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Résumé
Résumé
Pour la troisième fois de son histoire, l'Europe vit un profond remue-ménage. Il y avait eu la substitution du monde chrétien à l'univers antique; il y eut la Renaissance succédant au Moyen Age. Il y a, en ce xxe siècle, le lent ébranlement de l'ordre chrétien, clef de voûte d'un système spirituel, moral, économique et politique qui se craquelle. Notre siècle, croit Claude Imbert, est celui du « grand passage ».
Son Ce que je crois constitue moins un corps de croyances que l'observation et l'analyse de ce « grand passage ». Claude Imbert s'y révèle un mutant agnostique, explorateur de vérités relatives, tout à la fois heureux de sa délivrance et encore orphelin de l'arche chrétienne dont il peint le naufrage : les territoires du Dieu chrétien sont lentement accaparés par la rationalité, le déterminisme scientifique et la libération des principes de plaisir. Vertige devant la vie, refus de la mort, homme mué en un Narcisse éperdu, minage de l'ancien système communautaire, crise de représentation de la société, défi du tiers monde... Les signes sont multiples.
Peut-on quitter le monde ancien, son ancrage chrétien, son code culturel qui fonda une certaine idée de l'homme et de la démocratie sans que dépérisse notre système de libertés ? Oui, répond Claude Imbert, si une nouvelle Renaissance marie à notre nouvelle éthique individuelle une nouvelle idéologie de la liberté.
Source : Le Livre de Poche, LGF
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