 (Hitler e Mussolini, 1938 : il viaggio del Führer in Italia).
Biographie
Ranuccio Bianchi Bandinelli né le 19 février 1900 à Sienne, en Toscane et mort le 17 janvier 1975 à Rome est l'un des principaux archéologues et historiens de l'art italien du XXe siècle.
Bianchi Bandinelli est issu d'une ancienne famille de l'aristocratie siennoise. Ses premiers travaux portèrent sur les centres étrusques de Clusium (1925) et Soana (1929).
Ecoeuré du fascisme italien, bien qu'il soit l'homme qui montra Rome à Hitler sous Mussolini, il passa au marxisme et au communisme après la Seconde Guerre mondiale.
Comme antifasciste, il joua un rôle important immédiatement après la guerre. Il fut directeur des beaux-arts et des antiquités (Antichità e Belle Arti, 1945-1948).
A partir de ses chaires à l'université de Florence et à celle de Rome, il dirigea toute la nouvelle génération d'archéologues italiens sensible à l'histoire classique basée sur le matérialisme dialectique. Il a également enseigné à l'université de Groningen, aux Pays-Bas.
Dans les années 1950 et 1960, il entreprit l'écriture de textes sur l'art classique afin de mettre celui-ci à la portée d'une large audience. Il fonda l'Enciclopedia dell'arte antica en 1958.
Il prit sa retraite de façon anticipée en 1964.
Au milieu des années 1960, il fut sollicité afin d'écrire les deux volumes consacrés à l'art romain pour la prestigieuse collection "L'Univers des formes".
En 1967, il fonda les Dialoghi di archeologia avec ses étudiants, une des revues les plus innovantes, sinon controversées, sur l'antiquité classique.
Un de ses domaines de prédilection était l'interrelation entre les arts hellénistique, étrusque et romain.
Il a formé les plus influents des chercheurs italiens, parmi lesquels Giovanni Becatti, Antonio Giuliano, Mario Torelli, Andrea Carandini et Filippo Coarelli. Son mémoire sur le fascisme italien fut publié en 1995 (Hitler e Mussolini, 1938 : il viaggio del Führer in Italia).
Source/Wikipédia
Afficher en entier