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Toutes les séries de René Rémond

3 livres
51 lecteurs

Comprendre son temps est impossible à qui ignore tout du passé ; être un contemporain c'est aussi avoir conscience des héritages, consentis ou contestés.

Etudier hier en fonction d'aujourd'hui - et même de demain - tel est précisément le propos de ce livre, qui sort en droite ligne d'un cours professé à l'Institut d'études politiques (année préparatoire). Qu'est-ce que la société féodale ? Quelle est la définition du despotisme éclairé ? Quelles sont les causes de la Révolution française ? Que doit-on retenir de cette période dramatique qui, de 1789 à Waterloo, a changé la face du monde ? A ces questions et à cent autres, ce premier volume apporte des réponses claires et rigoureuses.

Sans préoccupation érudite, cet ouvrage permettra à chacun de réviser des notions demeurées imprécises et d'acquérir les bases historiques indispensables à l'intelligence de notre époque.

Tous les livres de René Rémond

Le 29 novembre 2006, la Bibliothèque nationale de France, à laquelle il avait confié en don l'ensemble de ses manuscrits et archives personnelles, lui consacrait une journée de colloque, réunissant autour de lui plusieurs de ses proches, amis ou disciples, sous la présidence de Jean-Noël Jeanneney, Jean-Jacques Becker, Jean Boissonnat, Alain Duhamel, Nlarie Odile Germain, Alain Lancelot, Philippe Levillain, Ilenri Madelin, Pierre Nora, Jacques Prévotat, Jean-François Sirinelli.

Ce volume, préfacé par Bruno Racine, reprend les diverses contributions d'une rencontre particulièrement féconde avec ce grand témoin du XXe siècle.

La décision de faire figurer dans les manuels d'histoire une mention sur le rôle « positif » de la colonisation, puis la mise en accusation de l'historien Pétré-Grenouilleau pour son livre sur les traites négrières, au nom de la « loi Taubira », ont mis au jour le très difficile problème posé par les lois qui prétendent statuer sur des questions historiques. La première de cette espèce ayant été la « loi Gayssot », faisant du négationnisme à l'égard de la Shoah un délit.

Un collectif d'historiens prestigieux, présidé par René Rémond, ont signé une pétition demandant l'abrogation de ces textes de loi et la restauration de l'entière liberté de recherche. Cette pétition a eu des effets immédiats : outre la réaction enthousiaste de Bruno Gollnisch, lui-même sous le coup d'une accusation de négationnisme, elle a suscité une seconde pétition, récusant l'amalgame entre toutes ces lois et insistant sur la nécessité de conserver la loi Gayssot.

Ce problème est au carrefour de plusieurs questions tout à fait actuelles : - les revendications mémorielles et le besoin de reconnaissance des minorités ; - la qualification de crimes contre l'humanité de délits autrefois passibles de prescription ; - la question de savoir jusqu'à quel point l'enseignement d'Etat est libre ou s'il doit être encadré. C'est sur tout cela que René Rémond tâchera de faire le point, avec la mesure et le sens des responsabilités qu'on lui connaît et qui lui a valu de présider plusieurs commissions « difficiles ».

" Le présent ouvrage se propose de décrire l'évolution des conditions et des caractéristiques de la vie politique française depuis la Révolution. L'expression "vie politique" est une approximation : nous y recourons, faute d'une appellation dont la précision soit plus satisfaisante. Plutôt que d'une définition abstraite, le dessein de l'ouvrage se dégagera d'une évocation de l'état d'esprit dont il procède et de l'énumération des composantes principales de cette vie politique. " René Rémond, de l'Académie française. Dans ce volume sont abordées la naissance de la vie politique et les innovations de la Révolution (1787-1815), ainsi que la naissance du gouvernement d'opinion sous la monarchie constitutionnelle (1814-1848).

Les rapports entre religion et société constituent un chapitre essentiel de l'histoire européenne : peu de questions ont tenu pareille place dans les controverses idéologiques et les affrontements politiques. C'est aussi un domaine où les changements ont été radicaux avec le passage de sociétés sacrales à la sécularisation. Ce livre retrace cette évolution sur deux siècles et à l'échelle de l'Europe. De s'inscrire dans la longue durée et sur tout le continent, cette histoire révèle des convergences insoupçonnées, comme si s'ébauchait un modèle propre à l'Europe des relations entre religion et société.

Au fil d'une œuvre impressionnante, René Rémond, disparu en 2007, ne s'est pas seulement intéressé à la vie politique, il a aussi marqué l'histoire du fait religieux. Dans cet ensemble de textes qu'il avait commencé à réunir avant sa mort, l'historien tente de répondre à la question : "Vous avez dit catholique?". Car au fond, qu'est-ce qu'un catholique? Quelle est sa culture politique? Est-il l'ennemi du monde moderne? Que dire de la laïcité et de l'anticléricalisme? Existe-t-il encore des intellectuels catholiques? Que penser aussi des crises ou des événements qui ont marqué cette tradition religieuse? Comment comprendre l'intégrisme? D'une plume libre et précise, René Rémond dessine du coup un véritable portrait-type du catholique des dernières décennies.

Après des siècles d'histoire, au seuil d'un nouveau millénaire, le christianisme fait souvent figure d'accusé. A côté des manifestations de curiosité ou d'intérêt historique, il est de bon ton de faire de lui une sorte de bouc émissaire, tenu pour responsable de certains traits de mentalité individuelle ou de blocages de société : l'un conspuera la " morale judéo-chrétienne " par trop répressive, l'autre dénoncera les pesanteurs d'une société marquée par des siècles de catholicisme, un troisième flétrira une religion qui exalte la passivité ou la faiblesse... A la figure crucifiée de Jésus, nombre de nos contemporains préfèrent le visage apaisé de Bouddha... Comment comprendre cette mise en accusation, ce discrédit, à un moment où le christianisme paraît affaibli ? Faut-il les rapporter à des causes plus anciennes ou à un destin inéluctable ? Doit-on y voir aussi les conséquences d'une spiritualité chrétienne souvent obsédée par le péché et la mort ? Enfin, le christianisme est-il à même de laisser des traces, des valeurs-clés dans l'histoire ? Sur toutes ces questions, René Rémond dialogue avec Marc Leboucher, pour comprendre et expliciter davantage ce que signifie cet actuel rejet. Il s'interroge aussi sur l'avenir d'une tradition qui, sans doute, n'a pas dit son dernier mot.

Au moment où le 20e siècle basculait dans le passé, René Rémond jetait un regard en arrière et tentait d'apprécier ce que celui-ci avait apporté à l'humanité.Voici un siècle de fer où l'horreur a atteint par moments des proportions inouïes : deux conflits mondiaux, le génocide du peuple juif, lunivers du goulag, le discrédit des idéologies qui avaient la prétention de révéler le sens de lhistoire, la prolifération des régimes totalitaires.

Il est aussi le siècle où l'homme a conquis lespace, découvert les secrets de la matière, exploré le génome, allongé la durée de la vie. Il s'est achevé sur le triomphe de la démocratie dont les principes paraissent bénéficier, désormais, d'un consentement presque universel. A l'échelle de la planète, le sentiment de la responsabilité de la communauté mondiale tend à l'emporter sur la souveraineté des États. La conscience morale, devenue plus exigeante, condamne aujourd'hui ce quelle tolérait hier et légitimait avant-hier.

Les attentats du 11 septembre 2001 et les guerres d'Afghanistan et d'Irak auraient-ils remis en question cette vision optimiste ? Non, affirme René Rémond dans une postface écrite pour cette nouvelle édition.

Un Français né au début du XXe siècle aura connu deux guerres mondiales d'une durée jamais atteinte depuis celles de la Révolution et de l'Empire, ainsi qu'une série de conflits coloniaux. Surtout, il aura vécu un désastre auquel seuls les lointains souvenirs de la guerre de Cent Ans peuvent être comparés : la défaite de 40 et les drames qui ont suivi... Il aura subi au moins deux crises économiques majeures qui ont remis en cause des acquis qu'il croyait définitifs. Il aura vu se succéder quatre systèmes politiques (dont l'un supprima la démocratie), aura assisté à deux, sinon à trois crises de régime, à cinq ou six alternances avec la mise en chantier de vastes programmes de réformes, il aura été le témoin de constantes divisions et de guerres civiles larvées. Faut-il enfin souligner combien son niveau et son mode de vie ont évolué, combien ses repères culturels et affectifs se sont altérés et transformés ? Le XXe siècle est bien celui du changement. Du changement accepté d'abord, du changement souhaité ensuite parce que perçu comme nécessité : pour la première fois dans l'Histoire, le désir de modernité l'a emporté en France sur l'attachement aux valeurs permanentes. Il ne suffit pourtant point d'énoncer ces évidences, encore faut-il - et c'est là le privilège de l'historien - savoir distinguer la lame de fond de l'écume et donner un sens à ce que la nation a vécu mais que les Français n'ont pas tous, loin de là, perçu de la même façon

Présentation en atlas de cette histoire de France, dont l'ensemble cartographique met en évidence les grands événements politiques, économiques, sociaux, militaires, culturels, scientifiques et religieux, de la préhistoire à nos jours. Un index de plus de 1000 entrées en fait un ouvrage de référence accessible au grand public comme aux élèves et aux étudiants.

Une équipe d'historiens, spécialistes de l'époque contemporaine, et groupés autour de René Rémond, se sont décidés à écrire ce livre, en raison des préjugés qui persistent sur l'histoire politique, assimilée encore parfois à l'histoire événementielle. Sans pouvoir rendre compte de toutes les curiosités et de toutes les méthodes de cette discipline, ils en présentent ici des aspects marquants. Cet ouvrage n'est pas à proprement parler un manifeste : le terme impliquerait qu'on se situe à un point de départ, aux origines d'une commune entreprise. Il s'agit plutôt d'une affirmation collective, d'un propos d'étape animé par deux ambitions jumelles : celle de cristalliser, dans l'esprit du public intéressé, la conscience de ce qui a été déjà réalisé en en donnant mieux à voir l'unité, et celle de susciter de nouvelles vocations, qui bousculent et qui innovent.

Un Français né au début de ce siècle aura connu deux guerres mondiales d'une durée jamais atteinte depuis celles de la Révolution et de l'Empire, ainsi qu'une série de conflits coloniaux. Surtout, il aura vécu un désastre auquel seuls les lointains souvenirs de la guerre de Cent Ans peuvent être comparés: la défaite de 40 et les drames qui ont suivi... Il aura subi au moins deux crises économiques majeures qui ont remis en cause des acquis qu'il croyait définitifs. Il aura vu se succéder quatre systèmes politiques (dont l'un supprima la démocratie), aura assisté à deux, sinon à trois, crises de régimes, à cinq ou six alternances avec la mise en chantier de vastes programmes de réformes; il aura été le témoin de constantes divisions et de guerres civiles larvées. Faut-il enfin souligner combien son niveau et son mode de vie ont évolué, combien ses repères culturels et affectifs se sont altérés et transformés? " Notre siècle " est bien celui du changement. Du changement accepté d'abord, du changement souhaité ensuite parce que perçu comme nécessité: pour la première fois dans l'Histoire, le désir de modernité l'a emporté en France sur l'attachement aux valeurs permanentes.

Il ne suffit pourtant point d'énoncer ces évidences, encore faut-il _ et c'est là le privilège de l'historien _ savoir distinguer la lame de fond de l'écume et donner un sens à ce que la nation a vécu mais que les Français n'ont pas tous, loin de là, perçu de la même façon.

Né en 1918, professeur émérite à l'université de Paris-X et président de la Fondation nationale des Sciences politiques, René Rémond est le maître incontesté de l'histoire politique contemporaine. Jean-François Sirinelli, qui a rédigé les chapitres d'histoire culturelle du présent volume, né en 1949, est professeur à l'université de Lille-III et est spécialiste de l'histoire politique et socioculturelle de la France du XXe siècle.

"Ces soixante ans de République méritent infiniment mieux que l'oubli, l'indifférence, le discrédit ou cette histoire qui retourne à la friche. Non seulement son intérêt propre est grand : c'est une leçon des choses qui n'a pas perdu toutes ses vertus. Mais nous en restons tributaires : elle nous lègue tout un héritage dont nous devons faire l'inventaire ; nous tenons d'elle des idées, des pratiques, des habitudes, des traditions sans lesquelles notre vie politique aujourd'hui ne serait pas ce qu'elle est. On comprendrait mal ce que celle-ci est présentement en ignorant la IIIè République. En inventorier l'héritage, retrouver les traces de ses apports, tel est le propos de ce livre, et telle est l'une de ses raisons d'être" R.R

Jean-Noël Jeanneney, accompagné ici de quinze historiens, s'empare de la querelle qui entoure le "récit national" et "l'identité" de notre pays. Entre la morosité des nostalgiques d'un passé fantasmé et les tenants d'un chagrin rétrospectif, il y a place, à l'école et dans le forum, pour une histoire critique, donc civique. Pour une vision équilibrée qui favorise de nouveaux élans et de nouvelles générosités.

A condition de refuser l'idée d'une France figée, d'en rappeler la féconde diversité, d'en dire la grandeur comme les défaillances, et de la replacer dans un monde extérieur auquel elle a beaucoup donné et dont elle a tant reçu.

Avec Christian Amalvi, Anne-Claude Ambroise-Rendu, Claire Andrieu, Guy Carcassonne, Jean-Claude Caron, Delphine Diaz, Patrick Eveno, Sudhir Hazareesingh, Hervé Le Bras, Mona Ozouf, Michel Pastoureau, Michelle Perrot, René Rémond, Patrick Weil.

La démarche est novatrice et féconde : une rencontre entre des historiens – auxquels se joignent des spécialistes de droit public et des politologues – et Valéry Giscard d’Estaing. N’est-ce pas la première fois qu’un président de la République accepte le principe d’un tel dialogue ?

De cette rencontre est sorti ce livre dont les divers chapitres concernent une période capitale de notre histoire politique récente. A bien des égards, il s’agit du troisième tournant de la Ve République. 1962 avait introduit une première césure, fondamentale. 1969 avait répondu à la question essentielle de la survie du régime au départ de son fondateur ; et la victoire de Georges Pompidou avait levé une seconde hypothèque : le gaullisme, en tant que force politique, survivait lui aussi. Cela confère indirectement plus de sens encore à la victoire de Valéry Giscard d’Estaing : avant même 1981, 1974 représente une première forme d’alternance politique. Celle-ci étant interne à la majorité de l’époque, elle frappa moins que l’issue du duel Mitterrand-Giscard du second tour. Elle fut pourtant réelle et explique largement les escarmouches et les tensions croissantes, au fil du septennat, entre les deux branches de la majorité, dont l’une avait perdu la magistrature suprême au profit de l’autre.

La période 1974-1978, déjà dense en elle-même – et cette densité explique que l’on se soit tenu ici à la première législature, commencée avant même le changement de Président –, est aussi à replacer dans une temporalité plus ample, qui rythme l’histoire des formations et celle des cultures politiques. On a réuni ici, outre l’acteur principal – dont le témoignage est essentiel –, des « grands témoins » et des chercheurs, à l’initiative du Centre d’histoire de l’Europe du vingtième siècle et de l’Institut pour la démocratie en Europe. Le lecteur est convié à un contact direct avec la matière de l’histoire, et se trouve invité dans le laboratoire de l’historien.

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