Martine Schachtel
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Note moyenne : 7.33/10Nombre d'évaluations : 6
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Les derniers commentaires sur ses livres
Livre très intéressant, on y découvre l'envers du décors, peut a la fois effrayer certains patients et à la fois les aider à comprendre que les soignants ne sont malheureusement pas toujours accessibles, et rassure un peu les soignants qui se disent qu'il n'y a pas que dans leur établissement où il y a des problèmes, l'originalité tenant au fait que c'est une cadre supérieure de santé qui a écris donc on voit aussi la difficulté de gestion du personnel, édifiant
Afficher en entierJ'ai beaucoup aime ce livre, j'ai appris plein de choses sur le métier de cadre qui montre bien qu'il n'est pas evident de travailler dans le milieu paramédical et de trouver du personnel.
Afficher en entierEn trainant à la bibliothèque le titre de se livre m'a attiré ainsi que le résumé. Je m'attendais carrément à autre chose.
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Biographie
Biographie
« Martine Schachtel a voulu être infirmière(...) par tradition familiale mais surtout par passion. » (première ligne du quatrième de couverture de "J'ai voulu être une infirmière", publié chez Albin Michel en 1991), et cette passion l'habite toujours aujourd'hui.
En 1988, elle joue un rôle pionnier dans les mouvements revendicatifs des infirmières, visant à reconnaître leur travail, rédige en 89, après avoir obtenu satisfaction, "Ras la seringue/ histoire d'un mouvement". Elle poursuit sa tâche de porte-parole, rédige des articles dans les revues médicales, commence l'écriture d'un premier roman, "Ne souffre plus, je t'aime", « une histoire simple et vraie, d'une infirmière et d'un malade pour lesquels l'amour est un remède, plus fort que la maladie, plus efficace que le meilleur des médecins... » (Albin Michel-1995)
Cette même année, Martine Schachtel se voit proposer un poste d'infirmière-chef à la prison de Fleury-Mérogis: il s'agit en fait pour elle, de créer le premier service de soins ambulatoires dans une prison. Pendant quatre années, elle se bat contre « les routines d'une administration pénitentiaire hostile aux bonnes femmes en blanc », et dévoile alors la « dureté de la détention dans ce qui est la plus grande maison d'arrêt de France ».
En 1998, la militante convaincue utilise le genre policier pour faire passer ses idées avec Morts en série à l'hôpital, et poursuit dans le genre en 2003 avec Présumée coupable, dans lequel elle s'inspire de son expérience de la justice, de l'univers carcéral, de ses excès et ses abus irréparables. Entre-temps, en 1999, elle a rédigé "Le guide pratique des soins infirmiers à domicile", mais surtout entreprend de dénoncer au travers d'un livre, "Femmes en prison: les coulisses de Fleury Mérogis" (Albin Michel-2000) le sort des bébés incarcérés avec leurs mères jusqu'à l'âge de 18 mois. (http://m.marianne2.fr/index.php?action=article&numero=143303 )
Martine Schachtel poursuit aujourd'hui (réf. année 2008) sa carrière d'infirmière à l' Hôpital Européen Georges Pompidou, y occupe le poste de cadre supérieur dans l'Unité de douleur thoracique, et intervient sur ce thème dans diverses conférences.
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