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— C’est pourtant un reproducteur, il fréquente beaucoup les dames, plaisanta-t-elle.

— Tu parles ! Un boute-en-train fait tout le boulot d’approche avec la jument, et El Diablo entre en scène pour les trois dernières minutes avant de se faire réexpédier dans son box. Quelle vie !

Julia se raidit, réalisant que Casey faisait sans doute un parallèle inconscient entre l’animal et lui-même à l’époque où il se faisait payer pour « honorer » les femelles avec qui il n’entretenait aucune autre sorte de relation, ainsi qu’avec la solitude actuelle dans laquelle il vivait.

Pas simple. La plaisanterie la plus innocente peut ouvrir la boîte de Pandore. Il va falloir que je réfléchisse un peu plus avant de parler.

— Il a quand même du bol que John soit de la vieille école et ne soit pas passé au cent pour cents insémination artificielle. Sans ça, il ne baiserait que des éprouvettes… Désolé pour le vocabulaire.

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Elle le sentit se coller contre son dos, et il enroula un bras possessif autour de sa taille.

— Nous sommes là, non ? J’ai été blanchi. Les flics ont admis que je n’avais rien à voir dans cette sordide histoire.

— Très bien. On en reparlera demain. Je t’attends à huit heures dans mon bureau. Julia, tu viens. On rentre, ordonna John.

— Sûrement pas, répliqua Casey en raffermissant sa prise. Elle reste ici. Avec moi.

Julia vit son oncle blêmir de colère, mais avant qu’elle ne puisse intervenir, il— Il n’en est pas question. Elle rentre !

— Oncle J…

— Elle reste, répéta Casey en lui coupant la parole. Je me suis plié à toutes vos fichues exigences. Je lui ai tout déballé. On est ensemble, il faudra vous y faire.

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— Veux-tu que je t’aide ? proposa-t-il pour lui rendre service, mais surtout pour tenter de dériver le cours dangereux de ses rêveries.

Sans doute persuadée qu’il se moquait d’elle, Julia s’énerva. Elle riposta :

— Parce que tu sais faire les chignons, peut-être ?

— Non, répondit-il d’une voix qu’il tenta de rendre nonchalante pour cacher son trouble. Mais je sais tresser une crinière pour un concours de dressage de onze façons différentes. Ça ne doit pas être très difficile de te faire une natte et de la relever en cachant les pointes.

Tout en parlant, Casey avait retiré ses gants. Il les glissa dans la poche arrière de son jean. Avant même que Julia ait donné son accord, il tendit la main et enroula l’une des boucles indisciplinées autour de ses doigts, ce qu’il rêvait de faire depuis des mois.

— En plus, toi, tu n’essaieras pas de me mordre… murmura-t-il en plantant son regard dans celui de la jeune femme.

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— D’accord, là, je comprends ! s’exclama Julia. Lena appelle ça « le syndrome de la potiche ». Les mecs qui suivent les mêmes cours qu’elle la prennent pour un bel objet, un truc décoratif sur lequel ils fantasment et se font des films. Et ça leur fait tout drôle quand la blonde qu’ils réduisent à une paire de gros seins leur fout une raclée magistrale et décroche le titre de major de promo.

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Prologue :

Trois ans plus tard, Haras des Pins, près d’Annapolis

«… Il avait beau se rappeler à l’ordre, cette fille le fascinait. Elle l’obsédait. Dernièrement, elle s’imposait même dans son sommeil, lui offrant des rêve à la fois tendres et passionnés, d’un érotise torride. Des rêve qu’il s’étonnait même d’être encore capable de faire.

Il sursauta, arraché à sa transe et manquant de tomber de son perchoir, quand une voix masculine l’interpella brutalement :

- Ça va là-haut ?

Et merde, pris en flag’! Pensa-t-il.

À cet instant, le regard de son boss n’avait rien d’aimable, il allait passer un mauvais quart d’heure. Pourquoi n’avait-il pas fait attention ? Pourquoi avait-il relâché sa vigilance ?

Sautant de la barrière, il fit face aux conséquences… comme toujours .»

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Un gros camion plateau, transportant du fourrage, était arrêté devant. Une dizaine d’employés étaient en train de décharger la remorque et rentraient le foin à l’intérieur du bâtiment. C’était une exhibition de torses nus et bronzés, de muscles saillants luisant de sueur et de Stetsons. Le fantasme des cowboys sexy puissance mille.

— Oh putain ! s’exclama Sam. Tu ne pouvais pas prévenir les copines.

— Je ne pense plus là… je mate, gloussa Julia, les yeux rivés sur Casey.

— Tu n’es pas la seule, fit remarquer Lena.

En effet, un nombre conséquent de clientes mais aussi d’employées avaient déserté les paddocks et leurs postes. Il semblait que ces dames aient toutes eu quelque chose de très important à faire dans la cour.

— La photographe se régale, commenta Sam.

— John n’a pas un engin pour faire ça ? demanda Lena étonnée.

— Si… mais il est en panne. Le réparateur attend la pièce.

— Je dois admettre que Casey est canonissime, dit Sam. C’est indécent. Il n’y a rien à jeter. Par contre, je l’imaginais tatoué, ton dur à cuire.

— C’est vrai que c’est surprenant pour un ancien détenu. Comme quoi, il ne faut pas se fier aux clichés… Vous savez ce qui m’éclate le plus ?

— Non… mais je sens que c’est croustillant, s’amusa Lena.

— Les autres ne peuvent que fantasmer. Moi, je sais ce qu’il y a sous ses fringues et je peux y toucher quand je veux.

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Chapitre 1 :

«… Quand elle avait établi ses plans de carrière -à l’âge de onze ans -, elle n’y avait pas inclus la présence d’un compagnon bipède. Résultat, aujourd’hui, elle en était à se demander si elle en pinçait pour un homme ou si c’était uniquement un effet mal contrôlé de ses hormones réagissant au physique avantageux de Casey.

Une chose était toutefois certaine : Julia admirait la façon dont il s’occupait des chevaux. Depuis son arrivée au haras, il y a six mois, il était passé d’un emploi de simple palefrenier à celui de responsable d’écurie. Il avait un don exceptionnel avec les animaux que beaucoup ici lui enviaient, et s’était vu charger des animaux les plus difficiles, les plus prometteurs.

Parfois, Julia ne pouvait s’empêcher de se demander si l’attitude toujours si détachée de l’employé de son oncle ne dissimulait pas ses secrets et elle finissait immanquablement par se traiter de naïve...»

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