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Liste des extraits

On s’installe toutes les trois dans un bar à pâtes récemment ouvert : Margo commande des tagliatelles nature puisqu’elle a son « P.P.P », c'est-à-dire son propre potager portatif ; Pénélope tente les pâtes complètes et opte pour la sauce provençale aux petits légumes ; et je mets dix minutes à me décider entre farfalle et penne puis entre pesto et carbo.

Je sais, ma vie est dure...

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-même dans mes rêves les plus fous,je n'aurais jamais pu imaginer ça...murmure-il paresseusement à mon oreille.

-c'est bien ce que je dis,lui souris-je . C'est trop beau pour être vrai,Soren. On va forcément se réveiller et comprendre que tout cela n'a jamais existé.

-plutôt crever!grogne-il en me serrant encore plus fort contre lui. Emma Lucie Margaret Green-Ostergaard,tu ne sortiras plus jamais de ma vie...

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Chaque matin, je me réveille à ses côtés et chaque matin, l'effet est le même. Cette espèce de frisson d'excitation et d'incrédulité qui me chatouille la peau dès lors que je pose les yeux sur lui, suivi d'un sourire béat et d'un soupir idiot. Ces derniers temps, Soren s'est assagi mais il passe encore des nuits agitées et les premiers rayons du soleil ne parviennent plus à le sortir du sommeil. Je préférerais le savoir serein, mais j'en tire au moins un avantage : je peux le contempler à volonté.

Ben quoi ? Je vérifie juste qu'il respire !

Et puis vient forcément le moment où mon regard insistant le réveille et où j'ai droit à mon sermon – « Emma, trouve-toi une autre occupation » – accompagné d'un sourire en coin, sexy à souhait.

– Tu n'en as jamais marre de me reluquer ? murmure-t-il en m'attirant dans ses bras.

– Non, je découvre un petit détail chaque jour…

– Comme ?

– Cette minuscule cicatrice, sous ton oreille, fais-je en la frôlant du doigt.

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Des vagues de plaisir m'inondent, j'hésite entre décoller vers le ciel ou sombrer dans la cascade derrière moi. Les orgasmes que mon amant me procure toujours ont ce double pouvoir : m'élever, me donner des ailes, me transcender ; et m'engloutir, m'attirer vers le fond, là où je perds pied. Je ne peux jamais choisir l'un ou l'autre, ni même le moment de m'abandonner : c'est lui qui a tout pouvoir sur mon corps. Et j'ai appris à le laisser faire, à ne pas lutter.

– Pars avec moi, Emma… gronde sa voix rauque à laquelle je ne peux rien refuser.

Je me perds dans les reflets verts de ses yeux merveilleux puis je renverse ma tête en arrière, les cheveux flottant à la surface de l'eau, mon corps lévitant entre ses mains expertes, au milieu de ce riad à ciel ouvert. Et je rejoins les étoiles, sur le tapis volant de mon amant, dans une jouissance inouïe, simultanée, interminable. Qui va flirter avec l'éternité.

– Si je ne devais choisir qu'une seule de nos Mille et Une Nuits, ce serait celle-là, lui susurré-je enfin, à bout de souffle.

– Mille, ça ne suffit pas… Je veux passer des millions de nuits avec toi, m'annonce mon prince en s'écroulant sur moi.

– Paris, Copenhague, Santa Monica, le château de Palm Springs, le chalet de Gstaad, le manoir de Fyn et maintenant le riad à Marrakech. Où est-ce que tu t'arrêteras ? lui souris-je en passant mes doigts dans ses cheveux fous.

– Nulle part. Partout, répond mon insolent au sourire canaille. Tant que tu es avec moi.

Ça me va. Mon vrai paradis, il est dans ses bras.

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Et leur amour si simple, si serein, si évident me fait monter les larmes aux yeux : mon lykke me semble bien loin maintenant.

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13 décembre.

- Nuit blanche à attendre que mon petit frère sorte du bloc opératoire :

en cours…

- Affiches lues dans la salle d'attente :

l'importance du port du casque en scooter, la nécessité de respecter le personnel soignant même en situation de stress, les techniques pour bien se laver les mains en dix étapes (et je les connais déjà toutes par coeur)

- Recherches Google favorites du moment :

« Quelles sont les statistiques de survie à l'anesthésie générale après une commotion cérébrale ? »

- Nombre d'amies présentes toute la nuit pour me tenir compagnie et m'empêcher de lire des horreurs sur Internet :

2 (les meilleures qui soient) et même 3 (si je compte Anouk qui m'a enfin montré sa part d'humanité)

- Nombre d'ongles rongés en repensant aux messages d'Harald trouvés dans le portable de

Travis :

10 (s'il n'y avait pas tant de monde autour de moi, je m'attaquerais aux orteils)

- État du prince danois :

reparti aussi vite qu'il est venu, avec son regard ombrageux et ses poings serrés (et Anton a intérêt à conduire et courir vite s'il veut empêcher Soren de massacrer son… « père »)

- Titre du prochain chapitre de mon roman :

« Comment aimer un milliardaire torturé à la vie compliquée, quand il se met à bousiller la vôtre ? »

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Filippa et moi rions doucement, d’abord, puis nos angoisses laissent place à une sorte d’hystérie communicative. Jusqu’à ce que Soren réapparaisse, m’attrape par la main et m’emmène sans me demander mon avis à l’étage du dessus.

– Vous allez toutes me rendre fou… soupire-t-il en s’adossant contre le miroir de l’ascenseur.

– On peut reprendre cette journée à zéro, tu crois ? bâillé-je.

– Tout ce que tu veux, tant que tu ne sors pas de mon champ de vision.

– Tu ne crois pas qu’Heidi a raison ? Que tout ça va un peu loin ?

Son regard vert ambré vire au noir. Tout à coup, il me plaque contre le mur de la cage métallique et murmure, au coin de mes lèvres.

– Tu vas devoir t’y faire, Emma. Je refuse de te perdre. Et si tu me cherches un peu trop, tu auras droit au même traitement que les autres : tu seras prisonnière de ces quatre murs.

– Je suis libre Soren, tu te souviens ? C’est toi qui me l’as appris… soufflé-je en le défiant du regard.

– Tu es à moi et rien ne m’empêchera de te tenir hors de portée du danger. Même pas toi et tes adorables tentatives de rébellion, sourit-il presque.

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