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Tous les livres de Raymond Boudon

Présentation de l'éditeur (P.U.F.):

« Ce dictionnaire doit aider la sociologie à reprendre la place qui lui revient parmi les disciplines classiques. Il vise aussi à permettre au lecteur cultivé de mesurer l’importance de la tradition sociologique. »

Tel était le souhait des auteurs lors de la première édition parue en 1982, souhait largement exaucé et conforté par les nombreuses rééditions. Ce dictionnaire s’efforce de repérer les questions fondamentales, de débusquer les idées reçues, de mettre en évidence les liens entre certains concepts, de présenter une analyse critique de la tradition sociologique.

Présentation de l'éditeur (P.U.F.) :

Ce livre illustre l'intérêt de la perspective qualifiée d'individualisme méthodologique, selon laquelle les causes ultimes de tout phénomène social résident dans des actes, des croyances ou des attitudes individuelles. Cette méthode, actuellement largement pratiquée, a dû s'imposer contre les mouvements de pensée qui ont exercé une influence considérable sur les sciences sociales, tels le marxisme et le structuralisme.

L'économie, les sciences sociales et la philosophie, utilisent abondamment la notion de rationalité. Indispensable, elle semble insaisissable. Cet ouvrage vise à la clarifier. Mais il poursuit surtout un autre objectif. La difficulté qu'ont les sciences sociales à devenir des sciences à part entière provient de ce qu'elles utilisent généreusement des explications irrationnelles du comportement qui paraissent fragiles. Cela explique le succès croissant depuis une vingtaine d'années, aux États-Unis et en Europe, de la Théorie dite du Choix Rationnel (TCR). Faut-il y voir, comme le prétendent ses promoteurs, une théorie capable de donner aux sciences sociales un fondement solide ? Faut-il accepter sa conception utilitariste de la rationalité ? L'examen critique de la TCR permet de donner une réponse précise à ces questions et d'identifier un modèle qui préserve ses avantages en éliminant ses inconvénients. Ce n'est donc pas un exposé sur les avatars de la notion de rationalité qui est proposé ici, mais bien une théorie de la rationalité.

Comment décrire les phénomènes sociaux ? Comment les expliquer ensuite ? Les méthodes dont le sociologue dispose répondent de manière différente à ces questions, selon l'angle sous lequel elles les abordent.

L'analyse causale, l'individualisme méthodologique et la rationalité cognitive constituent les trois grandes méthodes sociologiques, décrites avec clarté et illustrées par de nombreux exemples dans la nouvelle publication, très largement inédite, de cet ouvrage de référence.

Pour Raymond Boudon, ce sont bien les individus qui agissent, mais les conséquences de leurs actions leur échappent : l'agrégation de nos actions individuelles aboutit à des résultats collectifs non prévus et non voulus. Telle est la question qui constitue l'objet de la sociologie. Ce livre, manifeste de ce qu'il est désormais convenu d'appeler " l'individualisme méthodologique " en sociologie, est devenu un classique.

Source : Decitre

Mon propos dans les textes qui suivent a été, non pas de présenter la pensée de Tocqueville, de Weber, de Simmel et des autres " dans leur unité ", non comme celle de penseurs qui auraient tenté de produire un système, une " vision de la société " ou une doctrine, mais comme l'oeuvre de scientifiques visant à proposer des explications convaincantes de phénomènes énigmatiques, comme c'est le rôle de tout homme de science, et s'interrogeant sur les meilleurs moyens à mettre en oeuvre pour y parvenir. Dès qu'on suit cette ligne d'analyse, l'impression d'hétérogénéité, qui domine dès lors qu'on juxtapose " la sociologie de Tocqueville ", " la sociologie de Marx ", " la sociologie de Durkheim ", " la sociologie de Weber ", etc., s'atténue considérablement. Nisbet avait bien vu qu'ils partagent des intuitions conceptuelles communes (ainsi, tous prennent en compte - à travers des mots qui varient de l'un à l'autre - la distinction entre communauté et société ou entre sacré et profane). Les textes qui suivent suggèrent qu'ils partagent aussi des intuitions théoriques et méthodologiques communes.

Le relativisme a représenté depuis l'Antiquité une philosophie parmi d'autres. Or, avec la " mort de Dieu ", il est devenu la philosophie dominante du monde occidental, ce qui invite à en mieux définir les contours. Il existe en effet différentes variantes du relativisme. Ainsi, pour le relativisme normatif, les normes et les valeurs sont des conventions culturelles et toutes les cultures se valent. Pour le relativisme cognitif, il n'y a pas de connaissance certaine, même en science. En retraçant l'histoire de ces relativismes, Raymond Boudon nous invite à distinguer le " bon " relativisme qui favorise le respect de l'Autre, du " mauvais ", qui engendre une perte des repères intellectuels, alimente le nihilisme et nuit à la démocratie.

Le magicien qui croit à l'efficacité des rituels de pluie n'obéit pas à une autre logique que l'homme de science, explique Durkheim. Les croyances religieuses doivent s'analyser comme le produit de raisons, expliquent Tocqueville et Weber. . Les percées scientifiques les plus spectaculaires des sciences sociales sont celles qui ont réussi à déplacer les frontières du rationnel : à démontrer que la croyance ou le comportement qu'un regard superficiel juge spontanément irrationnel s'explique comme l'effet de raisons subjectivement fortes et objectivement fondées. Ce déplacement de l'irrationnel au rationnel est indispensable si l'on veut expliquer les changements dans les croyances, les normes, les valeurs et les institutions qu'on observe dans les sociétés contemporaines.

" Nous passons une bonne partie de notre temps à émettre des jugements de valeur et dans la plupart des cas, nous les émettons parce que nous y croyons. Mais pourquoi y croyons-nous ? le question a été posée par toutes les sciences humaines, par la psychologie compte par la sociologie et avant elles par la philosophie. Les réponses qui y ont été données sont d'une grande diversité. Comment les classer ? Certaines sont-elles plus acceptables que d'autres ? Peut-on les unifier ?" Ces questions sont d'autant plus importantes qu'aucune des théories ne rend compte de façon satisfaisante des données recueillies à travers les enquêtes. Mais comment choisir entre l'une ou l'autre de ces théories ? Peut-on se contenter de déclarer qu'elles sont toutes valables, chacune applicable selon les circonstances ? Les textes réunis dans ce volume examinent cet ensemble de questions, tentent d'écarter certains malentendus et surtout de préciser la théorie de la valorisation propre à l'auteur, en reprenant certains exemples précédemment développés dans Le juste et le vrac, études sur l'objectivité des valeurs et de la connaissance (Fayard, 1995).

Le problème de l'origine des valeurs a retenu l'attention de plusieurs sociologues classiques et modernes (Simmel, Durkheim, Weber, Piaget, les fonctionnalistes, les théoriciens de l'" utilité espérée "), ainsi que de plusieurs philosophes classiques et modernes (Nietzsche, mais aussi Max Scheler ou John Rawls par exemple). A-t-on le choix entre les théories, fort différentes les unes des autres, qu'ils ont proposées à ce sujet ? Sont-elles équivalentes ? Doit-on les traiter comme des visions subjectives, entre lesquelles il est impossible de trancher ? Peut-on au contraire préférer à bon droit l'une à l'autre ? Constituent-elles des modèles tous valides, mais applicables dans des circonstances variables ? Ces questions sont d'autant plus importantes qu'aucune de ces théories ne rend compte de façon bien satisfaisante des données recueillies par les enquêtes. D'où l'impression que théorie et empirie ne parviennent pas à se rejoindre. S'appuyant sur Max Weber, le recueil présent propose une théorie promettant de dissiper ces apories. --Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre.

Plus de 220 chercheurs et universitaires ont été ici réunis pour discerner le dissociable du sociable et ainsi présenter une pensée sociologique sur le terrain, avec son lot de convergences d'analyse et de divergences d'interprétation des phénomènes sociaux. Radioscopie d'une discipline, ce premier dictionnaire de la pensée sociologique se devait d'exposer autant ses fondements, ses interrogations que ses avancées ou ses propres incivilités... Sonder, interviewer, consulter, enquêter, fouiller, exposer : le présent ouvrage se confond totalement avec son objet, à savoir la construction toujours renouvelée d'une discipline dont l'évolution contrastée de ses propres théories interdit l'exposition linéaire de sa pensée.

Psychologue, psychanalyste, anthropologue, biologiste, statisticien, démographe, historien, philosophe, pédagogue, observateur de la vie politique, économiste, consommateur, justiciable, bureaucrate, employé, entrepreneur, chômeur..., chacun trouve sa place dans cet ouvrage, chacun participant, à sa manière, au déroulement de la pensée sociologique dont ce dictionnaire met au jour l'enracinement de l'investigation pluridisciplinaire dans le quotidien.

Ouvrage publié sous la direction de Massimo Borlandi (Université de Turin), Raymond Boudon (Institut de France et Université de Paris IV-Sorbonne), Mohamed Cherkaoui (Centre national de la recherche scientifique), et Bernard Valade (Université de Paris V-René Descartes).

https://www.puf.com/content/Dictionnaire_de_la_pens%C3%A9e_sociologique#sthash.PzK6enLh.dpuf

Si les meilleurs diplômes donnent en théorie accès à de meilleurs emplois, en toute logique, avoir des diplômes supérieurs à ceux de ses parents devrait signifier avoir un statut social préférable. Or les célèbres études menées par Raymond Boudon montrent que c'est en rien une garantie : la réduction de l'inégalité des chances scolaires ne débouche pas sur le réduction attendue de l'inégalité des chances sociales.

Cet ouvrage, devenu un classique de la sociologie, suscita un vif débat au moment de sa publication, car il exprimait in certain scepticisme envers les capacités de l'institution scolaire de réduire les inégalités. De fait, plus de trente ans après, ces analyses se sont révélées justes... mais malgré l'avertissement salutaire de Boudon, l'illusion persistante d'une démocratisation pas l'école continue de régir les politiques publiques.

[Quatrième de couverture]

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