Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
715 582
Membres
1 017 957

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Extrait ajouté par Mathilde69 2019-03-03T17:37:39+01:00

Le prédateur ouvrit grand la gueule pour pousser un rugissement, exposant ses crocs affutés, avant de donner un coup de patte. Puis il bondit sur Connor, le projetant au sol. Ambre se retrouva coincée sous lui et se mit à crier.

Acérées comme des lames de rasoir, les griffes du léopard se plantèrent dans le dos du garçon. Ses mâchoires puissantes déchiquetèrent son sac à dos. Il y eut une lumière aveuglante. Puis ce fut le noir total...

Afficher en entier
Extrait ajouté par ilovelire 2017-07-25T19:43:08+02:00

— ATTAQUE FRONTALE ! cria Jody tandis qu’une voiture, surgie d’une ruelle transversale, s’arrêtait brutalement au beau milieu de la route pour leur bloquer le passage.

Connor écrasa la pédale de frein. Jody, Charley et Marc furent brutalement retenus par leurs ceintures de sécurité. Connor embraya puis batailla pour passer la bonne vitesse. Cela ne faisait que trois semaines qu’il avait commencé à conduire, et la soudaineté de cette attaque lui faisait perdre ses moyens.

— Allez…, marmonna-t-il, énervé, en manipulant le levier.

Il finit par enclencher la marche arrière et, après un rapide coup d’œil dans le rétroviseur, recula à toute allure. Le moteur émit un grincement de protestation. Fermement agrippé au volant, Connor s’efforça de maintenir la voiture en ligne droite. Une manœuvre risquée car, à cette vitesse, la moindre erreur de jugement risquait de finir en tonneau fatal.

Afficher en entier
Extrait ajouté par ilovelire 2017-07-25T19:42:57+02:00

— Et alors le cœur de l’Afrique battra de nouveau ! s’exclama Michel Feruzi, ministre burundais du Commerce et du Tourisme, en frappant du poing la table de conférence.

— C’est vrai, acquiesça Uzair Mossi, ministre des Finances, dont les yeux brillaient autant que les diamants dont il était question lors de cette discussion. Le Burundi a souffert de la pauvreté bien trop longtemps. Si les rumeurs sont fondées, ce serait un véritable tournant pour notre nation, une…

Le président Bagaza le fit taire d’un geste de la main et attendit que le calme revienne parmi ses ministres. Il ne partageait pas leur enthousiasme à cette nouvelle.

— Angola. Sierra Leone. Liberia. Congo, déclara-t-il d’un ton solennel. L’histoire de tous ces pays ne signifie donc rien pour vous ?

Il se tut quelques instants, laissant à ses ministres le loisir de se remémorer les tragiques guerres civiles qui avaient plongé chacun de ces pays dans un bain de sang, alimentées par la fièvre des diamants.

— La découverte d’un champ diamantifère est à la fois une bénédiction et un grand malheur, reprit-il. Au terme de plusieurs décennies de conflits intertribaux, notre pays connaît une paix encore très fragile. Nous ne pouvons pas, nous ne devons pas nous laisser entraîner dans une nouvelle guerre civile.

Afficher en entier
Extrait ajouté par ilovelire 2017-07-25T19:42:31+02:00

On retira le sac qui lui couvrait la tête et Connor fut aveuglé par la lumière d’un plafonnier. Il plissa les yeux et se rendit compte qu’il était assis devant une longue table dressée pour un repas. Désorienté par cette vision, il eut besoin d’un moment pour reconnaître les gens qui se trouvaient sous ses yeux.

— Joyeux anniversaire ! chantèrent alors en chœur les membres de l’équipe Alpha.

Bouche bée, Connor dévisagea ses coéquipiers. Charley, Amir, Ling, Jason, Marc et Richie étaient assis de chaque côté de la table. Face à lui se trouvaient le colonel Black et les instructeurs de l’organisation Bodyguard : Jody, Steve et Bugsy.

— Qu’est-ce que… ? balbutia Connor, incapable de savoir s’il devait se sentir soulagé, sauter de joie ou se mettre dans une colère noire.

— Ravi que tu aies pu te joindre à nous, lui dit le colonel en affichant un large sourire.

Afficher en entier
Extrait ajouté par ilovelire 2017-07-25T19:42:17+02:00

Mais les ravisseurs restèrent muets en l’escortant loin du véhicule. Ils avançaient vite, sans lui laisser la possibilité de trouver ses marques. C’est alors qu’une porte fut ouverte et Connor se retrouva enveloppé par une douce chaleur. Il marchait désormais sur de la moquette. Tandis qu’on l’emmenait au cœur du bâtiment, il sentit une odeur d’oignons en train de frire et entendit au loin un bruit de casseroles et de poêles. Une cuisine.

Connor fut traîné un peu plus loin avant d’être poussé sur une chaise. Le bois du dossier appuyait douloureusement contre ses mains, mais le garçon pouvait au moins poser ses pieds au sol. Il fit l’effort de se tenir droit pour garder un semblant de dignité devant ses ravisseurs, tout en restant prêt à passer à l’action à la moindre opportunité.

Afficher en entier
Extrait ajouté par ilovelire 2017-07-25T19:42:10+02:00

Les attaches autobloquantes qui entravaient ses poignets et ses chevilles lui faisaient mal et lui coupaient la circulation. Il tenta de libérer une de ses mains mais le plastique, très solide, ne fit que s’enfoncer plus profondément dans sa chair.

Au bout de quarante-sept secondes, le véhicule tourna à droite, avant de prendre à gauche dix secondes plus tard. Puis encore à gauche. Six fois en tout. La carte mentale de Connor n’était plus qu’un brouillon confus. On aurait dit que le 4 ×× 4 tournait en rond, comme si les ravisseurs cherchaient délibérément à le désorienter. Connor tendit alors l’oreille dans l’espoir de capter la moindre bribe de conversations ou le plus petit détail qui le renseignerait sur l’identité de ses kidnappeurs : accent, langue, sexe, voire un nom. Mais ils restaient tous étrangement silencieux. Ce devait être des professionnels. Sinon, ils n’auraient jamais pu pénétrer dans le QG de Bodyguard sans se faire repérer.

Afficher en entier
Extrait ajouté par ilovelire 2017-07-25T19:42:02+02:00

Connor entendit des bruits de pas sur du gravier. Ils sont trois, nota-t-il. L’un d’eux ouvrit alors le coffre d’une voiture. L’adolescent fut jeté à l’intérieur avant que la portière ne soit claquée dans un bruit sourd.

Non, ce n’est pas une voiture, rectifia Connor. On l’avait soulevé en hauteur pour le mettre dans l’habitacle. Ce que le ronflement d’un puissant moteur diesel confirma aussitôt : C’est un 4 ×× 4.

Afficher en entier
Extrait ajouté par ilovelire 2017-07-25T19:41:55+02:00

Connor se réveilla brusquement lorsqu’on lui enfila un sac sur la tête. Il ne voyait rien à travers l’épais tissu noir et se mit à suffoquer tandis qu’on lui attachait les mains et les pieds. Il se débattit, en vain.

— Lâchez-moi ! cria-t-il en se tordant dans tous les sens.

On l’avait violemment tiré d’un profond sommeil, et son esprit n’était plus qu’un brouillard de confusion et de panique. Son talon finit par heurter l’un de ses ravisseurs, qui poussa un grognement de douleur. C’est alors que d’autres mains le saisirent avec brutalité pour le traîner hors de la pièce. Connor sentit ses baskets glisser sur la moquette.

— À L’AIDE ! AU SECOURS ! s’égosilla-t-il, mais ses cris furent atténués par le sac.

Afficher en entier
Extrait ajouté par ilovelire 2017-07-25T19:41:44+02:00

Le général Pascal fit un pas en avant. Aussi large d’épaules qu’un gorille, le Burundais faisait une tête de plus que l’étranger. Vêtu d’un treillis militaire et d’un béret rouge sang, il portait une très fine moustache au milieu d’un visage à la peau sombre et grêlée. Son aspect intimidant ne manquait jamais de semer la terreur chez les villageois locaux, et ses poings portaient les stigmates des nombreux passages à tabac qu’il avait infligés à ces mêmes villageois.

Afficher en entier
Extrait ajouté par ilovelire 2017-07-25T19:41:35+02:00

C’est alors qu’un homme surgit de derrière un palmier. Sans-Merci le mit aussitôt en joue, l’index posé sur la détente de son AK-47.

L’homme ne remua pas d’un cil. Il avait la peau blanche, d’une teinte presque grisâtre. Sans cligner une seule fois des paupières, il passa en revue la troupe de rebelles africains déployée devant lui. Vêtus d’uniformes dépareillés et de T-shirts distribués par des ONG humanitaires, tous avaient à la main des armes rouillées. C’est alors que son regard s’arrêta sur celui qui pointait un fusil d’assaut sur lui.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode