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Tout petit, il paraît tout mimi comme ça, au premier coup d'oeil. Parce que les histoires d'adolescentes solitaires, un peu à l'écart au milieu de ce charivari de lycéens excités, c'est un rien émouvant. Ça ramène tout un tas de souvenirs plus ou moins lointains. On verse sa petite larmichouille.
Bref. Ici, ce n'est pas vraiment le topo. C'est vrai, il y a bien une adolescente qui se cherche, qui est seule, petit bouchon solitaire qui se balade dans une mer pleine de poissons (des morues, des requins, des étoiles de mer, toute la faune maritime est là). Mais cette adolescente là, elle est différente, légèrement asociale, et obnubilée par une envie de faire mal. Et ça se ressent dans l'écriture. Le style de madame Wataya est aussi particulier que la jeune demoiselle dont elle raconte l'univers. Et c'est ma foi bien plaisant.
Alors soit, ça n'avance pas très vite. Il y a peu, voire pas d'action, si ce n'est ce qui illustre la vie quotidienne d'adolescents tourmentés. Mais la distance créée entre la jeune Hatsu et les autres jeunes de son âge, ce malaise qu'on ressent lorsqu'on pénètre dans l'intimité de cette jeune fille, tout cela est terriblement addictif.
On regrettera simplement que l'auteur n'ait pas pris la peine de pousser un peu plus loin ce petit univers, que ce caractère légèrement sociopathe n'ai pas été plus abouti. Dommage.
Appel du pied est un petit roman du quotidien, mais cynique, et terriblement lucide sur la vie.
Je ne suis pas masochiste, mais il faut bien avouer que ce livre est un agréable coup de pied au derrière.
[http://arale-books.over-blog.com/article-appel-du-pied-_-risa-wataya-114066222.html]
Appel du pied
Pauvre chose
Appel du pied
Si le sujet n'est pas dénué d'intérêt, j'ai trouvé le développement assez plat et le récit manquant de profondeur. Cependant, il capte habilement l'essence d'un journal intime, brut et sincère, reflétant les pensées et les préoccupations ordinaires de la vie lycéenne.
Le personnage de Ningawa, obnubilé par un mannequin auquel il voue un culte, s'éloigne de la réalité et s'engage dans des scènes grotesques, soulignant ainsi les défis de la jeunesse japonaise pour trouver sa place dans la société.
En dépit de ses lacunes, ce récit témoigne d'une sensibilité touchante et met en lumière les luttes intérieures des jeunes pour être acceptés et compris.
Appel du pied
"Faussement léger" annonce la 4ème de couverture, ce que j'approuve totalement. Sans doute ce récit cible assez justement une réalité actuelle, à savoir les difficultés qu'éprouvent les jeunes nippons à démontrer leurs sentiments, à dépasser une pudeur aussi ancestrale que naturelle (?). Heureusement que quelques notes humoristiques ponctuent ce texte introspectif.
Trembler te va si bien
Appel du pied
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Le titre, il est beau. Trembler te va si bien. Le visage également, il est beau. Cette femme aux yeux tristes, mais déterminée, qui ne sourit pas. Cette couverture est a l’image du roman, parlant d’une femme triste qui ne sourit pas. Mais elle est déterminée, un peu. Peut-être ?
Risa Wataya, elle écrit beau. Je n’avais jamais lu de romans japonais avant, et ce premier ci me confirme cette idée peut-être toute faite, peut-être (sûrement) idiote où les œuvres sont toutes en douce poésie, en âmes meurties qui, comme dirait Diogène le Cynique, s’abstiennent et supportent le fardeau de la vie. J’ai vu que cette jeune auteur c’est faire récompensée pour son écriture, pour son roman précédent. Je comprends. Le prix Akutagawa, s’il vous plaît ! Il est considéré comme le Goncourt japonais. Oh oui, je comprends. Parce que Risa Wataya écrit beau. Ses phrases coulent comme au printemps, doux et tendres, et derrière, il se cache toujours quelques sous-titres mélancoliques, tristes et même dépressifs. J’ai eu pourtant un peu plus de difficultés avec la narration. C’est le point de vue de Yoshika, la femme triste (mais déterminée) qui ne sourit pas de la couverture. C’est un long monologue dans son crâne, prenant mentalement à partir les personnes évoquées, les tutoyant sans vergogne. Comme toute personne qui pense, Yoshika passe du coq à l’âne lorsqu’elle pense. Les situations s’emmêlent, parfois même. Mais rien de très dérangeant, parce que Risa Wataya écrit beau.
Elle écrit si beau que l’action décrite n’a pas forcément d’importance. Yoshika est là, grande femme triste qui ne sourit pas, déternimée à ne rien montrer, a ne rien regarder, à ne rien voir. Yoshika aime une garçon qui ne se souvient même pas comment elle s’appelle et est aimée par un autre avec une bouche comparée à une ventouse. Elle en aime un, elle l’idéalise, et elle est dégoûtée par l’autre sui lui propose une vie dans les clous, l’une de ces vies acceptables par la société japonaise, rendant la condition de la femme en une jolie blague de bout de comptoir. On en parle, justement, dans Trembler te va si bien, de ces conditions féminines difficiles. Au Japon plus que dans nos pays européens, la femme doit être dans sa cuisine à élever les enfants et à préparer un joli bentō à son mari pour le lendemain. Là bas, une femme qui travaille est seulement une femme pas encore mariée, même si c’est bon, la société ancestrale commence enfin à changer. Yoshika n’a rien à faire dans ce monde de requins fonctionnant qu’au travail. Elle rêve. Yoshika, elle rêve de son Ichi tandis que Ni la courtise avec la maladresse gênante de l’homme qui pense avoir déjà tout gagner.
Ce roman est merveilleux, parce qi’il est doux et tendre, subtile et poétique. Risa Wataya m’a comblée avec ce roman, elle m’a fait trembler, elle m’a fait aimer Yoshika. Il est tout court, mais tellement bien mener qu’il en devient merveilleux !
Trembler te va si bien
Trembler te va si bien
Jusqu’à on peut comprendre véritablement ses intentions mais voilà elle va faire la rencontre de Ninagawa. À partir de cet instant, sa comporte va complément changé car je l’ai trouvé très incohérente de vouloir suivre un garçon comme lui ou encore même pire avoir des sentiments. Concernant Ninagawa, il a réussi à me faire peur avec son obsession pour cette chanteuse Oli-Chang. Il collection tout et n’importe quoi venant d’elle et cet amour qu’il a pour elle est vraiment très dérangeant. Ça me mettait même mal à l’aise.
En conclusion, L’appel du pied est vraiment un livre que je ne recommande pas car autant l’histoire est insipide car il ne se passe pratiquement rien mais surtout la fin est brute que j’en suis même venue demander s’il ne manquait pas des pages ou un chapitre ! Une déception …
https://erikia.wordpress.com/2015/12/21/appel-du-pied/
Appel du pied
C'est étrange mais avec celui-ci aussi j'ai eu cette même impression d'ambiance pesante et lourde.
Hasegawa est un personnage assez attachant. Une adolescente mal dans sa peau qui a du mal à se positionner et à trouver sa place. Toutefois, j'ai eu plus de mal avec le personnage de Ninagawa. J'ai presque eu peur de lui!
Comme pour son précédent roman ... la fin arrive vite! Un peu trop vite.
Appel du pied
J'ai eu au départ du mal à le lire et j'ai dû parfois le poser car l'ambiance était lourde. Au final, je dirai que c'est un bon roman. J'ai été désappointée par lafin et j'avais envie d'en savoir plus. Toutefois, je pense que l'auteur a bien choisi son moment pour mettre le point final.
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D'un côté, on a un style drôle et oral qui est un véritable plaisir à lire ; une héroïne complètement déglinguée, un peu trop d'ailleurs sur le dernier chapitre ; et des scènes assez drôles.
Mais, de l'autre, on sait avec lequel des deux elle va finir dès la première page, ce qui détruit l'enjeu du livre ; on nous parle régulièrement de scènes clés que l'auteure n'a même pas pris la peine de nous montrer, elle y fait juste référence.
Trembler te va si bien
Appel du pied