Extraits

Assise dans la pénombre de leur chambre d'hôtel, Kate regardait Raine dormir; C'était la première fois qu'elle le voyait auss détendu; Elle se vouint avoir pensé qu'il n'était peut-êtr qu'une machine, privée des besoins les plus basiques, comme celui de dormir; A cette pensée, elle sourit et resserra le drap autour de son corps dénudé; A présent, elel savait que c'était faux. Raine était tout à fait humain; Et il avait des besoins. Des besoins presque effrayants. "Comme les siens", songea-t-elle avec un sourire;

Elle frémit en songeant à l'importance qu'avaient prise leurs étreintes à ses yeux. Aimer Raine et se laisser aimer par lui était devenu plus essentiel pour elle que le fait de recouvrer la mémoire ou celui de savoir qui l'avait envoyée aurès de lui, et dans quel but.

Lorsqu'il était remonté sain et sauf dans la Range Rover, après sa rencontre avec Sal Ballatore, kate avait senti un soulagement immense la submerger. Elle était croyante, mais dès cet instant elle n'avait cessé de remercier le ciel.

Elle ouvrit la portière du passager et se laissa tomber sur le siège; Puis elle se passa une main dans les cheveux et s'efforça de se calmer, de r&fléchier, sans y parvenir. Pendant ce temps, Rane démarra une fois de plus le véhicule volé comme par magie;

Elle était assez jolie, supposa-t-elle. Elle ourna légèrement la tête et inspecta l'affreux hématome sur sa tempe gauche, qui avait viré vers un ton violacé peu flatteur. Puis elle dénou la serviette et contempla sa poitrine. Ses seins n'étaient pas gros, mais ils étaient bien proportionnés par rapport au reste de son corps. Sa taille était fine, et ses jambes longues et harmonieuses.

Dans l'ensemble, elle se sentit satisfaite de son inspection. Si seulement , elle se sentit satisfaite de son inspection. Si seulement elle avait pu se remémorer son passé et savoir qui était la femme qui habitait ce corps !

La veille, elle l'avait pratiquement qualifié de mufle. Mais ce matin, elle se sentait contrainte de ravaler ses paroles. Car Raine se révélait bien plus attentionné qu'elle n'aurait pu l'imaginer.

Et sa peau la brûlait encore au souvenir de son corps puissant, serré contre le sien. A cette évocation, elle sentit une délicieuse bouffée de chaleur la parcourir.