Tous les livres de Thierry Acot-Mirande
Un soir, Peter fait irruption dans la vie du narrateur dont on devine les tentations d'écrivain. Vraies ou fausses confidences ? A dix-neuf ans, Peter est hanté par des voix. Voix issues de ses lectures, bandes-son de films, soundtracks d'une vie incertaine entre le Berlin d'avant la chute du mur et une Autriche presque médiévale. Un monde bascule. Des destins se rapprochent, s'entrecroisent et divergent brusquement en autant d'itinéraires désordonnés, anarchiques. Portrait d'une adolescence fragile et électrique, partagée entre un héritage humaniste et les tentations de la new-wave, dont on devine qu'elle ne survivra pas au siècle qui s'achève.Un soir, Peter fait irruption dans la vie du narrateur dont on devine les tentations d'écrivain. Vraies ou fausses confidences ? A dix-neuf ans, Peter est hanté par des voix. Voix issues de ses lectures, bandes-son de films, soundtracks d'une vie incertaine entre le Berlin d'avant la chute du mur et une Autriche presque médiévale. Un monde bascule. Des destins se rapprochent, s'entrecroisent et divergent brusquement en autant d'itinéraires désordonnés, anarchiques. Portrait d'une adolescence fragile et électrique, partagée entre un héritage humaniste et les tentations de la new-wave, dont on devine qu'elle ne survivra pas au siècle qui s'achève. Thierry Acot-Mirande est critique de cinéma et écrivain. La Vie d'un autre est son premier roman publié. Il est également l'auteur d'un recueil de poésie "Ceux qui blessent " (l'Atelier Akimbo) d'un roman "Anasandra (Gilbert Salachas) et de "Cendres, étoile", recueil de poésie à paraître chez (Akimbo/Gilbert Salachas).
"Maintenant avancer (si marcher était vraiment disparaître) et puis rien sinon l'étendard des pieds morts enterré et lumière emmurée dans cavité expansion du noir savoir enfin émerger de ce qui est refusé
dormir écrire en dormant pour les noces du monstre qui me rêve"
De l'homme qui fait disparaître sa femme entre ses bras au prêtre araignée malais, d'un monde où les parfums se récoltent à celui où le temps se capture comme on prendrait d'énigmatiques photos, Thierry Acot-Mirande nous pourvoit en histoires fascinantes, de celles qui muent un quotidien familier en un univers décalé, doucement poétique mais aussi et parfois délicatement inquiétant.
Une nouvelle livraison de nouvelles avec tout ce qu'il faut dedans (une couverture dépliable en deux couleurs, plus de 300 pages contenant d'authentiques erreurs d'impression et bien d'autres surprises époustouflantes).
Éditorialement, on peut sans risquer de passer pour un idiot dire que Tu dis ça parce que tu m aimes est dans la fière lignée de... de... hmm... oubliez cet argument de vente, désolé.
La couverture très excentrique de ce livre de nouvelles de Monsieur Toussaint Louverture a été dessinée par un certain Benoît Jacques, nous ne nous rappelons plus avec précision qui il est, et comment ce dessin bizarre, qui semble bouger si on le regarde trop longtemps, a pu se débrouiller pour arriver sur notre couverture. Toutefois, nous remercions Benoît Jacques parce que nous n'avions aucune idée de ce que nous aurions pu mettre à la place de... de... Hmm, il vaudrait mieux que j'arrête.
Enfin, si je ne devais retenir qu'un argument sérieux pour vous convaincre de vous procurer Tu dis ça parce que tu m'aimes (hormis que son titre est formidable), ce serait que c'est... c'est...
Quel rapport les écrivains entretiennent-ils avec le fantastique ?
L'acte d'écrire est-il lui-même fantastique ?
Le fantastique peut-il s'immiscer dans l'écriture au point de l'envahir tout entière et avec elle son auteur ?
Est-elle un exutoire, un acte salvateur, ou au contraire une damnation imparable pour celui ou celle qui y succombe ? Et si damnation il y a, quelles formes peut-elle recouvrir ? À toutes ces questions les auteurs présents dans cette anthologie tentent, chacun à leur façon, d'apporter des réponses.
Découvrez-les sous la plume de Matthieu Baumier, Markus Leicht, Tony Mark, Jeanne Faivre d'Arcier, Bernard Jurth, Thierry Acot-Mirande, Robert de Laroche, Didier Rouge-Héron, Roland Fuentès, Christine Ausseur et Daniel Walther.