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Extrait ajouté par anonyme 2017-05-17T08:44:11+02:00

— Bien le bonjour, s’annonça Knox en apportant soudain une chaise devant leur table pour s’asseoir entre eux.

Briar cligna stupidement des yeux pendant quelques instants en se demandant si cette hallucination était due à son travail mental trop intense… Devenait-elle complètement folle ?

Cependant, Daniel, de son côté, resta bouche bée, ce qui voulait donc dire qu’elle ne rêvait pas et que Knox était bel et bien là, venu casser son coup.

Il lui fallut plusieurs secondes pour reprendre ses esprits.

— Knox ! Qu’est-ce que tu fiches ici ?

— Je me joins à toi et à…, commença-t-il en tendant la main à Daniel. Bonjour. Je m’appelle Knox Callaghan.

— Daniel Ortega, se présenta l’autre en lui serrant la main.

— Je me joins à toi et à Daniel, compléta Knox avec un sourire amical qui jurait avec son habituelle façon d’être.

— Laisse-nous, maintenant !

— Pardon, mais qu’est-ce qui se passe, là ? s’enquit Daniel en faisant un geste du doigt pour désigner la situation comique qu’ils formaient à eux trois.

Knox s’adossa à sa chaise et passa un bras dans le dos de Briar.

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Extrait ajouté par anonyme 2017-05-17T08:42:44+02:00

Briar – sa Briar – se trémoussait sur la piste de danse comme si elle passait tous ses samedis soir à enflammer Roscoe’s.

Fait chier.

Elle n’était pas « sa » Briar. Elle n’était pas à lui.

Elle ne faisait pas non plus partie de ces gonzesses qui passent toutes leurs soirées au bar à chercher à se donner un peu d’importance en buvant comme des trous et en se laissant palper par des types louches. Briar, elle, était le genre de femmes à préférer lire un bouquin ou regarder la télévision plutôt que de sortir faire la fête. C’était une chose que Knox aimait chez elle. Il aimait le fait qu’elle prenne un air légèrement surpris chaque fois qu’il la touchait, chaque fois qu’il l’embrassait, et il aimait comme un fou ces petits bruits qu’elle faisait lorsqu’elle l’attirait à elle pour l’inciter à lui faire des choses qu’il savait pertinemment être le premier à lui avoir fait.

Il voulait être le seul homme à pouvoir la toucher. C’était une réaction primitive, mais il ne pouvait s’en empêcher. Il n’était qu’un animal qui adorait la faire voler en éclats, et tout son petit monde si bien rangé avec elle. Elle lui donnait envie de se tambouriner la poitrine.

Bon sang !

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— Tu n’as jamais entendu parler de la série The Walking Dead ? Ma parole, tu as vécu dans une grotte ou quoi ?

— Non, en prison, rétorqua-t-il.

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Extrait ajouté par loona10 2018-11-28T11:01:37+01:00

— Je suis venu te dire que j’étais désolé de la façon dont je t’ai traitée tout à l’heure – et pour voir si tu allais bien.

— Tu voulais que je m’en aille, alors je suis partie, rétorqua-t-elle en croisant les bras.

Certes, elle était partie, mais pas avant de s’être jetée sur lui. Elle rougit en y repensant, et sa détermination faillit flancher.

— Ça n’a pas d’importance, ajouta-t-elle dans un haussement de sourcils.

— Ouais. Ben, j’aurais dû être un peu moins… méchant.

Elle eut un petit rire sans humour.

— Est-ce qu’au moins tu sais comment faire ?

— Je peux très bien me montrer… pas méchant, se défendit-il sans plaisanter le moins du monde.

— Pas méchant ? Tu n’arrives même pas à dire « gentil » ?

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Chapitre 7 :

" - Ils ont fait semblant d'être malades. Ils se sont fait gerber et tout. Ils ont été emmenés à l'infirmerie il y a vingt minutes.

Il avait dû les manquer de peu.

Le battement sourd dans ses veine laissa progressivement place à un bruit strident qui lui emplit les tympans. Il sentit son sang se glacer en songeant à l'infirmière coincée la-bas avec ces deux salopards. Le visage de sa cousine lui revint en mémoire. Sa jeunesse et son innocence avaient été anéanties pour ne laisser à la place qu'une coquille vide et des yeux sans vie.

Il secoua la tête et se tourna vers son frère.

- Pète-moi la gueule.

- Quoi ?

- Écoute-moi. Il faut que tu me foutes un pain. Et il faut que ça pisse le sang.

Il saisit violemment North par le col.

- il faut absolument que je retourne à l'infirmerie. Soit c'est toi qui m'y envoies, soit je vais trouver quelqu'un d'autre qui se fera une joie de me bousiller.

Son frère le fustigea du regard.

- T'es sérieux ?

- Allez, sois convaincant, dit-il en le lâchant avant de reculer d'un pas.

North le dévisagea un instant encore avec une tonne de questions dans le regard. Knox savait qu'il avait besoin d'explications, mais il n'avait pas le temps de lui en fournir. Elle était là-bas - à leur merci."

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Elle laissa tomber le regard sur les mains de son patient, qui étaient grandes, avec de longs doigts fins aux ongles rognés. Il avait les poignetssolides et recouverts de quelques poils clairsemés. Elle imagina ces mains se mouvoir sur une peau nue de manière sensuelle et cligna des yeux afin de chasser cette image perturbante. Il n’existait sans doute pas beaucoup de personnes prêtes à s’opposer à sa volonté, mais, dans le monde de la prison, il n’était pas libre de faire comme bon lui semblait. Forte de cette certitude, elle porta de nouveau les mains au tee-shirt de son patient. Elle se figea encore, cependant, et leva les yeux sur lui. Il haussa les sourcils, s’interrogeant sur la raison de ce temps d’arrêt. Briar prit son courage à deux mains, ainsi que le vêtement, qu’elle souleva alors que Knox levait les bras pour lui faciliter la tâche. Elle déposa ensuite le tee-shirt sur le lit. Il cala les mains sur le matelas, paume à plat, et resta assis torse nu devant elle. Il avait un corps splendide. Même avec ses ecchymoses, il ressemblait à un guerrier endurci .

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— Je n’arrête pas de penser à toi, avoua-t-elle dans un murmure dans lequel se ressentait toute l’angoisse que lui inspirait cette vérité.

Une flamme aveuglante dansa au centre des pupilles de Knox l’espace d’un instant avant de se résorber complètement, telle une bougie que l’on mouche, et il redevint alors Callaghan le prisonnier.

— On ne peut pas, Briar.

http://lachroniquedespassions.blogspot.fr/

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— Est-ce que vous voulez quelque chose à boire ? lui lança-t-elle de la cuisine. J’ai de l’eau… Ou de la bière, mais je ne suis pas certaine que ça s’accorde bien avec la Cherry Garcia.

Il suivit le son de sa voix et entra discrètement dans la cuisine. Briar formait des boules de glace qu’elle plaçait dans des bols sur le bar, dos à lui. Il l’observa un instant, s’arrêtant sur la chair délicate de sa nuque et l’amas épais de cheveux châtain cuivré attachés en une sorte de sculpture cubiste à l’arrière de son crâne.

Il s’approcha d’elle et s’arrêta à quelques centimètres. Il ne l’avait pas touchée, mais elle se figea néanmoins, sentant sa présence derrière elle. Elle ne se retourna pourtant pas, mais il décela une altération dans sa respiration, à présent courte et tendue, comme si elle manquait d’air.

Il sentit sa poitrine se serrer lorsqu’il fut frappé par une vague de chaleur qui émanait d’elle. Même quand ils étaient aussi proches l’un de l’autre, c’était comme s’ils étaient reliés par une onde. Il se sentait tendu et prêt à jaillir, comme un ressort compressé au maximum.

Elle leva la tête, regarda droit devant elle, les yeux fixés sur un point en direction des armoires, et attendit. Alors, il en serait donc ainsi ? C’était elle qui l’avait invité chez elle en prétextant vouloir manger une glace, mais c’était à lui de faire le premier pas ?

Il franchit les derniers centimètres qui les séparaient et appuya les deux mains sur le bar. Puis il se pressa contre elle pour lui laisser sentir contre son dos tremblant toute la surface de son corps.

Il se pencha ensuite à son oreille et capta les effluves de poire, comme cela avait été le cas à l’infirmerie – sauf qu’ils étaient seuls à présent et qu’il n’y avait ni garde ni menottes, et plus rien pour l’empêcher de la toucher.

— C’est une mauvaise idée, chuchota-t-il.

Un tressaillement la fit vibrer de la tête aux pieds et se répercuta dans le sexe de Knox.

Il leva la main et empoigna une touffe de ses cheveux, ses doigts s’enfonçant profondément dans cette masse anarchique et douce comme la soie contre ses paumes rêches.

— Vous devriez m’ordonner de partir, gronda-t-il en plongeant davantage les doigts dans sa chevelure...

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Extrait ajouté par MzelleLo 2017-05-03T22:31:21+02:00

Briar savait déjà qu’elle n’atteindrait pas la porte. Elle n’y arriverait jamais. Mais le regard désespéré de Josiah et la boule énorme qu’elle avait au ventre la poussèrent à tenter sa chance – sa seule chance.

Elle s’élança, balançant les bras comme pour se propulser davantage tandis que ses semelles fouettaient le sol de béton. Elle pria pour parvenir au moins à ouvrir la porte avant que l’un des émeutiers la rattrape – ou, pire, qu’elle prenne une balle entre les omoplates.

Derrière elle, ils en vinrent aux mains.

Pourvu que ce ne soit pas Josiah. Faites qu’il ne soit pas blessé.

Elle ne ralentit toutefois pas pour vérifier. L’aide-soignant lui avait fourni cette unique occasion, et elle ne la gâcherait pas en perdant du temps à regarder en arrière.

Briar était à deux pas de la porte lorsqu’elle sentit une main puissante l’attraper par les cheveux et la tirer en arrière, faisant exploser une douleur aiguë sur toute la surface de son crâne. Elle hurla et agrippa sa queue-de-cheval, certaine qu’elle lui avait été arrachée.

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Chapitre 3 :

" - Qu'est-ce qui vous est arrivé là ? (Elle lui lança alors un regard dur en guise d'avertissement.) Je voudrais des détails.

Il secoua la tête comme pour signifier que ce n'était rien.

- La routine.

- Coups de poing ? De pied ?

Elle appuya sur l'ecchymose. Au vu de la carrure de cet homme, elle doutait qu'un simple coup de poing puisse lui causer autant de dégâts.

- La routine, répéta-t-il.

- Savoir ce qui s'est passé exactement m'aiderait à déterminer la gravité de votre blessure. Je vous assure que ce n'est pas pour satisfaire une sorte de curiosité morbide.

Elle le regarda droit dans les yeux, les sourcils froncés, en attendant sa réponse.

- Matraque, dit-il simplement.

Seuls les surveillants avaient des matraques.

...

- Vous devriez obtempérer avec les surveillants pénitentiaires. ce genre de traumatismes pourrait causer de dommages irréversibles.

Une lueur dansa dans ses yeux. Briar ne put déterminer exactement la cause. Elle s'éteignit instantanément, mais la jeune femme fut néanmoins saisie d'une forte appréhension.

- Qui a dit que je n'avais pas obtempéré ?"

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