Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 937
Membres
1 014 354

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

ls approchaient maintenant de Rome. Bientôt les deux tours semi-circulaires de la Porta S. Paolo se levèrent sur ce qui restait du mur d'Aurélien et la moto laissa la Pyramide de Caïus Cestius sur sa gauche, s'engagea dans la Via Marmorata, dépassa la magnifique Poste d'Adalberto Libera que Paolo ne se lassait jamais d'admirer.

Afficher en entier

La seule pitié que nous pouvons vous accorder, c’est de vous laisser le choix de l’endroit où vous voulez qu’on retrouve votre tête. L’aquarium ? La terrasse ? Le congélateur de votre cuisine ? Je ne peux plus vous proposer les catacombes car ces derniers temps elles sont excessivement bien protégées par notre police nationale.

Afficher en entier

Elle avait probablement séduit Max dans le seul but de le décapiter, comme toutes ces Judith qu’il avait filmées des années durant. Max avait mis tant de Judith dans son lit qu’il avait fini un jour par rencontrer la vraie.

Afficher en entier

Quand Gianni Morandi chantait Ferragosto, la fête du 15 août, Pamela n’était pas encore née mais elle gigotait déjà dans le ventre de sa mère. Et aujourd’hui, elle se plaisait à imaginer qu’à l’époque ses parents écoutaient cette chanson dont l’air et les paroles s’étaient à jamais imprimés en elle. Son bonheur avait dû être parfait jusqu’au jour de son premier anniversaire, très exactement jusqu’à treize heures et vingt-huit minutes, ce 14 janvier 1968. Ce jour-là, à Gibellina, en Sicile occidentale, le repas du dimanche avait été interrompu par un bruit inhabituel, accompagné d’une secousse qui avait fait tanguer la table et renversé sur la nappe blanche le vin dont le grand-père avait rempli les verres. Les invités s’étaient précipités aux fenêtres qui donnaient sur la place de la Chiesa Madre et avaient vu le clocher de leur église vaciller. C’était le début du tremblement de terre de la vallée du Belice, et la fin de la vie que Pamela aurait dû vivre.

Dans la nuit qui suivit, à 40 kilomètres sous terre, une faille endormie depuis des siècles se réveilla brutalement et déclencha des vagues sismiques qui détruisirent les provinces de Palerme, Agrigente et Trapani ; en douze secondes plusieurs centres historiques furent réduits en poussière. Gibellina tout entière s’effondra. À l’aube, des nuées d’oiseaux survolaient les rues en ruine. Après des fouilles désespérées au milieu des décombres, une fillette d’un an fut retrouvée enroulée dans une couverture, à l’intérieur du placard où l’avait cachée sa mère. Le lendemain, Pamela faisait la une de la presse nationale.

Afficher en entier

Agenda, téléphone portable, cahiers : partout où il a pu, l'artiste nous a dressé un profil tout à fait exhaustif de la jeune femme. Il en était fou. Curieusement, il ne semble posséder aucune image de sa use, ni portraits, ni dessins, ni photos.

- Il n'aimait peut-être pas les copies. L'art imitation de la nature n'est plus le mort d'ordre des artistes depuis un certain temps.

- Ou bien la victime préférait ne pas laisser d'images compromettantes à la portée de son excellente épouse.

Afficher en entier

Les dix premières lignes :

— La porte !

Le sœur bénédictine répétait ces mots cinquante fois par jour depuis que les catacombes étaient devenues le refuge de caravanes entières de touristes en quête d'air frais.

Pamela entra. Tous les regards se portèrent sur la somptueuse masse de cheveux blonds qui encadrait son visage. Les yeux sautillant comme des lucioles, épaules et bras dorés, l'apparition du guide le plus demandé des catacombes romaines produisait toujours le même effet sur des visiteurs qui s'intéressaient soudain plus à l'archéologue qu'à l'archéologie (...)

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode