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Fin portraitiste, il peut aussi émouvoir avec des photos de reportage ou des natures mortes sensuelles
Mise en bouche
"Pour faire de la photo, il faut rater son bac", déclare en souriant Richard Nourry, piqué par le virus très jeune homme (en 1979) et qui n’a pas dételé depuis.
Avant d’être tracé, son destin professionnel a commencé par une mise en bouche sportive. "Rentré, grâce à un oncle, comme stagiaire au Parisien, j’étais à la rubrique des sports et lors d’un reportage sur une compétition d’athlétisme, j’ai ramené quelques photos", raconte-t-il. Elles plaisent, et il en fera d’autres. Mais stagiaire rime avec éphémère, aussi quand son stage se termine, s’inscrit-il à l’école Louis Lumière.
L’école Gamma
A l’époque, la formation photo pouvait se faire en une année, grâce à la mise en place d’un CAP expérimental. Richard Nourry n’attendra pas de passer le diplôme. Ce qu’il veut, c’est se frotter aux images, et c’est sans regret qu’avant la fin du cursus scolaire, il suit un de ses copains engagé chez Gamma. Ce qu’il y fera ? Du développement, car la prestigieuse agence de reporters- photographes envoie de par le monde quelque 3000 tirages par jour. Une école du regard haut de gamme, où il verra passer entre ses mains des images exceptionnelles signées des plus grands.
.Le studio
Apprendre à travailler le contraste et le cadrage, c’est une chose, mais ce n’est pas encore faire "ses" images. Richard Nourry décide de continuer sur le chemin de la connaissance et se fait engager dans un studio. Là encore, il sait qu’il va passer plus de temps à aller chercher des cafés qu’à regarder dans l’objectif. Il n’empêche. Il assiste des maîtres et comprend peu à peu ce métier. Quand il se sent prêt, avec quelques amis, il monte un collectif de photographes et entame une carrière oscillant entre la publicité, le reportage et le portrait.
D’un sujet à l’autre
Quelques dizaines de campagnes de pub, de catalogues, de rédactionnels et de livres plus tard, Richard Nourry aime toujours autant passer d’une chose à l’autre. Exemples : le travail qu’il réalise avec les musiciens et les danseurs, ou bien les portraits de ces vignerons, charpentés comme leurs vignobles. Ou encore ces livres reportages dont le thème récurrent est la mer, une autre de ses passions.
Ses derniers travaux ont illustré les livres « Marins Pêcheurs aujourd’hui » et « Phares et Balises. Gardiens de l’océan » aux éditions Larivière. (le premier a obtenu la médaille de l’académie de marine en 2005) ainsi que « Sur les traces de d’Artagnan » aux éditions Privat.
Passionné par la musique et par ceux qui la font, il a fait le portrait de nombreux musiciens et collaboré à divers magazines de jazz.
Biographie
Fin portraitiste, il peut aussi émouvoir avec des photos de reportage ou des natures mortes sensuelles
Mise en bouche
"Pour faire de la photo, il faut rater son bac", déclare en souriant Richard Nourry, piqué par le virus très jeune homme (en 1979) et qui n’a pas dételé depuis.
Avant d’être tracé, son destin professionnel a commencé par une mise en bouche sportive. "Rentré, grâce à un oncle, comme stagiaire au Parisien, j’étais à la rubrique des sports et lors d’un reportage sur une compétition d’athlétisme, j’ai ramené quelques photos", raconte-t-il. Elles plaisent, et il en fera d’autres. Mais stagiaire rime avec éphémère, aussi quand son stage se termine, s’inscrit-il à l’école Louis Lumière.
L’école Gamma
A l’époque, la formation photo pouvait se faire en une année, grâce à la mise en place d’un CAP expérimental. Richard Nourry n’attendra pas de passer le diplôme. Ce qu’il veut, c’est se frotter aux images, et c’est sans regret qu’avant la fin du cursus scolaire, il suit un de ses copains engagé chez Gamma. Ce qu’il y fera ? Du développement, car la prestigieuse agence de reporters- photographes envoie de par le monde quelque 3000 tirages par jour. Une école du regard haut de gamme, où il verra passer entre ses mains des images exceptionnelles signées des plus grands.
.Le studio
Apprendre à travailler le contraste et le cadrage, c’est une chose, mais ce n’est pas encore faire "ses" images. Richard Nourry décide de continuer sur le chemin de la connaissance et se fait engager dans un studio. Là encore, il sait qu’il va passer plus de temps à aller chercher des cafés qu’à regarder dans l’objectif. Il n’empêche. Il assiste des maîtres et comprend peu à peu ce métier. Quand il se sent prêt, avec quelques amis, il monte un collectif de photographes et entame une carrière oscillant entre la publicité, le reportage et le portrait.
D’un sujet à l’autre
Quelques dizaines de campagnes de pub, de catalogues, de rédactionnels et de livres plus tard, Richard Nourry aime toujours autant passer d’une chose à l’autre. Exemples : le travail qu’il réalise avec les musiciens et les danseurs, ou bien les portraits de ces vignerons, charpentés comme leurs vignobles. Ou encore ces livres reportages dont le thème récurrent est la mer, une autre de ses passions.
Ses derniers travaux ont illustré les livres « Marins Pêcheurs aujourd’hui » et « Phares et Balises. Gardiens de l’océan » aux éditions Larivière. (le premier a obtenu la médaille de l’académie de marine en 2005) ainsi que « Sur les traces de d’Artagnan » aux éditions Privat.
Passionné par la musique et par ceux qui la font, il a fait le portrait de nombreux musiciens et collaboré à divers magazines de jazz.
texte d'Anita Coppet
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