Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
717 256
Membres
1 025 066

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

« — Je m’appelle Will. Je suis le jumeau de Tristan, expliqua le jeune homme, comprenant l’origine du regard indécis sur le visage de la femme.

En ramassant son sac, il entra dans la maison, balayant du regard la large entrée.

— Je suis au bon endroit, n’est-ce pas ?

— Que les dieux nous préservent, murmura Mary. Il y en a deux.

Will fit un grand sourire à la femme aux cheveux gris.

— Ma grand-mère ressentait exactement la même chose, je vous l’assure.

Retrouvant sa contenance, la cuisinière sourit.

— Je suis désolé. J’ai perdu toutes mes bonnes manières. Vous m’avez fait une sacrée frayeur.

— C’est moi qui dois m’excuser. J’avais pensé que mon vagabond de frère vous aurait parlé de mon arrivée. »

Afficher en entier

Will s’éclaircit la gorge, détournant l’attention de Raul et de Ian du couple enlacé.

— Nous ferions mieux de commencer. Ils ne vont pas se remettre à respirer d’ici tôt.

— Vous faites partie de la transaction. N’avez-vous aucune gratitude à exprimer ? demanda Raul, montrant Benjamin d’un signe de tête.

— Pas de la même manière. Je tiens trop à la vie. Je connais mon frère ainé, et il ne partage pas. 

L’expression de Will devint mélancolique.

— Un jour, je trouverai quelqu’un avec qui je me sentirai pareil.

Réalisant qu’il avait parlé tout haut, il ajouta :

— En attendant, je vais me contenter d’une poignée de main quand ils auront fini.

Ian fixa intensément le plus jeune des jumeaux. Il pouvait percevoir l’image d’un amans, ce qu’il pouvait quelquefois faire lorsque l’amans était un membre de la meute, mais l’image qu’il vit ne pouvait pas être correcte. Cela voudrait dire… Secouant la tête, il se força à éloigner cette vision perturbante. Un problème à la fois.

Afficher en entier

Après des années d’une double vie de loup et d’humain, Benjamin savait que la perspective de son loup sur la vie était un peu simpliste. Si tu as faim, tu chasses et tu manges. Si tu veux Tristan, tu le prends et tu le gardes.

Malheureusement, la part humaine du loup-garou avait conscience de tous les obstacles qui pouvaient s’opposer à ce que cela arrive. Tristan avait une vie qu’il avait mise entre parenthèses pour le libérer de la malédiction : une librairie, son jumeau. Benjamin ne pouvait tout simplement pas espérer qu’il reste indéfiniment.

Afficher en entier

— Nous y allons ? demanda Benjamin, indiquant à Tristan qu’il devait le précéder dans les escaliers.

— Où allons-nous exactement ? Dois-je être plus habillé ? demanda Tristan. Je crains de ne pas avoir pris ce qui fallait.

Se méprenant sur le sens des mots de Tristan, Benjamin se dirigea vers une armoire dans le couloir et en sortit un blouson d’aviateur en cuir noir.

— La température baisse le soir, mais généralement le vent aussi. Cela devrait être assez chaud. 

Il maintint le blouson ouvert.

Tristan allait corriger Benjamin et lui demander s’il devait porter un costume pour le restaurant, mais le mélange d’odeur de cuir et de Benjamin lui fit changer d’idée. En se tournant, il passa ses bras dans le blouson légèrement trop grand et s’en entoura, s’emmitouflant dans l’odeur de Benjamin.

— C’est parfait. Merci.

Benjamin sentit dans sa tête son loup émettre un grognement d’approbation. Tristan portait son blouson. Le jeune homme était marqué par son odeur et la combinaison des deux était enivrante. Ses yeux se fermèrent à moitié, masquant le regard qui, il le savait avec certitude, était devenu bleu glacier.

Afficher en entier

« — Alors, Monsieur Northland, vous avez parcouru une grande distance et obtenu une entrevue. Puis-je savoir pourquoi vous êtes ici ?

— Euh, oui, bien sûr. Pourrait-on se passer du « Monsieur Northland » ? Monsieur Northland était mon père et je m’attends toujours à ce qu’il soit debout derrière moi. Comme il est décédé depuis vingt-cinq ans, c’est un peu troublant. Seulement Tristan, s’il vous plaît.

Benjamin inclina la tête, le coin de sa bouche se relevant malgré sa résolution de ne montrer aucune émotion. Tristan était tout à fait charmant.

— Tristan, donc, dit-il accédant à sa requête, le prénom roulant sur sa langue en provoquant la même satisfaction que le scotch. »

Afficher en entier

« Tristan s’arrêta en bredouillant, un sourire désarmant éclairant son visage, le rendant insupportablement beau.

— Oui, c’est vrai, c’est ce que je fais. Désolé. Will – mon frère – dit que je ne suis pas très doué pour cacher mes sentiments, que je les porte sur moi et que n’importe qui peut les voir.

— Ce n’est pas nécessairement une mauvaise chose, murmura Benjamin, tournant autour de son bureau vers le buffet qui supportait une collection de carafes de cristal. Simplement, ne jouez pas au poker… Asseyez-vous Monsieur Northland, dit-il, lui indiquant un petit groupe de fauteuils en cuir marron. Voulez-vous boire quelque chose ?

— Hum… non. Merci. Je ne tiens pas bien l’alcool. Cela augmente encore le babillage, j’en ai peur. »

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode