Scott Nicholson

Captivant

Freeman est un adolescent perturbé qui navigue de foyer en foyer, jusqu'au jour où il se retrouve à Wendover, un établissement spécialisé pour traiter les névroses de tous ces jeunes "laissés-pour-compte". Mais il réalise bientôt qu'il se passe des choses étranges derrière les murs du sinistre refuge. Il fait la connaissance d'une jeune anorexique qui ne fait que confirmer ses peurs... Dans quel endroit sont-ils donc tombés ?

Si le quatrième de couverture ne dévoilait pas la quasi-totalité de l'histoire, on se laisserait prendre facilement dans les filets de cette angoissante aventure. C'est bien écrit et le petit Freeman est un personnage intelligent, rusé et extrêmement attachant.

Argent : 7,5/10

Cela faisait un moment que ce livre trônait dans ma pile à lire ! j’ai longtemps hésiter avant de me lancer….

Quelle ne fut pas ma déception ! malgré cette 4ème de couverture très prometteuse, je me suis ennuyée ! j’ai été déçue par le style ! la traduction pour moi est de qualité plus que moyenne et les fautes d’orthographes (pourtant je suis loin d’être une experte) sont impardonnables dans un livre grand public ! je ne parle pas de coquilles bien entendu…

L'aventure continue pour nos personnages, un peu longuet parfois. Heureusement l'originalité est au rendez-vous, par contre je suis souvent obligé de revenir en arrière pour me relire. Est ce que c'est dû au style de narration ? A la traduction ? C'est un peu pénible car la lecture n'est pas lisse, dommage car tous les ingrédients sont réunis pour que ce soit un bon moment. C'est un peu comme cela que l'on passe de l'argent au bronze.

L'histoire continu... cela avance moyennement. Rien de transcendant dans ce volume. Je ne dis pas qu'on s'ennuie ferme, mais bon.

Un volume de plus dans la saga, nos personnage suivent leurs cours.

Une petite entrée en la matière qui nous raconte comment tout à débuter et suffisamment intéressant pour donner envie de lire la suite.

Mes biens chers frères mes biens chères sœurs…. Priez pour nous….

Pour Ronnie Day, âgé de 13 ans, la vie n’est pas drôle : ses parents se sont séparés, son frère Tim est une calamité sans fin, pas moyen de savoir si Melanie Ward l’aime ou le déteste et Jésus-Christ ne veut pas demeurer en son coeur. En plus, il doit passer tous les jours à à côté de l’église rouge, où se cache le Monstre du Clocher.

Mais son plus gros soucis est qu’Archer McFall est le nouveau prédicateur à l’église et que sa maman veut qu’il assiste à des messes de minuit avec elle.

Le Shérif Frank Littlefield déteste l’église. Son petit frère est mort dans un accident à l’église il y a vingt ans de cela et il commence à voir le fantôme de son frère…

L’écriture est fluide, l’imagination du lecteur est très souvent sollicitée et mise à mal… La narration donne plusieurs perspectives, ce qui parfois est difficile à suivre. Pour autant le développement de l’intrigue est très bien fait et cela rend agréable la lecture.

Le rendu d’un esprit mentalement déséquilibré est parfait.

C’est sanglant et effrayant. Mais le plus flippant, ce n’est pas tant le surnaturel, mais bien le pouvoir que les fanatiques religieux ou les gourous peuvent avoir sur leurs victimes confiantes.

A quel moment la ferveur religieuse franchit-elle la ligne? A quel point devient-elle obsession au-delà du raisonnable ?? Plus important encore, qui peut dire que sa croyance est meilleure que celle de son voisin ?

Un livre présenté comme un livre d’horreur, mais c’est plus un thriller fantastique.

Je n’ai pas eu cette peur escomptée, mais tous les ingrédients sont là : un homme qui fait froid dans le dos, un prêtre suicidaire, un rire ambiant effrayant, une maman qui embarque ses gosses dans sa folie religieuse, des petits garçons avec des vers dans la bouche…

L’histoire aurait pu être élaguée d’une centaine de pages,

Le point négatif, qui peut rendre la lecture incompréhensible, c’est la traduction !

Une lecture troublante, une histoire d’hommes effrayants…

Une intrigue bien construite, qui oscille entre surnaturel et enquête policière, l’auteur maintien le suspense avec une histoire intéressante, dont on a envie de découvrir le fin mot, même si certains aspects restent prévisibles.

Malgré un ressenti général assez positif, j’ai été très déçue de la traduction ! Mais que c’est -il passé ?

Beaucoup de phrases mal traduites, ce qui oblige à une relecture pour en comprendre le sens, ce qui casse le rythme de lecture et gâche l’intrigue !

Une bonne entrée en matière dans la série "l'Après", cependant c'est un peu court...... Dommage

Nouvelle plongée en apnée au fond de mon pense-nouille, et je trouve Le passeur d'âmes, écrit par un certain Scott Nicholson, inconnu au bataillon pour ce qui me concernait jusqu'à aujourd'hui.

Il se trouve que cette novella m'a été offerte par Ah ma zone lors de l'acquisition de ma kindle... et je l'avais oubliée.

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Je suis arrivée sur la pointe des pieds dans la maison des Ridgehorn, en pleine Assise... sorte de veillée funèbre qui réunit la famille et les amis du défunt Jacob Davis, mari et père adoré.

Roby Snow m'avait ouvert la porte... un cousin éloigné qui s'acharne à faire manger tout le monde, essentiellement de la tarte à la mélasse.

Vous comprendrez pourquoi en lisant le livre.

Jacob avait quatre enfants, qui commencent à se disputer l'héritage alors qu'il n'est même pas enseveli et que leur mère est dévastée... Au point de se saisir du verre à dentier de son défunt mari d'une propreté plus que douteuse pour faire boire l'une des convives.

Que de suspense, n'est-ce pas ?

C'est qu'il s'en passe des choses dans cette famille et son entourage.

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Un roman très agréable à lire, essentiellement grâce à la plume remarquable de l'auteur, qui ne manque pas d'humour. J'ai souri tout du long.

L'histoire est très sympa, rien de vraiment horrifique, les non-amateurs du genre peuvent s'y frotter sans problème.

J'ai mis le reste de la bibliographie de Scott Nicholson dans mon pense-nouille, je vous en parlerai en temps voulu.