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Liste des extraits

[Finn]

— Y a intérêt à ce qu’un papa Noël descende dans ma cheminée, sinon je serai super déçu maintenant, annonce Claude.

— Je crois que c’est quelque chose que tu es censé faire tout seul avec Alexei, le taquiné-je.

— Je vais te tuer, gamin, gronde Alexei.

— Oh, on ne parlait pas de ça ? Désolé.

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[Finn]

— En général, Claude est tout nu quand il chante, marmonne Alexei à voix basse quand le cantique est terminé.

— Nu ? demande une vieille dame. Elle a une ouïe impeccable, ou alors un appareil auditif dernier cri.

— C’est de l’arnaque. Enlevez vos vêtements. Pourquoi on n’a pas des chippendales comme dans ces autres établissements ?

— Je crois que ça s’appelle des bars de strip-tease, Wanda, indique un monsieur.

— Je me fiche de savoir le nom. Des corps à poil partout. Hé, vous tous ! À poil ! clame-t-elle.

— Moi aussi ? demande Aria.

— Est-ce que j’ai l’air de pouvoir faire la fine bouche ? Vous avez vu au milieu de quoi je vis ?

Une femme qui travaille ici se précipite vers nous.

— Je suis désolée. Wanda, arrêtez de dire à ces gens de se déshabiller. Ils sont venus pour chanter.

Wanda grogne, pas contente du tout, visiblement.

— Nan, c’est rien. J’aime bien cette dame, déclare Marcus.

Il commence à enlever sa chemise, ravi d’avoir l’opportunité de s’en débarrasser.

— MONSIEUR ! Non, s’il vous plaît, remettez votre chemise, supplie la pauvre femme paniquée.

— Est-ce que vous allez me mettre à la porte si je continue ? demande Marcus, plein d’espoir.

— Tu vois, Bethany, c’est pour ça que tu ne t’envoies jamais en l’air ! réplique Wanda. Voilà un spécimen sublime juste là, qui est prêt à se dévêtir juste pour toi.

— Je ne le faisais pas pour elle, précise Marcus. Mais pour vous.

— Oh, bon sang, souffle Wanda. Elle prend sa canne et en appuie le bout sur l’entrejambe de Marcus.

— Oh, oui, vas-y !

— Wanda ! Vous ne pouvez pas harceler sexuellement les chanteurs !

— Y en a marre de toutes ces fichues règles, peste Wanda.

Marcus tourne son regard vers moi.

— Je suis désolé de t’avoir trompé dans le seul but de retirer cette horreur.

J’éclate de rire.

— Je devrais pouvoir te pardonner.

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[Finn]

Le sourire aux lèvres, je lui grimpe dessus et je pique son portable, qu’il a posé sur le côté du lit. En effet, c’est Brooks, alors j’accepte l’appel.

— Ici Le Marcus, réponds-je de ma voix la plus bourrue.

On dirait un gangster de Boston dans les années 50, mais c’était un bel effort.

— Bonjour, Pas Marcus. On a reçu un appel d’un agent qui croit avoir vu un homme qui correspond à la description de Landall, déclare Brooks.

— Localisation ?

— Pas loin de vous, les gars, c’est pour ça que je vous appelle. Au coin de Baker et de Vickery. Vous êtes les plus proches. Vous pensez pouvoir y aller ?

— Bien sûr. Je prends mon limier, et je vais lui faire renifler les environs. Vous auriez des sous-vêtements ou quelque chose pour qu’il ait l’odeur ?

— Je n’ai pas besoin de putains de sous-vêtements, grommelle Marcus en se redressant.

— Il dit qu’il a besoin d’un slip. Je répète, il a besoin d’un slip.

— Je peux lui en donner un des miens, s’il veut. Parce que c’est tout ce que j’ai, désolé, réplique Brooks comme si c’était un véritable problème.

— Ne quittez pas.

Je me lève en même temps que Marcus.

— Est-ce que tu veux un slip de Brooks ? On n’a pas celui du criminel, seulement celui du chef. Je suis sûr que ça ne dérangera pas sa femme. Ça te va ?

— Passe-moi le téléphone, gronde-t-il.

Je fonce dans le salon en serrant le portable contre moi comme si c’était mon précccccieux.

— Brooks, ici Jambes de Gazelle au rapport. Slip confirmé. Il dit qu’il aime bien les modèles kangourou, si possible.

— Je vais voir ce que je peux faire, répond Brooks.

[…]

— Euh, Marcus, j’en ai un gris, ça ira ?

— Je ne veux pas de votre putain de slip, Brooks ! braille-t-il assez fort pour qu’Alexei, qui était sorti prendre le courrier, se tourne vers nous. Il nous scrute maintenant, c’est évident.

— Alexei ! l’appelé-je. On a besoin de toi et de Claude tout de suite ! S’il te plaît ! Si vous vous dépêchez, je demande un slip pour vous aussi.

— Je n’ai pas envie de rejoindre un club fétichiste des sous-vêtements, grogne Alexei.

— Ils pensent avoir vu Landall, indique Marcus.

Bizarrement, cette information convainc Alexei de nous aider, là où la promesse de gagner un slip a échoué.

— Ah, OK.

— Est-ce que quelqu’un a parlé de slip ? lance Claude en sortant de la maison.

Franchement, je ne veux pas savoir ce que les voisins pensent de nous, surtout qu’on ne peut pas se parler sans crier, apparemment. Bah, ils sont sûrement jaloux de notre relation.

— Brooks ramène des slips pour tout le monde ! les informé-je en ouvrant la portière. — Euh… non. Après, si vous préférez ça à votre prime de fin d’année, je devrais pouvoir m’arranger, propose Brooks.

— Super, cette blague n’est plus du tout marrante. Merci beaucoup, râlé-je.

Je décide qu’il vaut mieux mettre fin à l’appel, avant que j’aie des regrets et que Marcus et Alexei ne m’assassinent.

— Je te jure, petit humain, que si je finis avec un paquet de slips à la place de mon chèque, je te bouffe, me menace Alexei.

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[Marcus]

Il court pour ouvrir la porte vitrée et essaie de me la refermer au nez.

— Vite ! Orin, à l’aide ! Il y a un pervers sous le porche !

— Je ne suis pas un pervers, grogné-je, en épiant par le carreau pendant qu’Orin vient voir ce que c’est que tout ce raffut.

Il me jette un coup d’œil par la vitre puis hoche la tête avant de refermer la porte et de la verrouiller. Je suis en train de réfléchir à la façon de me venger d’Orin pour avoir pris le parti de Finn quand il lève un pouce en l’air à mon attention.

— Sauve-toi ! Tu peux enfin trouver quelqu’un qui soit digne de toi, m’encourage Orin. Tu n’as plus besoin de subir cette imposture.

Finn tourne brusquement la tête vers son père.

— Pardon ?

— Tu as mon numéro. Appelle-moi, me suggère Orin en mimant un téléphone avec son pouce et son auriculaire, avant de me faire un clin d’œil.

Finn lâche un cri scandalisé.

— Dis-moi que tu n’as pas fait de clin d’œil à mon mec.

— C’est mon mec, maintenant, affirme Orin avant de s’enfoncer plus loin dans la maison.

Finn appuie son visage contre la vitre en me fixant dans les yeux.

— C’est parce que je ne suis pas un homme entier ? C’est parce qu’Orin a quatre membres ?

— C’est toi qui m’as claqué la porte au nez. C’est toi qui m’as quitté, lui rappelé-je alors qu’une voiture s’arrête derrière moi. Je vais peut-être draguer le nouveau petit ami de ta sœur et Orin.

Finn écarquille les yeux.

— Vu que tu en as marre d’avoir un mec avec seulement deux membres, maintenant il t’en faut huit ?

Je soupire quand Finn me fixe avec l’expression la plus pitoyable que j’ai jamais vue. Il est vraiment doué pour s’en servir comme d’une arme.

— Tu inventes tout, là.

— Pas du tout. De toute évidence, tu ne veux plus de moi.

— Je pourrais arracher cette porte de ses gonds pour te prouver que si. Je pourrais fendre cette maison en deux si je le devais, assuré-je.

Finn sourit, l’air ravi.

— Ça a l’air sexy. Vas-y.

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