Extraits

Les yeux sont peut-être le miroir de l'âme, mais les hanches d'un hommes sont le trône de son pouvoir.

"Lorsqu'elle posa sa main sur lui, sous son T-shirt, il crut flamber de désir. Elle l'embrassa sur le ventre et défit son jean, croqua l'arête de sa hanche. Il étouffa un gémissement.

- Nora...

Elle le fit taire d'un geste.

- Soren m'appelait "sa Sirène", murmura-t-elle en approchant son visage du sien. Il disait que ce que je faisais avec ma bouche rendrait fou n'importe quel homme. Tu ne veux pas savoir de quoi il parlait?

(...)

Il aurait voulu la toucher... Il allait la toucher... Comment avait-il pu oublier? Les menottes l'en empêchèrent.

- Relax, Zach... Contente-toi de profiter, fit-elle en s'arrêtant un instant pour l'embrasser sur la hanche. Ne pense à rien, la seule chose que tu dois faire, c'est te laisser faire.

Se laisser faire? Il avait oublié comment. Avec une inspiration profonde, il laissa tomber la tête en arrière, les paupières closes. Elle continua ses caresses, et il sentit la pression monter dans son ventre.

- Nora, je vais..., murmura-t-il entre ses dents pour la prévenir.

Mais elle ne l'écouta pas. Une décharge électrique le secoua de la tête aux pieds, et il jouit dans un râle déchiré. A travers un nuage d'alcool et de plaisir, il la vit se redresser, repousser ses cheveux. Elle se servit un verre et avala d'un coup tout ce qu'elle avait dans la bouche. Puis elle sourit.

- Il ne faut jamais dire jamais, Zach."

Source : Dans notre petite bulle

Je te veux,Zach,de tout mon corps.Mais je veux aussi te connaitre.

Tu me connais,Nora.

Tu m'as caché la moitié de ta vie.Je ne veux pax d'une moitié,je veux tout.A présent, tu connais mes secrets;il est temps de me dire les tiens.C'est tout ou rien.Dis "tout" et, on continue.Dis "rien" et c'en sera fini de nous maintenant et à jamais.La décision t'appartient.

Vous avez des lecteurs tellement fanas qu'ils seraient capables d'acheter vos factures reliées et de se branler en les parcourant.

La vie est ainsi faite qu'un événement ne pourra, ne saura jamais correspondre aux attentes.

"Toujours sur la défensive, Zach s'installa face à elle dans un véritable fauteuil en velours vert, et voulant croiser les jambes, heurta un sac de sport noir surdimensionné. Le bruit distinct d'objets métalliques s'entrechoquant se fit entendre.

- Je suis en retard pour mes cours, déclara Wesley, visiblement impatient de partir. C'est bon?

- Vas-y. Je doute fort que M. Easton me renverse sur le bureau pour me posséder si tu pars, répondit Nora avec un clin d'oeil. A mon grand dam.

Zach s'empressa de chasser de son esprit les images fort précises que ces mots avaient suscités.

- Bonne chance, monsieur Easton, lâcha un Wesley compatissant en lui lançant un regard amical. Ne vous laissez pas intimider et elle finira par se calmer.

- Intimidé, moi? ça ne risque pas! rétorqua Zach.

- Oh, qu'il est mignon..., ronronna Nora. Je commence déjà à l'aimer!"

Source: Dans notre Petite Bulle

-Tu m'aimes?

-Wesley, ce n'est pas le matin tant que tu n'es pas réveillé et ce n'est pas la nuit tant que tu n'es pas dans ton lit, ici.

Je pourrais continuer à vivre avec toi indéfiniment, mais je t'aime trop pour te laisser t'accrocher au moindre espoir.J'ai besoin que tu fasses quelque chose pour mi.

-Ce que tu voudras, tout ce que tu voudras.

-Tiens ta promesse.

-Dîtes-moi quelque chose, chef...Quelle est pour vous la forme d'art la plus élevée?

Il n'eut pas à réfléchir pour répondre.

-La littérature, dit-il.Les peintres et les sculpteurs ont besoin de leur matériel.Les danseurs, de la musique.Les musiciens, de leurs instruments.La littérature n'a besoin de rien d'autre que d'une voix qui porte des paroles ou du sable pour les griffonner dessus.

C’est l’Amour qui inventa le premier sur la terre l’industrie des bourreaux.