Michel Lebrun

Déçue

Attention ce n'est pas un roman policier mais plus un roman d'aventure avec des personnages caricaturaux une intrigue téléphonée sans que ni tète qui ne tiens pas la route beaucoup de descriptions qui ne servent a riens et qui deviennent ennuyeuse. Une fin irréaliste Un ensemble qui sonne faut Dommage car l'idée de l'histoire été originale

Au début, j'ai été perplexe. Je ne savais pas si je devais rire ou pleurer devant ce roman qui commençait d'une drôle de façon. Le héros, Pascal, armé jusqu'aux dents s'en va tuer trois hommes... sauf que lorsqu'il arrive, ils sont déjà morts ! Qui les a tués ? Peu après, le livre se poursuit sur un flash back. Six mois auparavant, Pascal et ses deux amis se trouvent tous les trois poursuivis par le Trésor Public. Les impôts menacent de les ruiner plus qu'ils ne le sont. Alors, Pascal a une idée géniale (pour lui) : il parvient à convaincre ses copains d'ouvrir une maison de prostitution (et de prostituer leurs épouses). Pascal aussi est marié à une merveilleuse Japonaise objet de fantasme (bonjour les clichés sexistes, racistes et sexuels déplacés... mais n'oublions pas que le livre a été publié en 1970, époque particulièrement affreuse de ce point de vue-là). Pascal parvient à persuader ses amis et les femmes de ceux-ci à jouer les prostituées et les proxénètes (mais se garde bien de prostituer sa propre épouse, bien sûr ! En plus, la cousine de sa femme arrive du Japon avec deux cousins). Et là, tout marche comme sur des roulettes ! Les trois macs de fortune remboursent le fisc, mènent un train de vie luxueux. Mais ça ne peut pas durer éternellement. Et les ennuis commencent... Et là, je ne raconterai pas la suite. Ambiance pourrie des années 1970 (super sexiste, horrible, "beauf", raciste, etc...), tout y est ! Et j'ai bien rigolé tellement c'est peu sérieux. C'est peut-être un livre comique et je ne le savais pas. Rien que pour cela, je vais le mettre en liste d'or !