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Tous les livres de Stéphane Aucante

À Mulhouse comme en France, le confinement dure depuis des mois. Kwonmin vit seul dans un HLM et sent bien qu’on s’y méfie de lui : il est vietnamien, c’est à dire presque chinois… Un soir, il rencontre Mado, jeune infirmière d’origine africaine ; elle vient de s’installer dans l’immeuble, proche de l’hôpital où elle travaille. Entre l’émigré pointé du doigt et la jeune femme épuisée, le courant passe tout de suite. Courant aux ondes qui vont déclencher un tsunami ! Ces deux étrangers sont vraiment de trop dans l’immeuble — aux habitants plutôt bizarres de surcroît ! À moins que tous aient leurs vies, et leurs raisons ?

Un polar amoureux mené de 86 mains de maître par des auteurs de tous horizons qui livrent avec leurs styles et leurs mots, une certaine vision du confinement, sans pathos ni repli sur soi, mais avec force, émotion, humour, un sens aigu de la fiction, et, au final, une belle humanité.

Les auteurs : Ahmmad ABOUHALTAM – Arnaud AGNEL – Annick AUCANTE – Florence AUCANTE PARAWAN – Lucie AUCANTE – Maxime BAILLY – Inès BARRÉ – Catherine BAYLE – Laura BISGAMBIGLIA – Kamylia BERTHOU – Sylvie BESSON – Marielle BETTEMBOURG – Pascale CHATIRON – Marie-Josèphe DARGENT – Clément DAZIN – Emmanuel DOSDA – Léonard FOGGIA – Véronique FROMENT – Mathilde HUMBERT – Laurent JOURNAUX – Abdoulaye KONATÉ – Hervé KOUBI – Dominique LAUDIJOIS – Marie LAUDIJOIS – Pierre LAUDIJOIS – Bryce LOURIÉ – Vincent LUCAS – Antoine MORINEAU – Julien MUGICA – Stephan MULLER – Martine ORTHEZ – Éric PARAWAN – Nadine PERRIN – Raphaëlle RENUCCI – Nicolas ROBERT – Chaher Mohamed SAÏD OMAR – Charlotte SAHAKIAN – Isabelle SCHONHABER – Stanislas SIWIOREK – Frédéric THIBAULT – Claudine VAN BENEDEN – Sabine WESTERMANN – Richard ZWEIG

Début et fin, animateur et humble tricoteur : Stéphane AUCANTE

Sous le regard de : Annick AUCANTE, Martine DIRRENBERGER et Laurent JOURNAUX

Le pourquoi du comment : Stéphane Aucante a lancé, sur Facebook, comme une blague, le 1er avril 2020, l’idée d’écrire « un cadavre exquis en temps de confinement », soit un récit rédiger à plusieurs, voire à très nombreux… Il soumis le projet à un certain nombre d’amis, proches ou lointains, auteurs eux-mêmes ou non, de tous les âges, de tous les continents, en leur envoyant deux pages qu’il avait déjà écrites… Car ce serait ça l’une des règles du jeu littéraire (inventé par les surréalistes) : écrire peu et vite : entre une et deux pages en moins de 24 heures. Autre règle : toujours s’inspirer des pages écrites avant soi, sans chercher à s’en détourner ou s’en défaire. Ce fut facile à Stéphane Aucante d’émettre une telle règle : il avait écrit en premier… Cela dit, il écrirait aussi en dernier… Au final, 43 personnes ont eu envie de jouer à écrire, comme ça, librement, sans pudeur ni gêne, et de livrer sans pathos ni subjectivité leurs émotions, leurs peurs et leurs rêves face au confinement.

Blanche, nous la connaissons tous ! C'est une grand-mère gourmande qui adore la glace à la violette. Une vieille tante coquette qui soigne son maquillage et ses toilettes. Une voisine toute ridée qui râle après la politique et ne sent pas toujours très bon. Et donc, c'est aussi Blanche Hopstein, née Mollard, l'héroïne de ce livre. Pas à pas et de page en page, suivons-la entre un aujourd'hui un peu gris et des hiers plus colorés auxquels elle s'accroche comme elle peut. Notre Blanche serait-elle alpiniste ou férue d'escalade ? Non, c'est une ancienne nageuse en grand bassin, une ex-archiviste experte en plongée dans les grimoires. Le problème, c'est que depuis quelques temps, elle perd la mémoire... Mais c'est aussi l'aînée de la famille, « la quarante » d'un père fermier qui buvait le coup et qu'elle a fui à vingt ans, une étudiante sur le tard, une ancienne femme de gendarme, une mère aimante et attentionnée, alors ce n'est pas la maladie qui va l'impressionner ! Mieux : elle ne va même pas l'empêcher de vivre, à sa manière, une ultime histoire d'amour... Vieillir, c'est dans la tête, jamais dans le coeur.

Palestine by nights aurait pu être le carnet de bord quotidien d’un expatrié français vivant et travaillant à Naplouse, Palestine, ville traditionnelle et enclavée du nord des territoires occupés. Le choc des cultures, la sensualité orientale, le poids de l’occupation israélienne, mais aussi la médiocrité du monde diplomatique français, la « crise de la cinquantaine » et surtout la mort soudaine d’un père en ont décidé autrement…

Après son premier livre de « jeune » auteur, Naplouse, Palestine — Portraits d’une occupation, un recueil où il s’ouvrait aux autres et livrait vingt-et-unes chroniques au plus près des palestiniens et palestiniennes côtoyés pendant trois ans, Stéphane Aucante remplit les blancs laissés entre chaque portrait et s'aperçoit à quel point certains l’ont affecté ; qu'en cherchant à s’approcher de la vérité des autres, il a peut-être trouvé une partie de la sienne ?...

Dans ce nouvel opus arabo-musulman, il retourne donc le miroir, dessine un 22ème portrait, le sien, et nous avoue, par fragments, sans fard ni pudeur, mais avec la même sensibilité, la même humanité, le même sens du détail et de l’humour parfois, à quel point son expérience en Palestine l’a secoué et transformé. Après la lumière du regard bienveillant posé sur les autres, des nuits d’introspection comme une réponse. Des nuits d’amour aussi…

Entre reportage, divagations et moments quasi contés, Palestine by nights rappelle qu’il est des voyages ailleurs qui se muent en quêtes intérieures.

Eve et son frère Charles sont les deux seuls enfants d'un couple d'intellectuels parisiens proches, depuis longtemps, d'un certain François Mitterrand. Louis est fils unique et alsacien ; son père est gendarme, sa mère archiviste. Fabrice, lui, est l'heureux descendant d'une richissime famille d'industriels lorrains. Lycéens de seconde, première ou terminale, tous quatre se rencontrent dans un ciné-club du Quartier Latin qu'ils animent ensemble. Liés fortement par leur amour du 7ème art, puis, pour deux d'entre eux, par l'amour tout court, ils croient devenir amis pour la vie. Mais cette vie-là ne dure pas aussi longtemps qu'ils croyaient : c'est qu'il faut bien grandir et devenir adulte. A quel prix ? En abandonnant quels rêves ?

Eve sera la seule femme admise dans la première promo de la FEMIS mais ne réalisera plus tard qu'un seul long-métrage. Louis se découvrira gay en tombant d'amour pour Charles mais finira par se marier avec Eve. Charles, adolescent, avait un talent fou pour le son et la chanson, mais, adulte, il se contentera de devenir technicien à Radio France. Quant à Fabrice, il vivra de plein la fouet la déchéance de sa famille, ruinée par la crise industrielle des eighties en France. Eve et Louis, années Mitterrand est l'histoire malgré tout joyeuse et enlevée d'une génération perdue, la première en France à avoir connu le déclin social et le chômage de masse - sans parler du SIDA : la génération X.

À travers ce roman à quatre voix se dessine aussi, tambour battant, le portrait d'une France qui, en 1981, fêtait l'élection d'un homme de gauche à sa présidence, et qui, cinq ans plus tard, empêchait sa jeunesse de lutter en faveur de l'égalité du droit d'accès aux études : comme l'a titré Libé à l'époque, « 68 c'est trop vieux, 86 c'est mieux ! »

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