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Livres - Bibliographie

Yves Gibeau


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Tous les livres de Yves Gibeau

Histoire d'un enfant de troupe, rebelle, passionné de cinéma, devenu soldat courageux, épris d'idéal (pendant la Seconde Guerre mondiale). Épopée libertaire, charge virulente contre l'hypocrisie militaire et la démagogie - dont Yves Boisset tira un film bouleversant avec Jean Carmet.

« Sous la pression de son père, adjudant à la retraite et ancien combattant de 14-18 Simon Chalumot, douze ans, est envoyé comme enfant de troupe aux Ecoles militaires. Il découvre le cœur de servitude de rapports soi-disant humains, la surdité militante, l'écœurante brutalité d'un monde où la hiérarchie remplace le raisonnement. Son insoumission passe par le conflit permanent, les tentatives d'évasion et le suicide, la solitude. Le calvaire va durer plus de dix ans, jusqu'à la bataille de Dunkerque, en 1940 »

Grand succès populaire dès sa parution en 1952, l'aventure du jeune Chalumot, sorte de "Bardamu (...) qui n'aura jamais trouvé l'horizon de sa fuite", a été vendue à plus d'un million d'exemplaires. " Vous connaîtrez de suprêmes extases, de voluptueux frissons, voire des spasmes de joie en lisant Allons z'enfants... » (René Fallet, Le Canard enchaîné)

Peu après la paix de 1945, un entraîneur, Julius Henckel, retrouve par hasard Stefan, un des meilleurs coureurs à pied de l'avant-guerre, porté disparu en 1943.

Mutilé, désespéré, Stefan se cachait sous un faux nom et supplie qu'on l'abandonne. Pourtant Julius entreprend de lui redonner le goût de la vie, de l'effort, de la victoire. Et Julius foulera de nouveau la cendrée... Un beau roman d'amitié, de courage, de ténacité, à découvrir ou à redécouvrir.

Le village de Rampagnes, dans les Ardennes, doit être évacué à cause de l’avancée des troupes allemandes. L’exode s’organise sous l’ordre du maire, Barbreux, chacun renonçant, la rage au cœur, aux bêtes, aux moissons, à une richesse qui ne viendra pas. Autour du vieil Arsène, soupçonné de cacher un trésor chez lui, les intrigues se nouent, que l’évacuation rend plus brutales et sournoises encore. Tandis que la mort et le désespoir s’abattent sur les réfugiés, une obsession secrète entretient les courages et la haine devient source d’énergie. Dans la lutte sournoise pour le magot d’Arsène, Désiré Machu exprime avec véhémence ce que tous pensent. Sa hantise tourne au délire, et même la présence des Allemands n’empêchera pas la course aux « gros sous » de se poursuivre jusqu’aux limites du sordide et de l’odieux.

Dans une fresque parfois hallucinante, Yves Gibeau retrace la vie d’un village, moins troublée par la guerre que par les passions sous-jacentes auxquelles l’exode prête soudain une intensité effrayante.

"Ils commençaient à rigoler, les gens. J'étais toujours là, pas très jovial d'allure, la peau et les os, mais vivant. Je savais ce qu'ils pensaient, ce qui les démangeait de me crier du milieu de la place : "Alors, pas encore décidé ? On hésite ?" C'est pas commode de mourir, même avec la meilleure volonté..."

C'est pas commode de mourir et c'est encore moins commode de vivre, quand on a, comme le narrateur, hérité de sa mère le goût des larmes et reçu de son père plus de coups de pieds au cul que de caresses.

On n'est pas très armé pour affronter les surprises qu'elle vous révèle, l'existence, comme une chienne qui flaire la débandade de vos méninges en pré-retraite, avec votre plume d'écrivain pour seule compagne et vos souvenirs pour uniques copains.

Alors le retour au vert patelin de votre enfance peut prendre les couleurs d'un enfer quotidien...

Après plus de vingt-cinq ans de silence, Mourir idiot signe le grand retour d'Yves Gibeau au roman. Et c'est un superbe roman que ces pages poignantes, où brûlent la difficulté d'être, le refus de la médiocrité et la rage des mots.

La censure allemande ne trouve guère à son goût le reportage écrit par Stéphane à son retour de captivité. Quand on est rapatrié avec de faux papiers, la prudence commande de se faire oublier. Stéphane renonce à ses ambitions de journaliste et se réfugie à Marseille. Alors commence la chasse aux emplois. Il y faut des relations, de l'entregent et du flair, mais Stéphane en est totalement dépourvu. Un camarade de rencontre lui procure quelques « combines ». Peu importe pourvu que cela se solde par un repas chez Tortoni... Au restaurant, il rencontre Nathalie. Il entrevoit soudain la fin de la série noire. C'est compter sans la guerre, les rafles, le mauvais sort qui s'acharne dans la Marseille fiévreuse de 1943.

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