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Par rapport à mes précédentes lectures en Anglais (YA notamment), j'ai remarqué la différence de langage assez rapidement : bien que le vocabulaire employé ne soit pas d'une complexité folle, il y avait une nette augmentation du niveau d'expression, qui était plus exigeant pour la compréhension, mais également plus satisfaisant à lire. Enfin, satisfaisant... j'avais quand même l'impression de traverser les pièces d'une grande et belle maison munie d'une toute petite lampe torche, en appréciant l'histoire par fragments et non dans son ensemble.
Un peu de frustration, donc, mais c'est le prix de la lecture en VO.
Quant à l'histoire, je l'ai trouvée très belle et touchante, mélancolique et drôle à la fois. J'ai adoré le moment où Elly dit à Arthur "I'm unpopular and that hurts" et où il lui répond "Popularity, my dear, is as overrated as a large member". Sur quoi Elly demande "What member?". Je trouve que ce passage résume assez bien l'esprit du roman : touchant par les souffrances des personnages et la façon dont ils se réconfortent entre eux, avec parfois des décalages et des incompréhensions, des heurts.
Un joli roman.
Quand Dieu était un lapin
Quand Dieu était un lapin
Dans ce récit, deux thèmes cohabitent ensemble pour nous livrer une lecture mélancolique mais forte : L’art et l’humain. Ils donnent alors naissance à des conversations profondes entre Ellis et sa mère, où le passé prend le rôle de narrateur. Les personnages sont écrits avec délicatesse. La narration se permet des voyages dans le temps entre les années 60 et 90, où Michael et Ellis prennent chacun la parole. À travers leurs souvenirs, on sent que l’auteure a voulu les traiter à part égale, ne donnant jamais la sensation que l’un est mis plus en avant que l’autre. À la lecture, on finit par assimiler l’amitié à l’amour qui finissent par ne former qu’une seule identité. Car ici, on découvre que la frontière entre les deux est floue, presque insondable tant l’intensité des sentiments font que les deux se mélangent. Annie, joue un rôle important puisque c’est son arrivée qui bouleverse les deux hommes et leur lien. Pourtant, entre les trois l’amitié brille de manière incroyable.
La plume de Winman est fluide et simple sans être schématisée. Au contraire puisqu’il n’y a pas de distinction entre les phrases narrées et les dialogues. Si on départ on est surpris, on finit par adhérer. Cela ne dérange pas du tout à la compréhension du récit. L’apport de sa vision des liens entre les gens et la passion qui fait voler les principes en éclats donne une lecture unique et profonde. Amour, amitié, identité sexuelle, regrets, tragédie, premier amour, souvenirs… tant de mots que l’auteure prend le temps de sublimer en écrivant un récit intime. Winman se permet des descriptions nous faisant entrer dans le récit sans que l’on ne veuille en ressortir. Certains passages semblent comme murmurer à notre coeur. C’est déroutant et impressionnant à la fois.
Concernant le choix de traduction de titre (Thin Man en VO), on comprend dès la fin du bouquin pourquoi ce titre et pas un autre. Personnellement, j’y vois même trois significations : la première fait écho aux bonheurs passés présent dans ce bouquin. La seconde peut veut venir du fait que « tournesol » trouve son origine dans l’italien “girasol” voulant simplement dire “qui tourne avec le soleil« . La fleur en elle-même rappelle un soleil avec son centre foncé comme pour représenter le noyau ardent de notre soleil, et les pétales pour les rayons. Et puis, il y a aussi le parallèle entre le tableau de Van Gogh. Enfin, bref tout ça pour dire que c’est vraiment très bien trouvé.
En conclusion, en moins de 200 pages, Tous les soleils d’hier réussi à nous toucher de manière profonde et sincère. Sarah Winman décrit avec brio la dimension des liens entre les personnes sans jamais sonner faux. Une lecture courte mais vibrante où les protagonistes prennent forme sous nos yeux peu à peu telle la fresque éblouissante d’un artiste.
Tous les soleils d'hier
Quand Dieu était un lapin
Quand Dieu était un lapin
Alors, je vais jouer les troubles fêtes...
Je ne dirai pas que j'ai détesté ce livre. J'ai réussi à passer un bon moment parfois. Seulement voilà en dehors de quelques scènes très agréables à lire ou très drôles ça ne rattrappe pas à mes yeux le reste.
Les personnages sont tellement stéréotypés. J'ai l'impression de les avoir déjà croisé au cours de différentes lectures. En dehors de Jenny Penny qui ne peut à elle seule relever le roman, je trouve les autres personnages peu originaux par leur caractère... Du déjà vu, lu, revu, relu....
L'histoire et son déroulement... ça partait bien. Oui au début j'ai vraiment apprécié puis patatra! C'est convenu, sans originalité, prévisible etc. Ca sonne creux et c'est du vu et revu. Ca sent la facilité pour moi.
J'ai été déçue par ce roman.
Quand Dieu était un lapin
Elly raconte son enfance tout d'abord, avec son lapin appelé "Dieu" (ce qui lui vaut le coin par sa maîtresse sans qu'elle comprenne vraiment pourquoi), sa copine Jenny Penny, qui essaie d'échapper à sa maison et sa mère, avec ses cheveux indomptables et ses jolies cartes en papier, ou encore son frère. Qui Sait.
De son rôle dans la pièce de l'Avent, avec Jenny Penny déguisée en pieuvre qui effraye le petit Jésus, jusqu'à l'amour de sa tante Nancy pour sa mère, en passant par les nombres sur le bras de son voisin juif, le monde de Elly est celui de tout enfant : à prendre comme il est, même si on n'y comprend pas grand chose.
Et puis un jour, Jenny Penny disparait.
Jusqu'à de nombreuses années plus tard, où le monde est toujours comme avant : incompréhensible. Et que l'on en sait plus comment tout réparer.
A s'étouffer de rire comme de larmes.
Quand Dieu était un lapin