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Tu devrais rentrer en Chine avec moi, George. C'est le seul endroit de la terre où tu pourrais échapper à ta folle de mère !

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Ils étaient libres de quitter les services secrets et de reprendre une existence normale au sein d’une famille d’accueil. Lauren n’avait jamais envisagé cette possibilité. Rien n’aurait pu la faire fléchir. Les souffrances endurées lors des épreuves d’entraînement disparaissaient après une bonne douche, et elle avait pleinement conscience d’être une personne exceptionnelle.

À son arrivée au campus, elle n’était qu’une petite fille comme les autres, peut-être un peu plus vive que la moyenne. En trois ans, elle était devenue l’un des agents les mieux notés de CHERUB.

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Extrait ajouté par anonyme 2015-01-31T13:26:30+01:00

JUILLET 2007

L’établissement scolaire public de Honeywill aurait pu être comparé à une décharge publique, mais c’était le dernier jour de l’année, et tout le monde affichait un sourire radieux. Des professeurs que rien n’était parvenu à dérider depuis le mois de septembre avaient autorisé les élèves à jouer à la Nintendo DS sur la pelouse ensoleillée. Le directeur lui-même portait des lunettes noires et un short de tennis. Les souffre-douleur encaissaient les sévices de bonne grâce, car ils savaient que dès que la cloche aurait sonné, ils échapperaient à leurs bourreaux pendant six longues semaines.

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Extrait ajouté par anonyme 2012-08-23T21:29:51+02:00

(Page 60, chapitre 7)

La plus petite piqure étant susceptible de laisser des marques, il convenait de la pratiquer à un endroit difficile à observer.

- C'est parti, sourit Andy.

Greg roula Zang sur le ventre puis baissa son caleçon.

- Beurk, lâcha-t-il. On fait vraiment un drôle de boulot...

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Extrait ajouté par babaOM 2011-10-28T10:24:45+02:00

1. Pourriture

Juillet 2007

Honeywill Community School ressemblait une vraie décharge, mais c’était le dernier jour avant les vacances d’été donc, au moins, tout le monde était heureux. Les professeurs qui n’avaient pas laissé passer un sourire depuis septembre laissaient les

élèves jouer à la Nintendo. Dans la cour, le directeur se promenais en short et des lunettes de soleil. Certains enfants prenaient même pris des coups de bonne grâce;

sachant que leur prochain rendez-vous avez les brutes de l’école ne serait pas avant six mois.

Greg se tenait debout sur une chaise, penché par la fenêtre de la classe, avec sa cravate scolaire nouée autour de la tête tel un bandana et ayant laissé ouvert tout les boutons de sa chemise.

L’heure du déjeuner s’écoulait dans l’aire de jeux bétonnée : les filles bavardaient en petits groupes, les garçons jouaient au football et une longue file d’attente s’était formée devant la fontaine à eau car s’était le jour le plus chaud de l’année.

- Sens-moi ça, dit Zhang, un garçon d’origine chinoise un peu corpulent, en passant un pot en plastique sous le nez de Greg.

La puanteur frappa Greg comme un coup de poing ! Il recula violemment, tomba de sa chaise et évita de s’écraser sur une poubelle.

- Tu sais que ça pue ! sourit Zhang, agitant le pot sous le nez de Greg.

- Casse-toi ! cria Greg, toussant avec dégout tandis qu’il se cachait entre les bureaux. C’est la cuisine de ta mère ou quoi ?

Zhang nia d’un signe de tête en replaçant le couvercle sur la boîte :

- Non, c’est la salade de chou cru de la cantine. Elle est périmée depuis le

14 novembre et je l’ai trouvé au fond de mon casier.

Le troisième garçon dans la classe, un maigrelet nommé George, était en train de se rouler par terre en riant.

- Ferme-la maigrichon ! beugla Greg, sauf si tu veux que je plonges ta tête dedans.

Mais maintenant que le bocal était refermé, Greg vu le côté drôle de la chose et sourit encore plus lorsque qu’il aperçut le monticule d’ordures que Zhang avait enlevé

de son casier : des livres scolaires couverts de boue où Zhang avait déposé ses chaussures de football, des emballages alimentaires, des mouchoirs usagés et une boite de blanco qui avait fui sur ses livres d’exercices et avait séché, formant une couche blanche et dure.

- Espèce de porc, Greg renifla, c’est un casier ou un TARDIS1

? Je ne comprend même pas comment autant d’ordures peuvent être amassés ici.

Le gros corps de Zhang marcha autour de la pièce, puis, se retournant vers ses camarades.

- Greg, ton casier est propre car tu n’es là que depuis la moitié de l’année !

George secoua la tête :

- Non Zhang, ton casier est pourri car tu n’es qu’un gros lard dégueulasse !

Zhang, ne supportant pas être traité de gros, s’avança vers George pour lui faire face :

- T’en veut une ?

Les deux étaient amis depuis la crèche mais cela ne leur aurait pas empêché de se taper dessus pour autant.

Greg essaya de détendre l’atmosphère :

- Vous êtes vraiment bêtes, dit-il avec dédain, allez, roulez-vous une pelle et réconciliez-vous comme tout le temps.

Zhang fit un pas en arrière avant de se retourner et de fixer Greg, sachant qu’il n’oserait jamais rien lui faire. Greg faisait une taille moyenne pour un enfant de huit ans mais il était robuste et ses biceps étaient gonflés sous les manches de sa chemise retroussée.

- Oh Greg j’ai oublié, dit George, pendant qu’il mettait le reste des ordures du casier dans son sac, je dois aller à un barbecue chez ma tante samedi, Zhang s’envole pour la Chine dimanche - donc si on doit avoir une soirée xBox, j’ai peur que ce soit ce soir ou jamais.

- Oh, s’exclama Greg, passant sa main dans ses cheveux bruns.

- Vous avez toujours le droit de venir ? demanda George.

Greg haussa les épaules en tirant un Nokia de sa poche.

- Bien sur, j’espère. J’enverrai juste un SMS à mon père pour être sur, mais on a rien d’autre de prévu, donc je vois pas pourquoi il dirait non.

- Cool, dit George, en fermant la porte de son casier. Puis il essuya son front avec sa manche.

- Mon cousin Andy peut toujours venir ? demanda Greg, je sais que vous ne l’avez jamais rencontré mais il est super marrant, j’vous assure.

- Plus on est de fous, moi je dis, George répondit, avant de souffler bruyamment. C’est pas que je crains le soleil mais vous trouvez pas qu’il fait vraiment trop chaud aujourd’hui ?

- C’est rien ça ! Quand je vivais en Australie, des jours comme ça on en avait en hiver, s’exclama Greg en riant.

Zhang essaya d’imiter l’accent australien de Greg :

- Quand je vivais en Australie il faisait 400 degrés à l’ombre ! Les koalas tombaient de leurs arbres tellement il faisait chaud.

- Tu fais très mal l’accent australien, s’esclaffa Greg en souriant d’un air satisfait, on dirait une fillette !

- Je m’y connais au moins en gouts féminins, répliqua Zhang. Le machin avec qui tu étais sorti...

- Tu fais ton beau car Amy t’a parlé deux fois ! dit George en s’approchant de la fenêtre, un sourire aux lèvres.

- Oh et toi t’es un tombeur, ironisa Zhang.

George qui était au bord de la fenêtre, se pencha pour se rafraîchir dans la brise.

Il entendit un rire qu’il connaissait dans la cour et regarda en bas.

Il se retourna.

- Zhang ! hurla-t-il avec impatience, passe-moi ta salade de chou. Ma soeur est juste sous cette fenêtre !

Greg et Zhang se précipitèrent, traînant des chaises derrière eux.

- Cool ! s’exclama Zhang.

Les trois enfant se penchèrent regardant l’aire de jeux ensoleillée.

- Ta sœur est tellement bonne.

- Pouah, George frissonna, vous ne le penseriez pas si vous l’aviez vue dans son bain en train de se raser ses jambes poilues...

- Il faut dire la vérité, dit Greg en secouant la tête. Si Sophie n’avait pas

été ta grande soeur de 16 ans tu serais en train de la mater comme toutes les autres.

- C’est le caractère qui compte, nota George. Et c’est une peste de première avec son balai dans le cul.

- Vous savez ce que je ne pige pas ? dit Greg en regardant Zhang.

Comment fait George pour avoir une soeur si belle, avec ses bras et ses jambes qui ressemblent a des Fritelles ?- Ferme-la ! cracha George.

Les deux autres se turent, pas parce que George le leur avaient demandé, mais car il avait enlevé le couvercle de la salade de chou.

- C’est dégueu, gémit Greg.

- C’est bouillant, dit George en essayant de ne pas respirer. Le salade est en train de chauffer !

- Balance-le alors, s’impatienta Zhang. Vous attendez quoi ?

Greg regarda George et remarqua qu’il hésitait.

- Allez, cria Zhang. Souviens-toi : Sophie à prêté la moitié de tes jeux de

PSP à son ex-petit ami. Et t’en a jamais revu la couleur !

George secoua la tête et remis le couvercle sur le pot.

- Mieux vaux pas que je le fasse. Si ma vieille l’apprend, elle va faire de toutes mes vacances d’été un cauchemar !

- T’es qu’une poule mouillée, tss. Je savais que tu ne le ferais pas.

Alors que George essayait de remettre le couvercle sur le pot, Zhang l’atteint et le frappa avec son bras. La salade de chou fut expulsée de la main de George. Il essaya de l’attraper mais le pot glissa de ses doigts et se dirigea en direction sol.

Greg regarda en bas et fut surprit : Sophie et sa ribambelle d’amies s’étaient

éloignés pour éviter la trajectoire d’un ballon de football a travers la pelouse synthétique.

- Regarde où tu fous tes coups de pieds, connard ! beugla Sophie.

George, Zhang et Greg regardèrent, bouche bées, le garçon de dix ans torse nu courir vers le ballon. Le suspense fit s’écouler le temps comme au ralenti : Sophie et ses copines reculant, le pot de salade de chou filant dans l’air et le costaud de dix ans courant pour rattraper la balle.

- Zhang, t’es débile ! haleta George.

La salade rancie frappa le cou du garçon tandis qu’il attrapais le ballon derrière le terrain bétonné. La substance brune explosa, éclaboussant son torse nu jusqu’au sommet de son crâne rasé.

En haut, les trois amis plongèrent derrière la fenêtre. Dans sa hâte George oublia de baisser la tête et le derrière de sa figure heurta le cadre.

- Espèce d’attardé ! cria George à Zhang, tandis qu’il sautait de sa chaise.

C’était Thomas Moran. S’il nous trouve, on est morts.

- C’est qui Thomas Moran ? demanda Greg.

George frotta anxieusement sa bosse a l’arrière de sa tête.- Juste un des plus durs des enfants de dix ans. Lui et ses potes sont tous des joueurs de rugby. De gros joueurs de rugby.

- Ils ne nous ont peut-être pas vus, suggéra Greg. Il ne savent peut-être même pas que c’est depuis cette fenêtre que ça a été jeté.

Zhang rampa jusqu’à la fenêtre et regarda dehors.

- Ils nous ont vus ! s’écria-t-il, avant de baisser sa tête. Sophie et tous ses amis ont remarqué. Moran et un autre mec géant sont en train de courir vers l’entrée principale.

George agitait ses bras arqués nerveusement.

- Pourquoi tu a frappé ma main, débile ? Ces gars ne font pas de prisonniers : s’ils nous attrapent, ils vont nous casser la gueule.

Greg sorti son sac de son bureau et se dirigea vers la porte.

- Mieux vaudrait courir que paniquer, suggéra-t-il

- C’est trop naze, frissonna George.

Tandis que Zhang filait hors du couloir, Greg attrapa George par son col et le plaqua contre la porte.

- Calme-toi, tout ira bien, dit Greg, mais on doit commencer a courir, maintenant.

Pendant ce temps, George et Greg sortirent dans le couloir, Zhang l’avait déjà

parcouru jusqu’à l’escalier principal, trois mètres devant. Il aurait voulu descendre au premier étage se cacher dans une salle de classe, mais la chance n’était pas avec lui car les deux grands étaient déjà en train de bondir du rez-de-chaussée.

- On tient le gros ! cria Thomas Moran. Attend que je t’attrapes.

Les chaussures de Zhang crissèrent sur le parquet du couloir tandis qu’il voyait

Greg et George filer hors de la classe dans la direction opposée.

- Les gars ! cria-t-il désespérément, en courant aussi vite que ses jambes joufflues le lui permettaient. Les gars, attendez !

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Extrait ajouté par Hyunhyun 2024-01-10T18:36:35+01:00

Lauren pensa à Jake Parker, le fauteur de troubles à qui elle devait ce martyre. Refusant de s'abandonner à la colère, elle serra les dents et ferma les yeux. Elle avait l'impression que ses abdominaux allaient exploser, mais il n'était pas question d'échouer, sous peine de s'exposer à une nouvelle facétie de Miss Speaks.

Cette dernière pesa de tout son poids, et Lauren se retrouva face contre terre. Lors du programme d'entraînement initial, les recrues apprenaient à endurer la douleur sans protester. Ils se répétaient jusqu'à l'écourement les douze mots qui formaient la devise des recrues : C'est dur, mais les agents de CHERUB sont encore plus durs.

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Extrait ajouté par Robin26 2016-02-27T17:22:57+01:00

« Deux hommes en blouse blanche, au crâne dégarni et aux lunettes à monture argentée, firent irruption dans la pièce. Andy attendait le premier, le docteur Kessler, depuis près d’une heure. En revanche, il s’étonna de recevoir la visite du second, John Jones, contrôleur de mission. »

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Extrait ajouté par Robin26 2016-02-27T17:16:22+01:00

« Le parcours commando du campus de CHERUB était un circuit de deux kilomètres constitué d’obstacles divers et variés, de tunnels infestés de rats, d’échelles de corde, de murs d’escalade et de fossés boueux. En théorie, n’importe quel enfant de douze ans aurait été capable de le boucler en un peu moins d’une heure, pourvu qu’il ne soit pas victime d’une mauvaise chute ou paralysé par le vertige. »

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- Attends, je connais un moyen de lui apprendre la politesse, lança son camarade avant de disparaitre dans la chambre de sa sœur.

Il en sortit quelques secondes plus tard en brandissant un lapin en peluche aux oreilles affaissées qu'il plongea tête la première dans son caleçon.

- Oh, le petit pervers ! s'exclama-t-il devant ses camarades hilares.

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Une minute s'écroula avant que Miss Speaks ne relâche la pression et ne laisse Lauren achever son ultime pompe.

- Tu es déterminée, dit-elle tandis que son élève se redressait en titubant. Et tu en as dans le ventre.

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