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- vous avez raser mes jambes?

mircea a croisé les bras en me comtenplan d'un oeil noir j'ai regardé leurs visages renfrognés tour à tour et je me suis téléportée.

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[...]

Je m’étais attendue à un peu plus de résistance de sa part : Pritkin n’était pas du genre à me laisser le dernier mot quand il n’était pas d’accord. Alors, quand il s’est mis à empoigner mes hanches à pleines mains et qu’il m’a allongée sur le sol, j’en ai eu le souffle coupé.

— Je vais croupir en enfer pour ça, a-t-il maugréé.

— Au moins, vous connaîtrez des gens, ai-je répondu, pantelante.

Mais il m’a interrompue en plaquant sa bouche chaude et vorace contre la mienne.

[...]

Mes lèvres ont glissé le long d’une des vieilles cicatrices blanchies zébrant son épaule et j’ai entrepris de tâter son léger relief du bout de la langue.

— S’il vous plaît, a dit Pritkin d’une voix enrouée. (J’ai souri, la joue contre sa peau.) Arrêtez.

J’ai perdu patience.

— Pritkin ! Quand on fait l’amour, on doit arrêter de «se maîtriser »! Un minimum en tout cas.

— On ne fait pas l’amour.

— Ah oui ? Et qu’est-ce qu’on fait ?

— Une intervention d’urgence !

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[...]

Spoiler(cliquez pour révéler)Situation : Cassie est dans le corps de Pritkin

La torture liquide a fini par résoudre le problème que j’allais refouler pour le restant de mes jours, mais ce tas de poils mouillés continuait à me taper sur les nerfs. J’étais en train de m attaquer à ce deuxième problème lorsque Billy a jailli de nulle part. Je l’ai ignoré : je n’avais pas envie de rajouter une coupure à la collection déjà impressionnante de Pritkin. Pendant un long moment, il est resté silencieux. Ça ne lui ressemblait pas du tout.

— Euh... Cass’ ? a-t-il fini par demander d’un air drôle. Qu’est-ce que tu fais ?

— Je crois que le terme exact est «se raser les jambes ».

— Et pourquoi tu te rases les jambes ?

— Parce que c’est franchement répugnant, ai-je répondu en désignant d’un va-et-vient de la main la jambe gauche de Pritkin, encore poilue.

La jambe droite allait beaucoup mieux. Et maintenant qu’on la voyait correctement, je la trouvais même bien galbée.

— Tu... euh... tu ne crois pas qu’il risque d’être un peu... énervé quand il...

— Tu rêves ou quoi ? (Je me suis tue pour me concentrer sur le genou. C’était toujours la partie piège.) Je ne sais pas comment le remettre dans son corps, Billy. Je n’ai pas le début d’une idée. Ça veut dire qu’on est bons pour rester comme ça pendant des jours, des semaines, des mois !

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Il n'était pas très beau, il était aussi sociable qu'un chat de gouttière et il avait la patience d'un oiseau-mouche sous caféine.

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[...]

Mircea s’est emparé de Pritkin et l’a soulevé complètement pour le hisser hors de la voiture. Il dévorait son visage des yeux d’un air de soulagement presque languissant. J’ai cligné plusieurs fois des yeux avant de comprendre. Evidemment ! Pritkin occupait mon corps. Et je n’avais franchement pas envie de me lancer dans une explication.

— Merde, me suis-je exclamée.

— Si notre compagnie vous répugne, mage Pritkin, personne ne vous retient ! a lancé Mircea d’un ton acerbe.

Pritkin a serré le poing et m’a décoché un regard noir derrière le dos de Mircea, qui le serrait à lui briser les os. Je me suis contentée de hausser les épaules. Il aurait déjà dû être content que Mircea ne l’embrasse pas.

[...]

— Cassie. Puis-je vous voir seul à seule ?

Sans attendre ma réponse, Mircea a poussé Pritkin dans le couloir menant aux chambres. Il avait besoin d’un peu d’intimité, j’imagine. À l’idée de ce qui pouvait en découler, je me suis précipitée sur leurs talons. Mais Marlowe m’a barré le chemin.

Il a souri.

— Etes-vous sûr que vous ne souhaitez pas boire un verre ? Vous avez l’air d’en avoir besoin.

— Peut-être plus tard, ai-je dit en essayant de le contourner.

Il m’a devancée.

— C’est la dernière bouteille qu’il nous reste. Si j’étais vous, j’en profiterais.

On a entendu un juron, un grognement et un bruit sourd provenir du couloir. J’ai grimacé en voyant Pritkin revenir dans la pièce, le visage en feu. Il avait l’air furax.

— En fait, je crois qu’un verre me ferait du bien, ai-je dit en apercevant Mircea revenir à son tour.

— Cassie ! a-t-il craché en me regardant droit dans les yeux.

— Servez-moi un double, tant qu’on y est, ai-je demandé à Marlowe avant qu’un vampire furieux m’attrape par les épaules et y enfonce ses ongles.

— Ce n’est pas comme si on n’avait pas essayé de reprendre nos corps respectifs ! ai-je dit pour ma défense.

— Vous voulez dire que vous ne pouvez pas rétablir la situation ?

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CHAPITRE PREMIER

Prendre une voyageuse temporelle en filature, ce n’est pas une mince affaire, même quand on voyage soi-même dans le temps. Surtout lorsque c’est ladite voyageuse temporelle qui vous a donné votre pouvoir.

— On ne pourrait pas discuter ? ai-je hurlé en me jetant derrière un pilier pour éviter une rafale de balles.

La femme qui me poursuivait à travers la cave a braqué sa lampe torche dans ma direction.

— Bien sûr, m’a-t-elle lancé, tout miel. Mais d’abord, arrête de gigoter dans tous les sens.

Et puis quoi encore ?

Je m’appelle Cassie Palmer et beaucoup de gens pensent que je ne suis pas sortie de la cuisse de Jupiter. C’est en partie dû à mes cheveux blond vénitien, la plupart du temps en pétard, qui me donnent un faux air de Shirley Temple au saut du lit. Mes yeux bleus, mes joues poupines et mon nez retroussé y sont sans doute aussi pour quelque chose, même si la plupart des hommes ne regardent jamais aussi haut. Mais j’avais beau ressembler à une blonde écervelée, je n’allais pas tomber dans le panneau.

Mon propre pistolet – un Beretta 9 mm que j’avais glissé dans mon jean – se rappelait douloureusement à mon bon souvenir en m’irritant la hanche. Je l’ai ignoré. Dans quelques années, la femme qui me tirait dessus me laisserait un petit message qui me sauverait la vie. Je préférais autant qu’elle reste dans les parages le temps de l’écrire. Sans compter que, lorsqu’on tire sur les gens, ça leur donne rarement envie de papoter. Et, en l’occurrence, une conversation s’imposait.

— Depuis quand la Guilde recrute-t-elle des femmes ? a-t-elle demandé.

Elle se rapprochait dangereusement.

Plaquée derrière un des piliers soutenant le plafond, je n’ai pas bougé d’un cil. Ce n’était pas folichon, comme cachette, mais je n’avais pas l’embarras du choix. Les parois de la cave étaient en pierre, à l’exception des endroits qu’on avait colmatés avec des briques. Le plafond en bois était assez bas et totalement plat, probablement parce qu’il servait de plancher à la pièce au-dessus. Et c’était à peu près tout. Rien d’autre que des vieux tonneaux, des moisissures et une bonne dose de ténèbres.

L’espace avait beau être vide, il était gigantesque : si j’évitais de faire du bruit, elle aurait quand même du mal à me débusquer. Malheureusement, si je voulais qu’on discute, il faudrait tôt ou tard que j’ouvre la bouche.

— Écoute, je crois que tu me prends pour..., ai-je commencé.

Aussitôt, elle a criblé de balles le mur derrière moi, dont a jailli une pluie de particules de brique et de vieux mortier. Certaines d’entre elles ont dû m’érafler la joue : j’ai senti un filet de sang dégouliner dans mon cou. Le silence après les détonations était tellement assourdissant que mes oreilles se sont mises à siffler. Les nerfs à vif, j’ai pris instinctivement mon arme en main. Mais je l’ai remise dans mon pantalon. Je ne suis pas venue jusqu’ici pour la tuer, me suis-je rappelé avec amertume.

Pourtant, j’avoue que l’idée commençait à me titiller l’esprit.

— Je croyais que vous n’étiez qu’une bande de connards misogynes et mégalos, s’est-elle exclamée, moqueuse.

Je suis restée obstinément muette. Apparemment, ça l’a mise en rogne : j’ai senti deux balles se ficher dans le bois derrière mon dos. L’impact a ébranlé le pilier. Je me suis mordu les lèvres pour m’efforcer de garder le silence. Soudain, j’ai senti une douleur à la fesse gauche, comme un violent pincement. Une seconde plus tard, la douleur s’est intensifiée pour devenir lancinante.

J’ai tâté mon derrière. J’avais la main humide, poisseuse et maculée de traînées qui avaient l’air noires dans la lumière quasi inexistante. J’ai regardé mes doigts avec stupéfaction. J’étais arrivée depuis dix minutes à peine et j’avais déjà réussi à me faire canarder le fondement.

— Tu m’as tiré dessus !

— Si tu sors de ta cachette, je calmerai ta douleur.

Ouais, c’est ça. Elle me calmerait pour de bon.

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-Je ne suis pas votre ennemie Mircea. J'ai juste besoin de vous connaître un peu mieux.

-Et vous ne pouvez pas apprendre à me connaître en ne changeant rien à notre relation?

-Pas si je veux garder la tête froide !

Il a souri. Mais il a vu quelque chose en regardant par dessus mon épaule et son sourire s'est estompé.

-J'espère que vos doutes ne sont pas liés à vos nouvelles relations !

Je n'ai pas eu le temps de répondre: la porte de la boutique s'est ouverte violemment sur un mage guerrier hors de lui. Pritkin m'a repérée. Il a traversé la salle d'un pas lourd et s'est campé devant moi en fronçant les sourcils.

-Vous m'avez rasé mes jambes ?

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La boule de flammes s’est mise à consumer le coton tout fin, et quelques taches brunes sont apparues. Le top a aussitôt pris feu, mais puisqu’on était encore au ralenti je me suis dit que j’aurais une minute de répit avant qu’il se désintègre. J’ai saisi ses deux extrémités pour former une sorte de lance-pierre gigantesque et je l’ai fait tourner jusqu’à obtenir l’énergie cinétique nécessaire. Ensuite, je l’ai lâché et la boule de feu a valsé dans la nuit.

Elle a presque atteint le milieu de la rivière. La boule écarlate, qui contrastait avec l’eau noire, a aussitôt plongé sous la surface. Elle est restée un moment sur place, le temps d’éclairer un ban de poissons, avant de commencer à sombrer lentement. Ensuite, Agnès a poussé un léger soupir, le temps a repris son cours et l’explosion subaquatique a projeté vers le ciel une gerbe d’eau de six mètres de haut.

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Prendre une voyageuse temporelle en filature, ce n'est pas une mince affaire, même quand on voyage soi-même dans le temps. Surtout lorsque c'est ladite voyageuse temporelle qui vous a donné votre pouvoir.

-On ne pourrait pas discuter ? ai-je hurlé en me jetant derrière un pilier pour éviter une rafale de balles.

La femme qui me poursuivait à travers la cave a braqué sa lampe torche dans ma direction.

-Bien sûr,m'a-t-elle lancé, tout miel. Mais d'abord, arrête de gigoter dans tous les sens.

Et puis quoi encore?

Je m'appelle Cassie Palmer et beaucoup de gens pensent que je ne suis pas sortie de la cuisse de Jupiter. C'est en partie dû à mes cheveux blond vénitien, la plupart du temps en pétard, qui me donnent un faux air de Shirley Temple au saut du lit. Mes yeux bleus, mes joues poupines et mon nez retroussé y sont sans doute aussi pour quelque chose, même si la plupart des hommes ne regardent jamais aussi haut. Mais j'avais beau ressembler à une blonde écervelée, je n'allais pas tomber dans le panneau.

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