Tous les livres de Uğur Aktaş
a été jouée avec les élèves du Lycée Saint-Benoît et les étudiants de l’ Université d’Istanbul, Ecole des langues Etrangères, le samedi 25.4.1992 à 11.00 h., pour le 6e Festival de Théâtre Scolaire et Universitaire en Langue française- du 22 au 30 avril 1992- organisé par l’Institut d’Etudes Françaises d’Istanbul en collaboration avec le Bureau d’Action Linguistique.
Les comédiens : - Momie(Marie) : Aslıhan Gürkanlı
- Alex : Tuğrul Erdem
- La Muse : Efimia Servou
- M. Montblanc : Rıfat Aktepe- Madame
- Vernal : Nedret Sivrican- Paul : Juliano Vanakore
- Les étudiants : Sumer Tunca, Melek Akbaş, Ayşe Tokkuş.
Mise en scène : Uğur Aktaş
Reprise : "Mon amie Momie" a été rejouée le mercredi 3 juin 1992 et le vendredi 5 juin 1992 à 19.00h. dans la salle de spectacle de l’Institut d’Etudes Françaises d’Istanbul à Taksim.
Cette pièce rassemble des textes de la littérature française des origines à nos jours. Nous y avons introduit un texte de Brecht (clin d’oeil au centenaire de sa naissance). Méthode d’inspiration dadaïste, déroutante certainement pour les futurs spectateurs, comme l’ensemble de ces auteurs, à leur époque, l’ont été souvent pour leurs lecteurs. Mais au bout du compte, un message simple : recherche d’un certain humanisme opposé aux idéologies...
Le petit Oumoud a la nostalgie de Paris où il a passé ses premières années.
Il se sent étranger dans sa propre ville. Il se réfugie auprès de "Hibou", sage imaginaire qui va l'aider à prendre son envol dans la communauté des hommes. "Hibou" m'a rappelé avec cet air doux, cette musique triste et cette histoire touchante, deux héros de mon enfance, "Le Petit Prince" et "Adam" la grenouille qui mangeait le cœur d'un enfant. Des larmes coulaient sur les visages des jeunes festivaliers sur les cris d'Oumoud...
(Deniz Günce) Jusqu'où peut voler un cerf volant ? Il a une ficelle ! Monsieur Ugur a eu le courage de laisser s'échapper la ficelle"... (Esin Ileri)
" C'est un jeu nouveau, avec des règles dangereuses.
Delphine, tout ce qui sort par ta bouche, tu dois absolument le vivre ou le ressentir. Tu dois tout dire, tout ! Même si ça se termine par une défaite ou un regret. " Histoire diabolique !