Richard Ste-Marie
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Quelques chiffres
Note moyenne : 8.27/10Nombre d'évaluations : 15
0 Citations 16 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
c'est la première fois que je lis un roman policier du nouveau monde; j'ai acheté cet ouvrage lors du dernier salon du livre de Genève où l'invité d'honneur était le Québec on se rend compte que la trame humaine ne change pas, que ce soit de ce côté là ou sur le continent européen les expressions employées ouvrent sur un autre monde littéraire par contre le mystère est bien gardé et accroche le lecteur; et ensuite tout s'emballe, tel un feu d'artifice beaucoup de thèmes de société sont évoqués et nous amènent à des réflexions intimistes sur l'évolution sociétale du genre humain: le bien et le mal, les limites dépassées ou pas, etc.
Les recherches dans les différents domaines et secteurs ont été faites de façon pointue et ne trompent donc pas le lecteur, puisqu'elles ont été rondement menées et de façon véridiques par des personnes du métier
L'auteur s'implique très singulièrement également dans l'histoire de Collard et on ne s'en étonne pas lorsqu'on connaît le parcours de vie personnelle de l'écrivain
Afficher en entierSource texte: Le Droit
Loin des flics torturés et retors, Richard Ste-Marie propose plutôt un rafraîchissant modèle de policier persévérant, cultivé et heureux en ménage"
Afficher en entierUn polar qui se lit bien. Mais je trouve que les policiers sont trop peu présents dans cette histoire. On voit sombrer mentalement le meurtrier.
Afficher en entierExcellent polar québécois. Rien à envier aux sommités dans le domaine, comme Patrick Sénécal, par exemple!
Afficher en entierRichard Ste-Marie nous offre ici une autre enquête de son inspecteur Francis Pagliaro qu'on a pu voir dans ses autres romans «Repentir», «Un ménage rouge» et «L'inaveu».
364 pages d'une intrigue addictive qui nous fait enchaîner chapitre après chapitre. Des les premières lignes nous sommes plongés au cœur de l'action avec l'inspecteur Pagliaro arrivant sur une scène de crime à Montréal. La scène a à peine refroidi qu'un autre crime est commis à Québec. Le seul lien entre les deux victimes: même arme utilisée.
L'auteur manie habillement la plume pour disséminer ici et là des indices au fil des pages. Il a su créer un personnage d'enquêteur attachant, très humains et avec qui on prend plaisir à tenter de découvrir la clé du mystère. Le personnage de Collard, musicien et professeur à l'Université Laval, pris au chœur de cette tempête avec Pagliaro est aussi très bien créé. Avec tout ce qui lui tombe dessus, l'auteur n'a pas rendu la vie de Collard facile! Loin de là!
Côté narration, on découvre parfois l'histoire d'un point de vue narrateur omniscient (à la troisième personne) et parfois sous celui de Collard (au «Je»). La transition se fait bien et on s'habitue très rapidement.
Du côté des descriptions, elles sont claires et efficaces. On se représente parfaitement la scène et si on connait un tant soit peu les lieux, on s'imagine facilement suivre les personnages au travers des rues et autres endroits. Spoiler(cliquez pour révéler)J'ai souri en lisant la brève description des cubicules de répétitions à l'université, et me suis revue circulant dans le pavillon Casault près de ceux-ci. Les termes musicaux sont bien exploités, en parfait accord avec le titre du roman et la trame de fond.
Bref un excellent roman. Dévoré en un rien de temps. Un roman policier qui vaut mil fois le détour!
Afficher en entierL'auteur nous offre ici encore une fois une autre excellente enquête de son Sergent-Détective Pagliaro, policier que l'on suit dans ses autres romans «L'inaveu», «Un Ménage Rouge» et «Le Blues des sacrifiés».D'ailleurs, j'avais lu «Le Blues des Sacrifiés» avant ce dernier «Repentirs», ce qui m'a valu de me dévoiler quelques réponses sur une des intrigues secondaires bien avant la fin du roman, même si les deux enquêtes elles ne sont pas reliées. Mais ce n'est pas grave. J'y ai pris plaisir quand même.
L'écriture est fluide, les chapitres s'enchainent rapidement tellement on a envie de découvrir les indices et qui est le coupable. Le sergent-détective nous entraîne avec lui dans les rues de Montréal et divers lieux tout au long de son enquête. Comme lui on avance à tâtons dans cette enquête semée de pistes, de fausses-pistes et des mils-et-unes petites choses qui peuvent avoir un lien ou non avec l'affaire en cours. On se laisse prendre au jeu de vouloir mettre les pièces de ce casse-tête en place et découvrir le nom du coupable avant la fin.
Certaines scènes sont rudes, Spoiler(cliquez pour révéler) voire même «dérangeantes», j'ai d'ailleurs sauté quelques passages, mais enfin, ce n'est pas pire que dans Games of thrones ou autres romans et ces passages sont très courts mais cela demeure un polar excellent. Il entre dans mon top 10 de mes romans policiers préférés.
J'attends avec impatience une nouvelle enquête du sergent-détective Pagliaro qui ferait sans aucun doute un excellent personnage pour une série télévisée.
Afficher en entierUn bon polar. Après plusieurs livres de cet auteur , j’aime bien le sergent-détective Pagliaro .
Afficher en entierQuelle agréable surprise que ce roman! Je suis totalement tombée sous le charme de ce cher Monsieur Hammerli. Je peux vous garantir qu’il n’y a pas deux personnages comme lui. Il est tout à fait unique!
J’ai pris tellement de plaisir à lire ce roman que je l’ai lu d’une traite. J’étais incapable de m’arrêter car je passais un moment de lecture fort agréable. Je ne pourrais vous dire le nombre de fois où j’ai souris et même ris seule dans mon salon!
J’ai vraiment apprécié le style narratif. Le fait que Monsieur Hammerli partage sa vie directement avec le lecteur, cela nous permet de nous sentir comme partie prenante. J’avais l’impression qu’il venait de m’écrire une longue lettre où il me partageait ses exploits. Impossible d’être plus près du personnage!
Et comment est notre protagoniste? Il est singulier. Assurément, il n’y en a pas deux comme lui. L’auteur a su créer un personnage hors du commun. Je n’aurais jamais pensé pouvoir m’attacher à un tueur à gages!
J’ai également apprécié les références musicales qui sont incluses au sein du récit. Il est d’autant plus intéressant de retrouver la liste complète en fin de bouquin. Décidément notre tueur à gages n’a pas le profil de l’emploi. Il connaît la musique classique comme ce n’est pas possible. Avez-vous déjà vu cela vous un tueur à gages mélomane?
Vous l’aurez compris, j’ai réellement apprécié ma lecture et le seul bémol que je retiens c’est la longueur du roman. J’en aurais bien pris une centaine de pages de plus! Je vais drôlement m’ennuyer de Monsieur Hammerli et de son humour noir!
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Afficher en entierUn roman qui se lit bien . C’est surprenant de voir que le narrateur est le tueur à gages .
Afficher en entierUn petit bouquin, mais il fait vivre plusieurs émotions. Un crime horrible, sanglant et non prémédité vous attend dès les premières pages de ce roman!
Dès le premier jour, soit le 14 octobre, le crime est commis. Ce qu’il faut comprendre c’est que Vincent est un homme bien ordinaire, peut-être trop ordinaire. Il travaille et il réussit bien dans son domaine. Il a une belle maison et une femme magnifique. Il a tout pour être heureux. Mais voilà, il décide de revenir un jour plus tôt de son congrès et trouve sa femme aux lits avec deux hommes. La folie l’emporte sur la raison et tous vont périr.
Pour le sergent-détective Pagliaro, il se retrouve à chercher une femme disparue ainsi que deux hommes. Avec les informations dont disposent Pagliaro, rien ne permet de penser qu’il puisse y avoir un lien entre eux. Pagliaro ne croit pas aux coïncidences et c’est pourquoi il garde le dossier ouvert. Il veut savoir ce qui s’est passé. Trois disparitions le même jour, cela fait trop de coïncidences!
Est-ce que le crime parfait existe? Il faudra lire le livre pour le savoir. Et si la réponse est positive, peut-on vivre avec cela sur notre conscience pour le restant de sa vie?
Ces temps-ci, j’ai la chance de lire de bons livres et cette fois-ci, j’ai pris vraiment plaisir à suivre cette enquête. Nous suivons Vincent tout au long de sa descente aux enfers. Nous assistons à sa déchéance où sa culpabilité prend de plus en plus de place. Personnellement, je peux comprendre la fureur de Vincent à son arrivée, mais pas son geste extrême. Allait-il s’en sortir aussi facilement que prévu? A-t-il bien pensé à tout et rien oublier qui pourrait l’incriminer?
Quant au sergent-détective, je dois avouer que je suis tombée sous le charme. C’est un homme passionné par son travail et qui ne laisse rien au hasard. Il est consciencieux dans son travail et c’est peut-être pour cela qu’il réussit aussi bien dans son métier.
C’est le premier roman que je lis de cette saga et je dois avouer que je suis curieuse de lire les autres tomes. Encore une fois, je fus conquise par la plume de Richard Ste-Marie et j’ai pris un immense plaisir à suivre l’enquête. Vincent Morin a-t-il commis les meurtres parfaits?
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Afficher en entierDédicaces de Richard Ste-Marie
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Biographie
Il est né à Québec en 1945. Donc parallèlement à sa carrière de professeur à l'Ecole des arts visuels de l'Université Laval (1970-2000), il a poursuivi une carrière de musicien. Après des études de clarinette au Conservatoire de musique de Québec, il commence à seize ans une carrière de saxophoniste dans un groupe de jazz tout en faisant partie de la fanfare de la Réserve de la Marine royale canadienne. Suivent différentes participations à des groupes de musique populaire qui l'amènent à jouer un peu partout au Québec jusqu'au début des années 70
De 1980 à 1984, il joue avec la Fanfafonie, un des groupes pionniers d'animation de rue au Québec. Le groupe se produit dans différents festivals et fêtes populaires au Québec, au Canada et en Europe. Après deux tournées européennes, la Fanfafonie participe aux fêtes de Québec 1534-1984, événement qui présidera à la fondation du Cirque du Soleil
Après sa retraite de l'enseignent, Richard Ste-Marie se consacre à la radio (CKRL 2002-2010) et à l'écriture. Il a publié trois romans et une dizaine de nouvelles, dont Monsieur Hämmerli qui a remporté le Prix Alibis en 2010. Son roman L'Inaveu, finaliste 2012 du Prix Saint-Pacôme du roman policier et du prix Arthur-Ellis en 2013, a remporté le Prix Coup de coeur, décerné par le club de lecture de la bibliothèque Mathilde-Massé de Saint-Pâcome. En 2015, son troisième roman, Repentir(s), a été finaliste au Prix Tenebris et au prix Arthur-Ellis
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